Investing.com - Le dollar U.S. a redressé la tête face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, restant proche d'un pic de deux ans et demi contre son homologue nippon, et s'extirpant d'un gouffre de 14 mois contre l'euro suite à la révélation de résultats allemands peu reluisants, la contraction inattendue de l'économie américaine au quatrième trimestre encourageant les valeurs sûres.
En début de seconde partie de séance européenne, il a tenu son rang devant le yen, l'USD/JPY perdant 0.05% pour chuter à 91.03, frôlant sa plus haute valeur depuis la mi-juin 2010.
Le département d'état au commerce avait fait savoir hier que l'économie américaine avait subi une contraction de 0.1% au quatrième trimestre, alors qu'une expansion de 1.1% était envisagée, entraînant une forte déception après les 3.1% enregistrés lors du troisième.
La banque centrale américaine a ensuite assuré hier qu'elle continuerait à procéder des acquisitions d'actifs en conclusion de son dernier conseil de direction.
Mais la devise du pays du soleil levant restait sur la sellette, la pression politique exercée par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour désireux de combattre la déflation, sur la Banque du Japon, afin de lui faire procéder à des accommudements supplémentaires, semblant devoir se maintenir.
Il en était de même avec son adversaire européenne, l'EUR/USD trébuchant de 0.17% pour reprendre pied à 1.3542.
Celle-ci avait perdu des plumes après qu'il ait été montré ce matin que les ventes au détail d'Allemagne avaient plongé de 1.7% en décembre, leur pire revers en plus de trois ans.
La Deutsche Bank, premier établissement bancaire du pays, a aussi déçu avec 2.2 milliards d'euros de pertes nettes de début octobre à fin décembre.
On pouvait toutefois signaler une diminution de 16 000 incrits au chômage constatée en Allemagne pour janvier, soit le double des 8 000 espérés, le taux de chômage trébuchant du coup de 6.8 vers 6.9%.
Le billet vert a aussi repris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD dérapant de 0.21% pour glisser à 1.5782, ainsi qu'au franc suisse, l'USD/CHF arrachant 0.08% pour grimper à 0.9116.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été partagée contre ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.14% pour aller vers 1.0027, l'AUD/USD se stabilisant à 1.0414 et le NZD/USD engrangeant 0.16% pour culminer à 0.8372.
L'unité monétaire de Nouvelle-Zélande avait encore le sourire après que la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande ait maintenu à l'aube son taux directeur de 2.5% et déclaré s'attendre à ce que la croissance du pays se renforce au cours de l'année à venir.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.12% pour se situer à 79.4.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions pour bénéficier des allocations de recherche d'emploi.
En début de seconde partie de séance européenne, il a tenu son rang devant le yen, l'USD/JPY perdant 0.05% pour chuter à 91.03, frôlant sa plus haute valeur depuis la mi-juin 2010.
Le département d'état au commerce avait fait savoir hier que l'économie américaine avait subi une contraction de 0.1% au quatrième trimestre, alors qu'une expansion de 1.1% était envisagée, entraînant une forte déception après les 3.1% enregistrés lors du troisième.
La banque centrale américaine a ensuite assuré hier qu'elle continuerait à procéder des acquisitions d'actifs en conclusion de son dernier conseil de direction.
Mais la devise du pays du soleil levant restait sur la sellette, la pression politique exercée par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour désireux de combattre la déflation, sur la Banque du Japon, afin de lui faire procéder à des accommudements supplémentaires, semblant devoir se maintenir.
Il en était de même avec son adversaire européenne, l'EUR/USD trébuchant de 0.17% pour reprendre pied à 1.3542.
Celle-ci avait perdu des plumes après qu'il ait été montré ce matin que les ventes au détail d'Allemagne avaient plongé de 1.7% en décembre, leur pire revers en plus de trois ans.
La Deutsche Bank, premier établissement bancaire du pays, a aussi déçu avec 2.2 milliards d'euros de pertes nettes de début octobre à fin décembre.
On pouvait toutefois signaler une diminution de 16 000 incrits au chômage constatée en Allemagne pour janvier, soit le double des 8 000 espérés, le taux de chômage trébuchant du coup de 6.8 vers 6.9%.
Le billet vert a aussi repris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD dérapant de 0.21% pour glisser à 1.5782, ainsi qu'au franc suisse, l'USD/CHF arrachant 0.08% pour grimper à 0.9116.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été partagée contre ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.14% pour aller vers 1.0027, l'AUD/USD se stabilisant à 1.0414 et le NZD/USD engrangeant 0.16% pour culminer à 0.8372.
L'unité monétaire de Nouvelle-Zélande avait encore le sourire après que la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande ait maintenu à l'aube son taux directeur de 2.5% et déclaré s'attendre à ce que la croissance du pays se renforce au cours de l'année à venir.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.12% pour se situer à 79.4.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions pour bénéficier des allocations de recherche d'emploi.