Investing.com - Les options sur l'or se sont rapprochées de la barre psychologique cruciale des 1 600 USD ce jeudi matin, reprenant du poil de la bête après que le chef de la banque centrale américaine ait confirmé le maintien de son cap actuel.
Leurs évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables l'utilisation éventuelle de sa part de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 599.8 USD de l'once en début de séance européenne, grimpant de 0.25%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 595.2 USD, leur pire cours journalier, et 1 602.2 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 554.8 USD, leur plancher du 21 février, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 619.4 USD, leur plafond de mardi.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a confirmé lors de son second jour de comparution devant le congrès le maintien du programme d'injections de liquidités de cette dernière tant qu'il serait nécessaire.
Il a ajouté que cette orientation remportait les suffrages d'une "majorité significative" des membres de son conseil directeur.
Les cours avaient dégringolé la semaine passée au plus bas des sept mois écoulés, après que le compte-rendu de sa prise de cap de janvier ait montré que certains d'entre eux avaient envisagé de ralentir, voire d'arrêter les acquisitions d'obligations représentant un volume de 85 milliards d'USD avant même que le marché du travail ne reprenne des couleurs.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres révisés de leur croissance du début octobre à la fin décembre et le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
L'inquiétude était aussi exacerbée par l'épée de Damoclès des 85 milliards d'USD de sabrages budgétaires automatiques désignés sous le nom de "séquestration" qui se produiraient au premier mars en l'absence de compromis entre les élus américains et la Maison Blanche.
Les précédentes batailles budgétaires de ce type avaient déjà semé la zizanie sur les marchés.
La vigilance était aussi à l'ordre du jour en raison de l'hypothèse de nouvelles élections italiennes après que les espoirs de formation d'une coalition se soient amenuisés.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.5% pour grimper à 29.13 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 0.5% pour se retrouver à 3.585 USD la livre dans le même temps.
Leurs évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables l'utilisation éventuelle de sa part de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 599.8 USD de l'once en début de séance européenne, grimpant de 0.25%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 595.2 USD, leur pire cours journalier, et 1 602.2 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 554.8 USD, leur plancher du 21 février, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 619.4 USD, leur plafond de mardi.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a confirmé lors de son second jour de comparution devant le congrès le maintien du programme d'injections de liquidités de cette dernière tant qu'il serait nécessaire.
Il a ajouté que cette orientation remportait les suffrages d'une "majorité significative" des membres de son conseil directeur.
Les cours avaient dégringolé la semaine passée au plus bas des sept mois écoulés, après que le compte-rendu de sa prise de cap de janvier ait montré que certains d'entre eux avaient envisagé de ralentir, voire d'arrêter les acquisitions d'obligations représentant un volume de 85 milliards d'USD avant même que le marché du travail ne reprenne des couleurs.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres révisés de leur croissance du début octobre à la fin décembre et le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
L'inquiétude était aussi exacerbée par l'épée de Damoclès des 85 milliards d'USD de sabrages budgétaires automatiques désignés sous le nom de "séquestration" qui se produiraient au premier mars en l'absence de compromis entre les élus américains et la Maison Blanche.
Les précédentes batailles budgétaires de ce type avaient déjà semé la zizanie sur les marchés.
La vigilance était aussi à l'ordre du jour en raison de l'hypothèse de nouvelles élections italiennes après que les espoirs de formation d'une coalition se soient amenuisés.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.5% pour grimper à 29.13 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 0.5% pour se retrouver à 3.585 USD la livre dans le même temps.