Investing.com - L'euro a légèrement pris le dessus sur le dollar U.S. ce mercredi, mais son avancée demeurait limitée par la prudence des investisseurs face aux incertitudes pesant sur les perspectives de croissance mondiale et à la réémergence du serpent de mer de la restructuration du surendettement des pays l'ayant adopté.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3109 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3102, prenant 0.15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3032, son plancher du 9 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.3163, son plafond du 5.
L'engouement pour la monnaie unique demeurait en effet fragilisé par les craintes concernant la gestion de la crise financière espagnole, malgré les assurances de son premier ministre Mariano Rajoy, confirmant son objectif de réduire les déficits budgétaires à 3% du produit intérieur brut pour l'année prochaine.
La confiance des investisseurs a également mise à mal par son propre baromètre, indiquant qu'elle avait diminué en zone euro, après trois mois d'amélioration.
La relance des Etats-Unis demeurait quand à elle en question après que les autorités du pays aient avoué vendredi que seulement 120 000 créactions d'emplois avaient eu lieu en mars, leur nombre le plus faible depuis décembre, soit nettement moins que les 203 000 espérés.
La nette diminution des importations chinoises de mars a également ravivé les angoisses concernant la croissance future de la seconde économie mondiale.
La devise européenne a par contre cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.04% pour glisser à 0.8243.
Le gouvernement américain devrait divulguer aujourd'hui ses informations concerant les prix à l'importation, ainsi que son inventaire des réserves pétrolières, et le solde du budget fédéral, tandis que la banque centrale nationale publiera son livre beige.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3109 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3102, prenant 0.15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3032, son plancher du 9 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.3163, son plafond du 5.
L'engouement pour la monnaie unique demeurait en effet fragilisé par les craintes concernant la gestion de la crise financière espagnole, malgré les assurances de son premier ministre Mariano Rajoy, confirmant son objectif de réduire les déficits budgétaires à 3% du produit intérieur brut pour l'année prochaine.
La confiance des investisseurs a également mise à mal par son propre baromètre, indiquant qu'elle avait diminué en zone euro, après trois mois d'amélioration.
La relance des Etats-Unis demeurait quand à elle en question après que les autorités du pays aient avoué vendredi que seulement 120 000 créactions d'emplois avaient eu lieu en mars, leur nombre le plus faible depuis décembre, soit nettement moins que les 203 000 espérés.
La nette diminution des importations chinoises de mars a également ravivé les angoisses concernant la croissance future de la seconde économie mondiale.
La devise européenne a par contre cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.04% pour glisser à 0.8243.
Le gouvernement américain devrait divulguer aujourd'hui ses informations concerant les prix à l'importation, ainsi que son inventaire des réserves pétrolières, et le solde du budget fédéral, tandis que la banque centrale nationale publiera son livre beige.