Investing.com - Les bourses européennes restaient en berne ce jeudi après-midi, suite à notamment des résultats économiques peu reluisants de la part de l'Allemagne, les yeux se tournant à présent vers les chiffres de l'emploi américain attendus en fin de journée.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.79%, le CAC 40 français de 0.86%, et le DAX 30 allemand de 0.4%.
L'ambiance s'est modérément éclaircie après que des chiffres officiels aient mis en évidence pour le second mois d'affilée une érosion du nombre des demandeurs d'emploi d'Allemagne, tandis que le taux de chômage diminuait également.
Mais il avait aussi été montré ce matin que les ventes au détail nationales avaient plongé de 1.7% en décembre, leur pire revers en plus de trois ans.
La banque centrale américaine avait quand à elle rappelé hier qu'elle continuerait à procéder 85 milliards d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs "si les perspectives du marché de l'emploi ne montraient pas d'améliorations substantielles".
Elle a aussi assuré que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro tant que le chômage ne passerait pas sous les 6.5%.
La finance s'est retrouvée sur la défensive, les français BNP Paribas et Société Générale chutant respectivement de 0.8 et 1.76%, l'allemande Commerzbank faisant bien pire avec 2.95%.
Deutsche Bank nageait par contre à contre-courant avec un sursaut de 0.65%, enregistrant des pertes dépassant les estimations pour le quatrième trimestre après avoir pourtant supprimé plus de 1 400 emplois, ayant mis de côté un milliard d'euros pour des frais judiciaires.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit s'effondrant de 2.6 et 0.82%, imités par les espagnols Banco Santander et BBVA dégringolaient avec 3.28 et 1.99%.
A Londres, le FTSE 100 sombrait de 0.56%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking dévissait ainsi de 0.12%, et HSBC Holdings de 0.57%, Barclays et la Royal Bank of Scotland subissant des hémorragies de 1.5 et 2.4%.
Les mastodontes miniers gardaient cependant le sourire, BHP Billiton et Rio Tinto encaissant 0.81 et 0.5%, le cuivrier Xstrata se contentant de 0.13%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.64%, de même que Petrofac, fournisseur d'infrastructures intégrées axées sur la production et la gestion du pétrole, du gaz et de l'énergie, s'élevant de 1.58%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modetement pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.33%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.79%, le CAC 40 français de 0.86%, et le DAX 30 allemand de 0.4%.
L'ambiance s'est modérément éclaircie après que des chiffres officiels aient mis en évidence pour le second mois d'affilée une érosion du nombre des demandeurs d'emploi d'Allemagne, tandis que le taux de chômage diminuait également.
Mais il avait aussi été montré ce matin que les ventes au détail nationales avaient plongé de 1.7% en décembre, leur pire revers en plus de trois ans.
La banque centrale américaine avait quand à elle rappelé hier qu'elle continuerait à procéder 85 milliards d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs "si les perspectives du marché de l'emploi ne montraient pas d'améliorations substantielles".
Elle a aussi assuré que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro tant que le chômage ne passerait pas sous les 6.5%.
La finance s'est retrouvée sur la défensive, les français BNP Paribas et Société Générale chutant respectivement de 0.8 et 1.76%, l'allemande Commerzbank faisant bien pire avec 2.95%.
Deutsche Bank nageait par contre à contre-courant avec un sursaut de 0.65%, enregistrant des pertes dépassant les estimations pour le quatrième trimestre après avoir pourtant supprimé plus de 1 400 emplois, ayant mis de côté un milliard d'euros pour des frais judiciaires.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit s'effondrant de 2.6 et 0.82%, imités par les espagnols Banco Santander et BBVA dégringolaient avec 3.28 et 1.99%.
A Londres, le FTSE 100 sombrait de 0.56%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking dévissait ainsi de 0.12%, et HSBC Holdings de 0.57%, Barclays et la Royal Bank of Scotland subissant des hémorragies de 1.5 et 2.4%.
Les mastodontes miniers gardaient cependant le sourire, BHP Billiton et Rio Tinto encaissant 0.81 et 0.5%, le cuivrier Xstrata se contentant de 0.13%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.64%, de même que Petrofac, fournisseur d'infrastructures intégrées axées sur la production et la gestion du pétrole, du gaz et de l'énergie, s'élevant de 1.58%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modetement pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.33%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.