Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sur la défensive ce lundi après-midi, les opérateurs profitant de leurs plus-values découlant de la résurgence de la semaine passée, tandis que l'atmosphère se trouvait alourdie par la déception concernant l'activité des usines chinoises.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,47%.
Le moral était en effet revenu lors de la journée de cotation précédente, après que les belles performances du marché du travail des Etats-Unis aient laissé renaître les rumeurs de fin prématurée des acquisitions mensuelles de 85 milliards d'actifs par la Réserve Fédérale.
Il a ainsi été montré jeudi que l'afflux hebdomadaire des demandeurs d'emploi américains avait été pour la semaine achevée le 4 mai le plus mince depuis janvier 2008.
Il avait déjà été noté en en début de mois que l'économie américaine avait davantage créé de postes en avril qu'espéré, faisant fondre sans crier gare le chômage jusqu'à 7,5%, sa plus basse valeur en quatre ans.
Une étude officielle avait quand à elle souligné à l'aube que la production industrielle de la Chine avait augmenté de 9,3% en avril, au lieu des 9,5% envisagés dans le sillage des 8,9% précédents.
Ces statistiques sans éclat laissaient imaginer un essoufflement de la relance du pays.
Le secteur énergétique était en ébullition après que John Hess, directeur généal du poids lourd des hydrocarbures Hess Corp et fils de son fondateur, ait été démis de ses fonctions de président alors que la compagnie faisait flèche de tout bois pour éviter de subir un revers infligé par un investisseur activiste.
La Bank of New York Mellon Corp. faisait aussi l'actualité, la première banque de dépôt au monde semblant vouloir faire appel de la décision de justice autorisant Chesapeake Energy à procéder aujourd'hui à rembourser 1,3 milliards d'USD d'obligations avec six années d'avance.
Le BT Group n'était pas non plus à négliger, l'opérateur de lignes téléphoniques fixes britannique ayant engrangé plus de 11% vendredi après avoir revendiqué des bénéfices surpassant les espérances pour le premier trimestre grâce à l'afflux de nouveaux clients pour l'accès à Internet à haut débit.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,44%, le CAC 40 français de 0,29%, le DAX 30 allemand de 0,38% et le FTSE 100 britannique de 0,22%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong sombrait de 1,42%, mais le Nikkei 225 japonais raflait 1,2%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume offficiel des ventes auprès des particuliers.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,47%.
Le moral était en effet revenu lors de la journée de cotation précédente, après que les belles performances du marché du travail des Etats-Unis aient laissé renaître les rumeurs de fin prématurée des acquisitions mensuelles de 85 milliards d'actifs par la Réserve Fédérale.
Il a ainsi été montré jeudi que l'afflux hebdomadaire des demandeurs d'emploi américains avait été pour la semaine achevée le 4 mai le plus mince depuis janvier 2008.
Il avait déjà été noté en en début de mois que l'économie américaine avait davantage créé de postes en avril qu'espéré, faisant fondre sans crier gare le chômage jusqu'à 7,5%, sa plus basse valeur en quatre ans.
Une étude officielle avait quand à elle souligné à l'aube que la production industrielle de la Chine avait augmenté de 9,3% en avril, au lieu des 9,5% envisagés dans le sillage des 8,9% précédents.
Ces statistiques sans éclat laissaient imaginer un essoufflement de la relance du pays.
Le secteur énergétique était en ébullition après que John Hess, directeur généal du poids lourd des hydrocarbures Hess Corp et fils de son fondateur, ait été démis de ses fonctions de président alors que la compagnie faisait flèche de tout bois pour éviter de subir un revers infligé par un investisseur activiste.
La Bank of New York Mellon Corp. faisait aussi l'actualité, la première banque de dépôt au monde semblant vouloir faire appel de la décision de justice autorisant Chesapeake Energy à procéder aujourd'hui à rembourser 1,3 milliards d'USD d'obligations avec six années d'avance.
Le BT Group n'était pas non plus à négliger, l'opérateur de lignes téléphoniques fixes britannique ayant engrangé plus de 11% vendredi après avoir revendiqué des bénéfices surpassant les espérances pour le premier trimestre grâce à l'afflux de nouveaux clients pour l'accès à Internet à haut débit.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,44%, le CAC 40 français de 0,29%, le DAX 30 allemand de 0,38% et le FTSE 100 britannique de 0,22%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong sombrait de 1,42%, mais le Nikkei 225 japonais raflait 1,2%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur volume offficiel des ventes auprès des particuliers.