Investing.com - L'euro effectuait ce mardi un repli mitigé face à la plupart de ses concurrents, tiré vers le bas par les craintes liées à la crise de l'endettement des membres périphériques de la zone euro et aux perspectives de reprise mondiales.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.31% pour tomber à 1.3065.
L'angoisse découlant des coûts des emprunts espagnols était montée d'un cran en début de journée après que les taux des bons décennaux espagnols se soient élevés dans la matinée à 5.8%, leur plus haut niveau depuis décembre, laissant à craindre que le pays ne doive lui aussi avoir recours à une bouée de sauvetage.
LA popularité de la monnaie unique a pris du plomb dans l'aile après qu'il été signalé que la confiance des investisseurs dans le bloc où la monnaie unique a cours avait subi pour avril une détérioration inattendue, après avoir pourtant connu trois mois d'amélioration d'affilée.
L'institut de recherches économiques Sentix a en effet évoué que son indice de celle-ci avait plongé à -14.7, contre -8.2 auparavant.
Les experts espéraient pourtant observer un sursaut minime à -8.1.
Les résultats décevants de l'emploi américain dévoilés vendredi continuaient quand à eux d'alimenter les doutes concernant la force de la relance économique des Etats-Unis.
La livre sterling a toutefois cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.08% pour se hisser à 0.8256, se maintenant toutefois aux abords d'un creux trimestriel.
La devise de la Grande-Bretagne avait été ragaillardie dans la matinée par les spécialistes de l'immobilier britannique, signalant que les coûts des logements nationaux avaient subi le mois dernier leur plus faible diminution depuis juin 2010.
L'indice du solde des prix des habitations établi par l'institut royal des géomètres agréés RICS est en effet remonté de -13 à -10 pour la période considérée, dépassant ainsi les -12 espérés.
Ces informations venaient confirmer la tendance positive concernant les domaines manufacturier, tertiaire et du bâtiment du pays dégagnée la semaine dernière, rassurant ainsi les acteurs des marchés quand au risque d'un retour en récession de celui-ci.
Le yen, largement renforcé, a par contre exercé sa pression, l'EUR/JPY glissant de 0.59% pour chhuter à 106.16.
La banque centrale japonaise avait maintenu sans surprise dans la matinée son taux de base aux abords de zéro et n'a pas non plus mis en place de nouveaux achats d'actifs.
Le franc suisse s'est par contre contenté de résister, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.07% pour grimper à 1.2028.
Ses homologues australienne et canadienne ont pour leur part exercé leur domination, mais pas la néo-zélandaise, l'EUR/AUD trébuchant de 0.03% pour se retrouver à 1.2704, l'EUR/CAD laissant échapper 0.15% pour descendre à 1.3053 et l'EUR/NZD gagnant 0.32% pour s'élever à 1.5999.
La popularité des dollars de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande, fortement dépendantes de la croissance, a été ternie en début de matinée par l'étude émanant des autorités chinoises soulignant une forte diminution des importations nationales en mars.
Le commerce extérieur de la Chine a donc enregistré un excédent de 5.35 milliards d'USD le mois dernier, l'import n'ayant progressé que de 5.3% après avoir enregistré pour février une explosion de 39.6%, alors que le pays est le premier partenaire à l'exportation de l'Australie et le second de la Nouvelle-Zélande.
Une étude émanant des autorités françaises avait montré de son côté que la production industrielle nationale avait davantage augmenté en février qu'espéré, gagnant 0.3% alors que les experts s'attendaient un score de 0.2%, constituant une bonne nouvelle pour la seconde économie de la zone euro.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.31% pour tomber à 1.3065.
L'angoisse découlant des coûts des emprunts espagnols était montée d'un cran en début de journée après que les taux des bons décennaux espagnols se soient élevés dans la matinée à 5.8%, leur plus haut niveau depuis décembre, laissant à craindre que le pays ne doive lui aussi avoir recours à une bouée de sauvetage.
LA popularité de la monnaie unique a pris du plomb dans l'aile après qu'il été signalé que la confiance des investisseurs dans le bloc où la monnaie unique a cours avait subi pour avril une détérioration inattendue, après avoir pourtant connu trois mois d'amélioration d'affilée.
L'institut de recherches économiques Sentix a en effet évoué que son indice de celle-ci avait plongé à -14.7, contre -8.2 auparavant.
Les experts espéraient pourtant observer un sursaut minime à -8.1.
Les résultats décevants de l'emploi américain dévoilés vendredi continuaient quand à eux d'alimenter les doutes concernant la force de la relance économique des Etats-Unis.
La livre sterling a toutefois cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.08% pour se hisser à 0.8256, se maintenant toutefois aux abords d'un creux trimestriel.
La devise de la Grande-Bretagne avait été ragaillardie dans la matinée par les spécialistes de l'immobilier britannique, signalant que les coûts des logements nationaux avaient subi le mois dernier leur plus faible diminution depuis juin 2010.
L'indice du solde des prix des habitations établi par l'institut royal des géomètres agréés RICS est en effet remonté de -13 à -10 pour la période considérée, dépassant ainsi les -12 espérés.
Ces informations venaient confirmer la tendance positive concernant les domaines manufacturier, tertiaire et du bâtiment du pays dégagnée la semaine dernière, rassurant ainsi les acteurs des marchés quand au risque d'un retour en récession de celui-ci.
Le yen, largement renforcé, a par contre exercé sa pression, l'EUR/JPY glissant de 0.59% pour chhuter à 106.16.
La banque centrale japonaise avait maintenu sans surprise dans la matinée son taux de base aux abords de zéro et n'a pas non plus mis en place de nouveaux achats d'actifs.
Le franc suisse s'est par contre contenté de résister, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.07% pour grimper à 1.2028.
Ses homologues australienne et canadienne ont pour leur part exercé leur domination, mais pas la néo-zélandaise, l'EUR/AUD trébuchant de 0.03% pour se retrouver à 1.2704, l'EUR/CAD laissant échapper 0.15% pour descendre à 1.3053 et l'EUR/NZD gagnant 0.32% pour s'élever à 1.5999.
La popularité des dollars de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande, fortement dépendantes de la croissance, a été ternie en début de matinée par l'étude émanant des autorités chinoises soulignant une forte diminution des importations nationales en mars.
Le commerce extérieur de la Chine a donc enregistré un excédent de 5.35 milliards d'USD le mois dernier, l'import n'ayant progressé que de 5.3% après avoir enregistré pour février une explosion de 39.6%, alors que le pays est le premier partenaire à l'exportation de l'Australie et le second de la Nouvelle-Zélande.
Une étude émanant des autorités françaises avait montré de son côté que la production industrielle nationale avait davantage augmenté en février qu'espéré, gagnant 0.3% alors que les experts s'attendaient un score de 0.2%, constituant une bonne nouvelle pour la seconde économie de la zone euro.