Investing.com - Le dollar U.S. a fini par redresser la tête face à l'euro, sur fond d'incertitudes grecques et espagnoles, tandis que les faibles chiffres des ventes de logements aux Etats-Unis et les résultats décevants des entreprises nationales assombrissaient l'ambiance.
La monnaie unique a en effet fléchi après la conclusion vendredi de deux jours de réunion de l'Union Européenne, en l'absence d'informations concernant l'éventuel appel au secours de l'Espagne ou l'attribution espérée de la prochaine tranche d'aides à la Grèce.
Les chefs de l'UE se sont par contre mis d'accord sur la création d'une supervision bancaire unifiée pour la région, qui permettrait aussi à son fonds de secours d'allouer directement des fonds à ses banques en difficulté.
Le billet vert a aussi repris des couleurs après que l'association américaine des agents immobiliers ait déploré comme prévu pour septembre une chute de 1.7% du volume des acquisitions d'habitations d'occasion.
Cette mauvaise nouvelle est venue s'ajouter aux résultats décevants de Microsoft et McDonald's pour le troisième trimestre, nuisant à la popularité des valeurs risquées.
Le yen restait quand à lui sur la sellette alors que les rumeurs d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon filaient bon train dans l'expectative de sa réunion du 30 octobre.
La devise de la Grande-Bretagne a elle aussi dérapé contre, malgré une étude montrant que le déficit budgétaire britannique avait moins augmenté en septembre que redouté.
Le procès-verbal du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre avait mentionné en début de semaine des désaccords avaient émergé concernant le besoin ou non de prolonger le programme de rachat de bons du trésor après son expiration en fin de mois.
Son homologue du Canada n'était pas non plus à la fête, plongeant au plus bas des deux derniers mois par rapport à son cousin, la faiblesse de l'inflation au détail nationale ayant fait diminuer l'attente d'une hausse des taux d'intérêt de la part de sa banque émettrice.
Les chiffres de la croissance américaine du troisième trimestre seront au centre des débats de la semaine, de même que les conclusions de la première réunion de la Réserve Fédérale depuis l'annonce en septembre d'une troisième série d'injections de liquidités.
Du côté de la zone euro, l'attention sera monopolisée par le baromètre de l'enthousiasme des entreprises allemandes ainsi que les résultats préliminaires au sujet de l'évolution des activités secondaire et tertiaire.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 22 octobre
Le Japon révèlera sa balance commerciale, faisant la différence entre les valeurs des biens ou services exportés et importés.
Mardi 23 octobre
L'Australie fournira son indice des signaux économiques prévisionnels, destiné à prédire la direction de l'économie future.
Le Royaume-Uni fera de même concernant les accords de prêts hypothécaires, reflétant la demande sur le marché immobilier.
La Banque du Canada annondera ensuite son taux d'intérêt directeur, suivi d'un communiqué explicatif donnant son point de vue sur l'état de l'économie et de ses perspectives.
Le pays divulguera aussi le volume officiel de ses ventes au détail, premier signe des dépenses de consommation, lesquelles représentent la majeure partie de l'activité économique totale.
Mercredi 24 octobre
Les autorités d'Australie diffuseront leurs informations sur l'évolution des prix à la consommation dans le pays, qui représente la plus grande part de l'inflation totale.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande l'imitera avec son taux de base, ainsi qu'une synthèse offrant son analyse en profondeur de l'économie présente et future.
La Chine ne sera pas en reste avec l'état de son activité manufacturière constaté par les acteurs du secteur, signe fort de vigueur de son économie.
La zone euro fera de même avec les premièrees évaluations de l'activité des usines et des services régionaux, les poumons de son économie, qui feront aussi l'objet de rapports individuels de la part de l'Allemagne et de la France, tandis que l'institut Ifo pour la recherche économique publiera son rapport sur l'humeur économique allemande.
Dans le reste de l'Europe, le Royaume-Uni verra ses industriels dévoiler leurs attentes de commandes, préfigurant leur activité prochaine.
La Banque du Canada rendra un rapport sur sa politique monétaire suite à l'annonce la veille de son taux directeur, tandis que Mark Carney, son gouverneur, devrait tenir une conférence de presse concernant cette décision.
Les Etats-Unis concluront la journée avec les chiffres des ventes de logements neufs, signe crucial de santé économique, ainsi qu'avec l'inventaire des réserves pétrolières.
La Réserve Fédérale fera ensuite connaître son taux d'intérêt directeur et dévoilera son texte explicatif sur la question.
Jeudi 25 octobre
La Royaume-Uni révèlera son produit intérieur brut de début juillet à fin septembre, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de vigueur de celle-ci.
Les Etats-Unis feront de même avec le volume officiel des commandes de biens durables, préfigurant la production future, ainsi quee celui des ventes d'habitations en cours et des nouvelles inscriptions au chômage.
La Nouvelle-Zélande divulguera dans la soirée le solde de son commerce extérieur, faisant la différence entre les valeurs des biens ou services exportés et importés.
Vendredi 26 octobre
Le Japon dévoilera les variations de ses prix à la consommation, qui représentent la plus grande part de l'inflation générale.
En zone euro, l'Allemagne verra le groupe de recherches économiques Gfk publier une étude sur le moral des consommateurs, tandis que l'Espagne fournira son taux de chômage officiel.
Du côté du reste de l'Europe, l'agence de recherches économiques KOF fournira son baromètre économique de la Suisse, étudié afin de pointer dans la direction que prendra l'économie à l'avenir.
