Investing.com - Les options sur le brut étaient à la peine ce mercredi, la nervosité étant grande en raison des craintes au sujet de la stabilité financière de la zone euro et des incertitudes politiques persistantes italiennes.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 95.92 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.43%.
L'atmosphère demeurait assombrie par l'épouvantail d'un précédent constitué par la méthode chypriote, et donc par la peur que d'éventuels sauvetages futurs des établissements financiers au sein du bloc euro risquent de se dérouler aux dépens directs des gros épargnants.
Les négociations destinées à former un gouvernement de coalition se poursuivaient en Italie, après que les élections législatives de la fin février aient conduit à une impasse politique, sur fond de spectre d'un retour aux urnes.
La nervosité était aussi palpable alors que la série de résultats américains dévoilés hier montrait un tableau nuancé de la solidité de la relance américaine.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a en effet constaté que son baromètre du moral des consommateurs des Etats-Unis avait glissé de 68 vers 59.7 en mars, alors qu'un maintien était espéré.
411 000 ventes de logements neufs avaient avaient aussi été dénombrées pour février, au lieu des 422 000 espérés suite aux 431 000 précédents.
L'indice commposite national des prix des logements établi par l'agence de notation Standard & Poor's et Case Shiller a quand à lui grimpé de 8.1% annualisés en janvier, contre 6.8% le mois précédent, dépassant largement les 7.9% envisagés.
Le bureau des recensements du pays a pour sa part constaté que les commandes de biens durables de base dans le pays avaient diminué de 0.5% d'un mois sur l'autre en février, alors qu'un frémissement de 0.5% était espéré après les 2.9% constaté le mois précédent.
Le total des vbiens durables, incluant les moyens de transport, avaient grimpé de 5.7% dans le même temps, dépassant largement des 3.8% espérés suite au faux pas de 3.8% en janvier.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont laissé échapper 0.08% pour descendre à 109.27 USD du baril dans le même temps, soit 13.35 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 95.92 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.43%.
L'atmosphère demeurait assombrie par l'épouvantail d'un précédent constitué par la méthode chypriote, et donc par la peur que d'éventuels sauvetages futurs des établissements financiers au sein du bloc euro risquent de se dérouler aux dépens directs des gros épargnants.
Les négociations destinées à former un gouvernement de coalition se poursuivaient en Italie, après que les élections législatives de la fin février aient conduit à une impasse politique, sur fond de spectre d'un retour aux urnes.
La nervosité était aussi palpable alors que la série de résultats américains dévoilés hier montrait un tableau nuancé de la solidité de la relance américaine.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a en effet constaté que son baromètre du moral des consommateurs des Etats-Unis avait glissé de 68 vers 59.7 en mars, alors qu'un maintien était espéré.
411 000 ventes de logements neufs avaient avaient aussi été dénombrées pour février, au lieu des 422 000 espérés suite aux 431 000 précédents.
L'indice commposite national des prix des logements établi par l'agence de notation Standard & Poor's et Case Shiller a quand à lui grimpé de 8.1% annualisés en janvier, contre 6.8% le mois précédent, dépassant largement les 7.9% envisagés.
Le bureau des recensements du pays a pour sa part constaté que les commandes de biens durables de base dans le pays avaient diminué de 0.5% d'un mois sur l'autre en février, alors qu'un frémissement de 0.5% était espéré après les 2.9% constaté le mois précédent.
Le total des vbiens durables, incluant les moyens de transport, avaient grimpé de 5.7% dans le même temps, dépassant largement des 3.8% espérés suite au faux pas de 3.8% en janvier.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont laissé échapper 0.08% pour descendre à 109.27 USD du baril dans le même temps, soit 13.35 USD de mieux que leurs homologues américaines.