Investing.com - Les bourses européennes étaient hésitantes lors des transactions raréfiées de ce lundi matin, dans l'ombre persistante des incertitudes concernant les orientations futures de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,03% et le CAC 40 français de 0,05%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0,09%.
la nervosité était palpable après que le rapport sur l'emploi des Etats-Unis publié le 2 août ait mis en évidence un nombre de créations de postes inférieur aux espérances pour le mois passé.
Cette déception a du coup fait revoir à la baisse les probabilités d'un tour de vis imminent de la part de leur banque centrale.
Les observateurs guettent pour demain leurs chiffres des ventes, ainsi que les discours que de hauts représentants de la Réserve Fédérale tiendront en cours de semaine.
La finance était divisée, la Deutsche Bank allemande trébuchant de 0,06%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,49 et 0,63%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,55 et 0,85%, l'italien Intesa Sanpaolo leur emboîtant le pas avec 0,94%, alors que son compatriote Unicredit arrachait 0,22%.
A Francfort, Bilfinger prenait 0,57% après avoir prédit un second semestre "nettement" plus solide, et revendiqué des revenus nets de 47 millions d'euros au second trimestre, conformément aux analyses.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,12%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 0,42 et 1,77%, leurs rivaux Evraz et Randgold Resources n'étaient pas en reste avec 3,59 et 4,48%.
La City arborait elle aussi un sourire, Barclays s'élevant de 0,61%, HSBC Holdings de 0,64%, Lloyds Banking de 0,78% et la Royal Bank of Scotland de 2,28%
L'assureur Catlin était aussi à l'offensive, raflant 1,98% après que la seconde en ait revu l'appréciation depuis la neutralité vers l'attribution du titre de poids lourd.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elle pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,23% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,03% et le CAC 40 français de 0,05%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0,09%.
la nervosité était palpable après que le rapport sur l'emploi des Etats-Unis publié le 2 août ait mis en évidence un nombre de créations de postes inférieur aux espérances pour le mois passé.
Cette déception a du coup fait revoir à la baisse les probabilités d'un tour de vis imminent de la part de leur banque centrale.
Les observateurs guettent pour demain leurs chiffres des ventes, ainsi que les discours que de hauts représentants de la Réserve Fédérale tiendront en cours de semaine.
La finance était divisée, la Deutsche Bank allemande trébuchant de 0,06%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,49 et 0,63%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,55 et 0,85%, l'italien Intesa Sanpaolo leur emboîtant le pas avec 0,94%, alors que son compatriote Unicredit arrachait 0,22%.
A Francfort, Bilfinger prenait 0,57% après avoir prédit un second semestre "nettement" plus solide, et revendiqué des revenus nets de 47 millions d'euros au second trimestre, conformément aux analyses.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,12%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 0,42 et 1,77%, leurs rivaux Evraz et Randgold Resources n'étaient pas en reste avec 3,59 et 4,48%.
La City arborait elle aussi un sourire, Barclays s'élevant de 0,61%, HSBC Holdings de 0,64%, Lloyds Banking de 0,78% et la Royal Bank of Scotland de 2,28%
L'assureur Catlin était aussi à l'offensive, raflant 1,98% après que la seconde en ait revu l'appréciation depuis la neutralité vers l'attribution du titre de poids lourd.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elle pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,23% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.