Les Etats-Unis achèveront la semaine avec les premiers chiffres de leur produit intérieur brut du troisième trimestre, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de vigueur de celle-ci, après quoi l'université du Michigan diffusera son indice révisé de la confiance des consommateurs.
La monnaie unique a en effet fléchi après la conclusion vendredi de deux jours de réunion de l'Union Européenne, en l'absence d'informations concernant l'éventuel appel au secours de l'Espagne ou l'attribution espérée de la prochaine tranche d'aides à la Grèce.
Les chefs de l'UE se sont par contre mis d'accord sur la création d'une supervision bancaire unifiée pour la région, qui permettrait aussi à son fonds de secours d'allouer directement des fonds à ses banques en difficulté.
Le billet vert a aussi repris des couleurs après que l'association américaine des agents immobiliers ait déploré comme prévu pour septembre une chute de 1.7% du volume des acquisitions d'habitations d'occasion.
Cette mauvaise nouvelle est venue s'ajouter aux résultats décevants de Microsoft et McDonald's pour le troisième trimestre, nuisant à la popularité des valeurs risquées.
Le yen restait quand à lui sur la sellette alors que les rumeurs d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon filaient bon train dans l'expectative de sa réunion du 30 octobre.
La devise de la Grande-Bretagne a elle aussi dérapé contre, malgré une étude montrant que le déficit budgétaire britannique avait moins augmenté en septembre que redouté.
Le procès-verbal du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre avait mentionné en début de semaine des désaccords avaient émergé concernant le besoin ou non de prolonger le programme de rachat de bons du trésor après son expiration en fin de mois.
Son homologue du Canada n'était pas non plus à la fête, plongeant au plus bas des deux derniers mois par rapport à son cousin, la faiblesse de l'inflation au détail nationale ayant fait diminuer l'attente d'une hausse des taux d'intérêt de la part de sa banque émettrice.
Les chiffres de la croissance américaine du troisième trimestre seront au centre des débats de la semaine, de même que les conclusions de la première réunion de la Réserve Fédérale depuis l'annonce en septembre d'une troisième série d'injections de liquidités.
Du côté de la zone euro, l'attention sera monopolisée par le baromètre de l'enthousiasme des entreprises allemandes ainsi que les résultats préliminaires au sujet de l'évolution des activités secondaire et tertiaire.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 22 octobre
Le Japon révèlera sa balance commerciale, faisant la différence entre les valeurs des biens ou services exportés et importés.
Mardi 23 octobre
L'Australie fournira son indice des signaux économiques prévisionnels, destiné à prédire la direction de l'économie future.
Le Royaume-Uni fera de même concernant les accords de prêts hypothécaires, reflétant la demande sur le marché immobilier.
La Banque du Canada annondera ensuite son taux d'intérêt directeur, suivi d'un communiqué explicatif donnant son point de vue sur l'état de l'économie et de ses perspectives.
Le pays divulguera aussi le volume officiel de ses ventes au détail, premier signe des dépenses de consommation, lesquelles représentent la majeure partie de l'activité économique totale.
Mercredi 24 octobre
Les autorités d'Australie diffuseront leurs informations sur l'évolution des prix à la consommation dans le pays, qui représente la plus grande part de l'inflation totale.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande l'imitera avec son taux de base, ainsi qu'une synthèse offrant son analyse en profondeur de l'économie présente et future.
La Chine ne sera pas en reste avec l'état de son activité manufacturière constaté par les acteurs du secteur, signe fort de vigueur de son économie.
La zone euro fera de même avec les premièrees évaluations de l'activité des usines et des services régionaux, les poumons de son économie, qui feront aussi l'objet de rapports individuels de la part de l'Allemagne et de la France, tandis que l'institut Ifo pour la recherche économique publiera son rapport sur l'humeur économique allemande.
Dans le reste de l'Europe, le Royaume-Uni verra ses industriels dévoiler leurs attentes de commandes, préfigurant leur activité prochaine.
La Banque du Canada rendra un rapport sur sa politique monétaire suite à l'annonce la veille de son taux directeur, tandis que Mark Carney, son gouverneur, devrait tenir une conférence de presse concernant cette décision.
Les Etats-Unis concluront la journée avec les chiffres des ventes de logements neufs, signe crucial de santé économique, ainsi qu'avec l'inventaire des réserves pétrolières.
La Réserve Fédérale fera ensuite connaître son taux d'intérêt directeur et dévoilera son texte explicatif sur la question.
Jeudi 25 octobre
La Royaume-Uni révèlera son produit intérieur brut de début juillet à fin septembre, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de vigueur de celle-ci.
Les Etats-Unis feront de même avec le volume officiel des commandes de biens durables, préfigurant la production future, ainsi quee celui des ventes d'habitations en cours et des nouvelles inscriptions au chômage.
La Nouvelle-Zélande divulguera dans la soirée le solde de son commerce extérieur, faisant la différence entre les valeurs des biens ou services exportés et importés.
Vendredi 26 octobre
Le Japon dévoilera les variations de ses prix à la consommation, qui représentent la plus grande part de l'inflation générale.
En zone euro, l'Allemagne verra le groupe de recherches économiques Gfk publier une étude sur le moral des consommateurs, tandis que l'Espagne fournira son taux de chômage officiel.
Du côté du reste de l'Europe, l'agence de recherches économiques KOF fournira son baromètre économique de la Suisse, étudié afin de pointer dans la direction que prendra l'économie à l'avenir.
Les Etats-Unis achèveront la semaine avec les premiers chiffres de leur produit intérieur brut du troisième trimestre, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de vigueur de celle-ci, après quoi l'université du Michigan diffusera son indice révisé de la confiance des consommateurs.