Investing.com - Les places d'Asie terminaient sur une note nettement positive ce lundi matin, dans le sillage de deux belles performances industrielles de la part de la Chine.
Elles profitaient aussi du reflux de la peur d'une attaque contre le gouvernement syrien.
Les signaux belliqueux émis la semaine passée par les Etats-Unis à son encontre les avaient en effet fortement affectées.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 1,04%, le Hang Seng de Hong Kong 1,79% et le Nikkei 225 japonais 1,78%.
Il avait été noté en milieu de session que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait connu en août un frémissement partant des 47,7 du mois précédent jusqu'à 50,1, conformément à son évaluation préalable.
Une étude officielle avait signalé la veille que son équivalent établi par les autorités était monté depuis 50,3 vers 51,0 dans le même temps, établissant un pic de quatre mois tout en dépassant les 50,6 anticipés.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une croissance du secteur et inversement.
Mais la situation de la Syrie demeurait au centre des préoccupations.
Le secrétaire d'état américain chargé des affaires étrangères John Kerry avait affirmé vendredi que son pays punirait Bachar el-Assad, actuellement chef de l'état syrien, accusé d'avoir causé la mort de près de 1.500 personnes dans les faubourgs de Damas au cours d'une attaque chimique qualifiée de "brutale et flagrante".
Le président Barack Obama a cependant fait savoir dans la soirée qu'aucune décision en ce sens n'avait encore été prise.
Sydney s'est du coup hissée vers un pic de trois mois, grâce à la forme de ses exploitants.
Les fournisseurs de matières premières sont toujours suspendus aux besoins de la Chine.
Rio Tinto bondissait de 1,6%, et le spécialiste du minerai de fer Fortescue Metals Group de 2,35%.
La bande des quatre plus grosses banques locales a suivi le mouvement, à la veille de la prise de cap de la Réserve Bancaire d'Australie.
La Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, grimpait de 1,15%, l'ANZ Banking Group de 1% et la National Australia Bank de 1,25%, tandis que le Westpac Banking Group se plaçait en tête de peloton avec 1,4%.
Hong Kong profitait elle aussi de l'embellie chinoise.
Le secteur financier était parmi ceux qui en bénéficiaient le plus, la China Construction Bank empochant 2,3%, la China Minsheng Bank 5% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, 1,8%.
L'actualité était aussi le fait de la China Railway Construction et du China Railway Group, qui accéléraient respectivement de 4,4 et 1,8% après avoir tous deux revendiqué plus de 45% de profits supplémentaires pour le premier semestre.
Tokyo concluait quand à elle à son plus haut niveau depuis le 26 août, l'ambiance se trouvant éclaircie par l'affaiblissement du yen face au billet vert.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 98,77, à comparer aux 97,87 d'hier, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Mazda et Toyota avançaient ainsi de 1% chacun, suivis de Fanuc et Komatsu avec 2,7 et 0,95%.
Les poids lourds Fast Retailing et Softbank suivaient le mouvement ascendant avec 2,65 et 1,8%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt optimiste grâce à une atmosphère allégée.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,9%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 1%, celles sur le DAX 30 allemand à 1,1% et sur le FTSE 100 britannique à 0,7%.
L'Espagne et l'Italie comptaient pour leur part fournir aujourd'hui les chiffres de l'activité de leurs industries.
Le transactions avaient cependant toutes les chances de demeurer éparses, les places américaines et canadiennes demeurant inactives pour cause de fête du travail.
Elles profitaient aussi du reflux de la peur d'une attaque contre le gouvernement syrien.
Les signaux belliqueux émis la semaine passée par les Etats-Unis à son encontre les avaient en effet fortement affectées.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 1,04%, le Hang Seng de Hong Kong 1,79% et le Nikkei 225 japonais 1,78%.
Il avait été noté en milieu de session que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait connu en août un frémissement partant des 47,7 du mois précédent jusqu'à 50,1, conformément à son évaluation préalable.
Une étude officielle avait signalé la veille que son équivalent établi par les autorités était monté depuis 50,3 vers 51,0 dans le même temps, établissant un pic de quatre mois tout en dépassant les 50,6 anticipés.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une croissance du secteur et inversement.
Mais la situation de la Syrie demeurait au centre des préoccupations.
Le secrétaire d'état américain chargé des affaires étrangères John Kerry avait affirmé vendredi que son pays punirait Bachar el-Assad, actuellement chef de l'état syrien, accusé d'avoir causé la mort de près de 1.500 personnes dans les faubourgs de Damas au cours d'une attaque chimique qualifiée de "brutale et flagrante".
Le président Barack Obama a cependant fait savoir dans la soirée qu'aucune décision en ce sens n'avait encore été prise.
Sydney s'est du coup hissée vers un pic de trois mois, grâce à la forme de ses exploitants.
Les fournisseurs de matières premières sont toujours suspendus aux besoins de la Chine.
Rio Tinto bondissait de 1,6%, et le spécialiste du minerai de fer Fortescue Metals Group de 2,35%.
La bande des quatre plus grosses banques locales a suivi le mouvement, à la veille de la prise de cap de la Réserve Bancaire d'Australie.
La Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, grimpait de 1,15%, l'ANZ Banking Group de 1% et la National Australia Bank de 1,25%, tandis que le Westpac Banking Group se plaçait en tête de peloton avec 1,4%.
Hong Kong profitait elle aussi de l'embellie chinoise.
Le secteur financier était parmi ceux qui en bénéficiaient le plus, la China Construction Bank empochant 2,3%, la China Minsheng Bank 5% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, 1,8%.
L'actualité était aussi le fait de la China Railway Construction et du China Railway Group, qui accéléraient respectivement de 4,4 et 1,8% après avoir tous deux revendiqué plus de 45% de profits supplémentaires pour le premier semestre.
Tokyo concluait quand à elle à son plus haut niveau depuis le 26 août, l'ambiance se trouvant éclaircie par l'affaiblissement du yen face au billet vert.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 98,77, à comparer aux 97,87 d'hier, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Mazda et Toyota avançaient ainsi de 1% chacun, suivis de Fanuc et Komatsu avec 2,7 et 0,95%.
Les poids lourds Fast Retailing et Softbank suivaient le mouvement ascendant avec 2,65 et 1,8%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt optimiste grâce à une atmosphère allégée.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,9%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 1%, celles sur le DAX 30 allemand à 1,1% et sur le FTSE 100 britannique à 0,7%.
L'Espagne et l'Italie comptaient pour leur part fournir aujourd'hui les chiffres de l'activité de leurs industries.
Le transactions avaient cependant toutes les chances de demeurer éparses, les places américaines et canadiennes demeurant inactives pour cause de fête du travail.