Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une hausse de 0,47% vendredi, soutenur par une statistique américaine particulièrement enourageante, sur fond de regain d'inquiétudes sur les perspectives de croissance en zone euro.
L’indice préliminaire de confiance du consommateur américain, tel que calculé par Thomson Reuters-Université du Michigan, est ressorti en hausse de 2,3 points à 84,9 points, là où le consensus tablait sur une augmentation plus modérée à 83 points. Il s’agit d’un plus haut depuis juillet 2007.
En revanche, la production industrielle en France a reculé de 2,7% en septembre, contre une baisse de 1% attendue. La production manufacturière plonge de 3,2%. La Banque de France a annoncé que l’économie française devrait connaître une légère récession au deuxième semestre, prévoyant un recul de 0,1% du PIB pour le quatrième trimestre.
Par ailleurs, le vice-ministre des Finances grec a déclaré que les réserves de liquidités du pays sont presque épuisées. Selon un haut responsable européen, il est peu probable que les ministres de la zone euro, qui se réunissent lundi à Bruxelles dans le cadre de l’Eurogroupe, puissent prendre une décision sur le déblocage de la nouvelle tranche d’aide nécessaire pour faire face aux échéances de la dette.
Du côté des valeurs, les banques sont restées dans le rouge en fin de séance. Crédit Agricole abandonnait 5,73% à la clôture, après avoir annoncé une perte nette de 2,85 milliards d'euros au troisième trimestre, dont un impact négatif de 1,95 milliard d'euros lié à la cession de la filiale grecque Emporiki.
A la fermeture du CAC 40, Société Générale pliait de 1,18% et BNP Paribas perdait 1,20%.
A l'inverse, Lafarge a effacé ses pertes de mi-séance et engrangeait 1,42% en fin de journée, alors que le groupe a annoncé un chiffre d’affaires de 4,39 milliards d’euros, en hausse de 4% entre juillet et septembre.
Il confirme, par ailleurs, sa prévision d’une augmentation de 1% à 4% de la demande mondiale de ciment en 2012.
Egalement en hausse, Vallourec grimpait de 4,02%, après qu'UBS est repassé de "vendre" à "neutre" sur le titre.
Enfin, Danone s'octroyait 1,32% en fin de séance, alors que le groupe va poursuivre ses discussions avec le producteur japonais de produits laitiers Yakult au sujet de l'acquisition d'une participation supplémentaire à son capital par le géant agroalimentaire français.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 grappillait 0,06%, le DAX reculait de 0,56% et le Footsie 100 cédait 0,09%.
L’indice préliminaire de confiance du consommateur américain, tel que calculé par Thomson Reuters-Université du Michigan, est ressorti en hausse de 2,3 points à 84,9 points, là où le consensus tablait sur une augmentation plus modérée à 83 points. Il s’agit d’un plus haut depuis juillet 2007.
En revanche, la production industrielle en France a reculé de 2,7% en septembre, contre une baisse de 1% attendue. La production manufacturière plonge de 3,2%. La Banque de France a annoncé que l’économie française devrait connaître une légère récession au deuxième semestre, prévoyant un recul de 0,1% du PIB pour le quatrième trimestre.
Par ailleurs, le vice-ministre des Finances grec a déclaré que les réserves de liquidités du pays sont presque épuisées. Selon un haut responsable européen, il est peu probable que les ministres de la zone euro, qui se réunissent lundi à Bruxelles dans le cadre de l’Eurogroupe, puissent prendre une décision sur le déblocage de la nouvelle tranche d’aide nécessaire pour faire face aux échéances de la dette.
Du côté des valeurs, les banques sont restées dans le rouge en fin de séance. Crédit Agricole abandonnait 5,73% à la clôture, après avoir annoncé une perte nette de 2,85 milliards d'euros au troisième trimestre, dont un impact négatif de 1,95 milliard d'euros lié à la cession de la filiale grecque Emporiki.
A la fermeture du CAC 40, Société Générale pliait de 1,18% et BNP Paribas perdait 1,20%.
A l'inverse, Lafarge a effacé ses pertes de mi-séance et engrangeait 1,42% en fin de journée, alors que le groupe a annoncé un chiffre d’affaires de 4,39 milliards d’euros, en hausse de 4% entre juillet et septembre.
Il confirme, par ailleurs, sa prévision d’une augmentation de 1% à 4% de la demande mondiale de ciment en 2012.
Egalement en hausse, Vallourec grimpait de 4,02%, après qu'UBS est repassé de "vendre" à "neutre" sur le titre.
Enfin, Danone s'octroyait 1,32% en fin de séance, alors que le groupe va poursuivre ses discussions avec le producteur japonais de produits laitiers Yakult au sujet de l'acquisition d'une participation supplémentaire à son capital par le géant agroalimentaire français.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 grappillait 0,06%, le DAX reculait de 0,56% et le Footsie 100 cédait 0,09%.