Investing.com - Le dollar U.S. était largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, dans l'expectative du témoignage de fin de journée de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, le succès des enchères espagnoles et la rabaissement inattendu des taux chinois encourageant le goût pour le risque.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.14% pour monter à 1.2599.
Le moral est en effet revenu après que la Banque Populaire de Chine ait annoncé la réduction de 0.25 points de son taux directeur, à compter de demain, dans le but de renforcer la croissance de la seconde plus grosse économie mondiale, et ainsi mitiger les effets du ralentissement de celle du monde.
La monnaie unique s'était auparavant extraite de son creux journalier contre le billet vert après que Madrid ait émis pour 2.07 milliards d'euros de bons du trésor, dépassant légèrement ses objectifs, ayant rencontré une forte demande de la part de investisseurs, les coûts des emprunts nationaux ayant toutefois augmenté.
Les opérateurs attendaient le passage Ben Bernanke, président de la banque centrale des Etats-Unis devant un comité parlementaire à Washington, dans l'espoir de nouvelles mesures stimulatrices de la part de cette dernière.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0.54% pour se hisser à 1.5577.
Cette dernière s'est en effet trouvée largement renforcée par le maintien des taux de la Banque d'Angleterre à 0.5%, et du volume de son programme d'achats d'actifs à 325 milliards de GBP.
Il avait auparavant été souligné que la croissance du secteur tertiaire du Royaume-Uni avait dépassé les attentes pour le mois dernier, gardant son rythme élevé d'avril.
Le yen a par contre subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.64% pour se hisser à 79.68, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF reculant de 0.15% pour tomber à 0.9528.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD chutant de 0.36% pour plonger à 1.0239, l'AUD/USD prenant 0.54% pour se retrouver à 0.998 et le NZD/USD arrachant 0.32% pour s'élever à 0.773.
Le dollar australien avait été renforcé en début de matinée par une étude officielle montrant la création de 38 900 postes le mois dernier, pulvérisant les 2 200 suppressions prévues, et prolongeant les 7 000 ajoutés précédemment.
Le taux de chômage est toutefois passé sans surprise de 5 à 5.1%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.21% pour se situer à 82.09.
Le département d'état au travaildes Etats-Unis a signalé de son côté que le nombre des nouveaux inscrits au chômage des Etats-Unis des la semaien dernière avait diminué de 12 000 unités aprèsajustement saisonnier, pour se situer à 377 000, conformément aux prédictions.
Celui de la période précédente a par contre dû être révu à la hausse vers 389 000 au lieu des 383 000 évalués au préalable.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.14% pour monter à 1.2599.
Le moral est en effet revenu après que la Banque Populaire de Chine ait annoncé la réduction de 0.25 points de son taux directeur, à compter de demain, dans le but de renforcer la croissance de la seconde plus grosse économie mondiale, et ainsi mitiger les effets du ralentissement de celle du monde.
La monnaie unique s'était auparavant extraite de son creux journalier contre le billet vert après que Madrid ait émis pour 2.07 milliards d'euros de bons du trésor, dépassant légèrement ses objectifs, ayant rencontré une forte demande de la part de investisseurs, les coûts des emprunts nationaux ayant toutefois augmenté.
Les opérateurs attendaient le passage Ben Bernanke, président de la banque centrale des Etats-Unis devant un comité parlementaire à Washington, dans l'espoir de nouvelles mesures stimulatrices de la part de cette dernière.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0.54% pour se hisser à 1.5577.
Cette dernière s'est en effet trouvée largement renforcée par le maintien des taux de la Banque d'Angleterre à 0.5%, et du volume de son programme d'achats d'actifs à 325 milliards de GBP.
Il avait auparavant été souligné que la croissance du secteur tertiaire du Royaume-Uni avait dépassé les attentes pour le mois dernier, gardant son rythme élevé d'avril.
Le yen a par contre subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.64% pour se hisser à 79.68, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF reculant de 0.15% pour tomber à 0.9528.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD chutant de 0.36% pour plonger à 1.0239, l'AUD/USD prenant 0.54% pour se retrouver à 0.998 et le NZD/USD arrachant 0.32% pour s'élever à 0.773.
Le dollar australien avait été renforcé en début de matinée par une étude officielle montrant la création de 38 900 postes le mois dernier, pulvérisant les 2 200 suppressions prévues, et prolongeant les 7 000 ajoutés précédemment.
Le taux de chômage est toutefois passé sans surprise de 5 à 5.1%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.21% pour se situer à 82.09.
Le département d'état au travaildes Etats-Unis a signalé de son côté que le nombre des nouveaux inscrits au chômage des Etats-Unis des la semaien dernière avait diminué de 12 000 unités aprèsajustement saisonnier, pour se situer à 377 000, conformément aux prédictions.
Celui de la période précédente a par contre dû être révu à la hausse vers 389 000 au lieu des 383 000 évalués au préalable.