Investing.com - Le dollar U.S. restait en en posture difficile face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, l'espoir que la Grèceréussisse à prendre les mesures nécessaires au bénéfice du second plan de sauvetage redorant le blason des valeurs plus risquées.
En seconde partie de séance européenne, l'euro s'est toutefois mis à fléchir devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.05% pour se replier à 1.3126.
La monnaie unique s'était retrouvvée sur la sellette après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait annoncé que le PIB régional avait diminué de 0.3% ajustés saisonnièrement au quatrième trimestre, et de 0.7% seulement sur toute l'année 2011.
Celui de l'Allemagne a moins fondu que redouté pour le trimestre dernier, avec seulement 0.2% au lieu des 0.3% qui avaient été prédits.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe ont pour leur part annulé leur réunion sur un éventuel feu vert au programme de secours pour la nation hellène prévue pour aujourd'hui après qu'Athènes n'ait pas réussi à donner des garanties concernant l'application des mesures de rigueur adoptées dimanche par le vote du parlement, mais ils devraiennt tenir une téléconférence à la place, en attendant de se rencontrer lundi.
L'atmosphère c'était allégée après que le gouverneur de la Banque Populaire de Chine ait affirmé estimer les problèmes de la zone euro solubles, ajoutant que son pays s'investirait davantage dans cette direction, grâce notamment au Fonds de Stabilisation Financière Européen.
Il a toutefois cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.09% pour se hisser à 1.5708.
Au Royaume-Uni, Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, a déclaré que le pays avait déjà établi un plan d'urgence en cas de défaut de paiement de la part de la nation hellène.
Ces propos survenaient après que la banque centrale britannique aient semé le doute concernant la possibilité de procéder à de nouveaux assouplissements monétaires dans son rapport sur l'inflation de février, ayant revu à la hausse ses prévisions d'inflation dans deux ans à 1.8%.
Une étude avait auparavant souligné que le nombre des bénéficiaires des aides aux chercheurs d'emploi britanniques avait davantage augmenté en janvier que prévu, tandis que le taux de chômage restait stable à 8.4%, son plus haut niveau depuis 1996.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY prenant 0.16% pour grimper à 78.56.
La devise nippone s'était auparavant s'était auparavant trouvée précipitée dans une ornière des trois derniers mois par la Banque du Japon, déclarant sans crier gare l'ajout de 10 billions de JPY à son programme d'achat d'actifs, établissant aussi un objectif à 1% pour son taux d'inflation, afin de stimuler la croissance et protéger l'économie des effets du yen fort.
Il n'en a pas été de même avec le franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0.01% pour reprendre pied à 0.9193.
Le centre de recherches économiques ZEW avait révélé dans la matinée que son indice de l'optimisme économique avait bondi de 28.9 points pour se situer à -21.2 pour le mois contre -50.1 pour le précédent.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.41% pour aller vers 0.995, l'AUD/USD raflant 0.57% pour monter à 1.0755 et le NZD/USD engrangeant 0.67% pour culminer à 0.8393.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1% pour se situer à 79.48.
Les Etats-Unis devaient voir aujourd'hui la diffusion de l'indice manufacturier de la région de New York, ainsi que des chiffres de la production industrielle et de l'utilisation des capacités de production, tandis que la Réserve Fédérale dévoilera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation.
En seconde partie de séance européenne, l'euro s'est toutefois mis à fléchir devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.05% pour se replier à 1.3126.
La monnaie unique s'était retrouvvée sur la sellette après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait annoncé que le PIB régional avait diminué de 0.3% ajustés saisonnièrement au quatrième trimestre, et de 0.7% seulement sur toute l'année 2011.
Celui de l'Allemagne a moins fondu que redouté pour le trimestre dernier, avec seulement 0.2% au lieu des 0.3% qui avaient été prédits.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe ont pour leur part annulé leur réunion sur un éventuel feu vert au programme de secours pour la nation hellène prévue pour aujourd'hui après qu'Athènes n'ait pas réussi à donner des garanties concernant l'application des mesures de rigueur adoptées dimanche par le vote du parlement, mais ils devraiennt tenir une téléconférence à la place, en attendant de se rencontrer lundi.
L'atmosphère c'était allégée après que le gouverneur de la Banque Populaire de Chine ait affirmé estimer les problèmes de la zone euro solubles, ajoutant que son pays s'investirait davantage dans cette direction, grâce notamment au Fonds de Stabilisation Financière Européen.
Il a toutefois cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.09% pour se hisser à 1.5708.
Au Royaume-Uni, Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, a déclaré que le pays avait déjà établi un plan d'urgence en cas de défaut de paiement de la part de la nation hellène.
Ces propos survenaient après que la banque centrale britannique aient semé le doute concernant la possibilité de procéder à de nouveaux assouplissements monétaires dans son rapport sur l'inflation de février, ayant revu à la hausse ses prévisions d'inflation dans deux ans à 1.8%.
Une étude avait auparavant souligné que le nombre des bénéficiaires des aides aux chercheurs d'emploi britanniques avait davantage augmenté en janvier que prévu, tandis que le taux de chômage restait stable à 8.4%, son plus haut niveau depuis 1996.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY prenant 0.16% pour grimper à 78.56.
La devise nippone s'était auparavant s'était auparavant trouvée précipitée dans une ornière des trois derniers mois par la Banque du Japon, déclarant sans crier gare l'ajout de 10 billions de JPY à son programme d'achat d'actifs, établissant aussi un objectif à 1% pour son taux d'inflation, afin de stimuler la croissance et protéger l'économie des effets du yen fort.
Il n'en a pas été de même avec le franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0.01% pour reprendre pied à 0.9193.
Le centre de recherches économiques ZEW avait révélé dans la matinée que son indice de l'optimisme économique avait bondi de 28.9 points pour se situer à -21.2 pour le mois contre -50.1 pour le précédent.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.41% pour aller vers 0.995, l'AUD/USD raflant 0.57% pour monter à 1.0755 et le NZD/USD engrangeant 0.67% pour culminer à 0.8393.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1% pour se situer à 79.48.
Les Etats-Unis devaient voir aujourd'hui la diffusion de l'indice manufacturier de la région de New York, ainsi que des chiffres de la production industrielle et de l'utilisation des capacités de production, tandis que la Réserve Fédérale dévoilera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation.