Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, et s'est bien défendu des attaques de l'euro et du yen, dans l'expectative de de la réunion d'orientation de la Banque Centrale Européenne et de l'état des lieux du marché du travail américain attendus cette semaine.
En première partie de séance européenne, la devise européenne a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.07% pour descendre à 1.2568.
Le billet vert demeurait toutefois sur la sellette après que le chef de la Fed ait affirmé vendredi que celle-ci agirait de manière à renforcer la reprise économique américaine, sans toutefois aller jusqu'à laisser entendre qu'une nouvelle série d'injections de liquidités était sur le point d'avoir lieu.
La monnaie unique restait quand à elle populaire, sur fond de spéculations selon lesquelles la BCE serait en train de travailler sur des mesures destinées à stabiliser les marchés obligataires régionaux en préparation de sa réunion de jeudi.
Mais les craintes au sujet de la croissance ont de nouveau émergé après que des chiffres révisés aient montré que le secteur secondaire de la région l'ayant adoptée avait subi en août son treizième mois de recul consécutif.
Le groupe de recherches économiques Markita en effet révélé que son indice des directeurs des achats dans le domaine manufacturier était remonté depuis 44, sa valeur la plus faible des 37 derniers mois, jusqu'à 45.1 pour le mois dernier, tout en demeurant sous la valeur des 50 dénotant une éventuelle croissance.
La livre sterling a par contre grignoté quelques pouces de terrain sur lui, le GBP/USD arrachant 0.07% pour se hisser à 1.5876.
Celle-ci a ainsi repris des couleurs après qu'il ait été montré que le taux de contraction du secteur secondaire britannique avait nettement diminué en août.
L'institut d'études sur l'économie Markit a en effet signalé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers du Royaume-Uni était monté depuis 45.4 vers 49.5, au lieu des 46.2 espérés.
Il n'a guère subi la pression du yen, et fait mieux que résister à celle du franc suisse, l'USD/JPY laissant échapper 0.04% pour glisser à 78.35 et l'USD/CHF grignotant 0.01% pour culminer à 0.955.
La devise des Etats-Unis a par ailleurs largement dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'USD/CAD se rétractant de 0.02% pour se retrouver à 0.9858, l'AUD/USD plongeant de 0.77% pour sombrer à 1.0244 et le NZD/USD dérapant de 0.62% pour toucher le fond à 0.7984.
Les valeurs fortement dépendantes de la croissance avaient subi un coup de barre suite à la publication de chiffres officiels déplorant pour août un effondrement de l'activité manufacturière de la Chine à son pire niveau en neuf mois, laissant à craindre que son économie subisse une perte de vitesse plus importante que redouté.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a avancé de 0.12% pour se situer à 81.3.
Le volume des transactions semblait devoir rester limité aujourd'hui, les places boursières américaines restant closes en raison de la fête du travail.
En première partie de séance européenne, la devise européenne a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.07% pour descendre à 1.2568.
Le billet vert demeurait toutefois sur la sellette après que le chef de la Fed ait affirmé vendredi que celle-ci agirait de manière à renforcer la reprise économique américaine, sans toutefois aller jusqu'à laisser entendre qu'une nouvelle série d'injections de liquidités était sur le point d'avoir lieu.
La monnaie unique restait quand à elle populaire, sur fond de spéculations selon lesquelles la BCE serait en train de travailler sur des mesures destinées à stabiliser les marchés obligataires régionaux en préparation de sa réunion de jeudi.
Mais les craintes au sujet de la croissance ont de nouveau émergé après que des chiffres révisés aient montré que le secteur secondaire de la région l'ayant adoptée avait subi en août son treizième mois de recul consécutif.
Le groupe de recherches économiques Markita en effet révélé que son indice des directeurs des achats dans le domaine manufacturier était remonté depuis 44, sa valeur la plus faible des 37 derniers mois, jusqu'à 45.1 pour le mois dernier, tout en demeurant sous la valeur des 50 dénotant une éventuelle croissance.
La livre sterling a par contre grignoté quelques pouces de terrain sur lui, le GBP/USD arrachant 0.07% pour se hisser à 1.5876.
Celle-ci a ainsi repris des couleurs après qu'il ait été montré que le taux de contraction du secteur secondaire britannique avait nettement diminué en août.
L'institut d'études sur l'économie Markit a en effet signalé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers du Royaume-Uni était monté depuis 45.4 vers 49.5, au lieu des 46.2 espérés.
Il n'a guère subi la pression du yen, et fait mieux que résister à celle du franc suisse, l'USD/JPY laissant échapper 0.04% pour glisser à 78.35 et l'USD/CHF grignotant 0.01% pour culminer à 0.955.
La devise des Etats-Unis a par ailleurs largement dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'USD/CAD se rétractant de 0.02% pour se retrouver à 0.9858, l'AUD/USD plongeant de 0.77% pour sombrer à 1.0244 et le NZD/USD dérapant de 0.62% pour toucher le fond à 0.7984.
Les valeurs fortement dépendantes de la croissance avaient subi un coup de barre suite à la publication de chiffres officiels déplorant pour août un effondrement de l'activité manufacturière de la Chine à son pire niveau en neuf mois, laissant à craindre que son économie subisse une perte de vitesse plus importante que redouté.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a avancé de 0.12% pour se situer à 81.3.
Le volume des transactions semblait devoir rester limité aujourd'hui, les places boursières américaines restant closes en raison de la fête du travail.