Investing.com - Les options sur le brut ont conclu avec sur une note modérément positive la bonne surprise causée par le marché de l'emploi des Etats-Unis pour le mois passé ayant laissé espérer que leur économie n'avait guère été affectée par la paralysie ayant frappé leurs administrations, et ravivé les incertitudes sur le calendrier des diminutions des aides provenant de leur banque centrale.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 94,60 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0,42%.
La session précédente les avait vus conclure à 94,20 USD, avec un passage à vide de 0,63%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 93,07 USD, leur plancher du 5 novembre, et rencontrer de la résistance à 95,40 USD, leur plafond du lendemain.
Leurs évolutions hebdomadaires étaient minimes.
Le département d'état au travail américain en effet compté 204.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de seulement 125.000 était envisagée, tandis que le total précédent de 148.000 était revu vers le haut jusqu'à 163.000.
Le taux de chômage remontait cependant dans le même temps depuis son creux de près de cinq ans de septembre à 7,2% jusqu'à 7,3%.
Le bureau d'analyse économique avait déjà souligné la veille que l'économie nationale avait connu une expansion de 2,8% d'une année sur l'autre au troisième trimestre, dépassant ainsi largement les 2% espérés.
Ces bonnes nouvelles ont du coup apaisé l'angoisse d'une diminution du premier appétit mondial.
Les cours ont subi une tendance baissière ces dernières semaines, dans la crainte que les récentes mises à pied partielles des fonctionnaires aient nui à l'expansion économique, et donc aux besoins pétroliers.
Leur volume total a toutefois culminé à 385,4 millions de barils, leur niveau le plus élevé depuis juin.
Les prix n'ont pas flambée en raison du renforcement du dollar U.S. dû au retour des rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait réduire le volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès le mois prochain.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,48% pour se situer à 81,29, son niveau le plus élevé depuis le 13 septembre.
L'audition jeudi de Janet Yellen devant le sénat américain en vue de sa confirmation au poste de première présidente de la Fed sera sur toutes les lèvres auu cours de la semaine à venir.
Les évaluations préliminaires de la croisance de la zone euro et du Japon seront aussi surveillées de près.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont pour leur part empoché 1,6% vendredi pour grimper à 105,12 USD du baril.
Leur remontée faisait suite aux propos du secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, déclarant que "des pas décisifs restaient à franchir" avant de pouvoir aboutir à un assouplissement des sanctions touchant les exportations de l'Iran.
Celles-ci, en réactions aux allégations selon lesquelles Téhéran chercherait à développer l'arme nucléaire, ont retiré plus d'un million de barils quotidien du marché.
Leurs cours, établis à Londres, ont malgré tout terminé la semaine avec un recul de 0,74%, pour s'établir à 10,52 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 94,60 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0,42%.
La session précédente les avait vus conclure à 94,20 USD, avec un passage à vide de 0,63%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 93,07 USD, leur plancher du 5 novembre, et rencontrer de la résistance à 95,40 USD, leur plafond du lendemain.
Leurs évolutions hebdomadaires étaient minimes.
Le département d'état au travail américain en effet compté 204.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de seulement 125.000 était envisagée, tandis que le total précédent de 148.000 était revu vers le haut jusqu'à 163.000.
Le taux de chômage remontait cependant dans le même temps depuis son creux de près de cinq ans de septembre à 7,2% jusqu'à 7,3%.
Le bureau d'analyse économique avait déjà souligné la veille que l'économie nationale avait connu une expansion de 2,8% d'une année sur l'autre au troisième trimestre, dépassant ainsi largement les 2% espérés.
Ces bonnes nouvelles ont du coup apaisé l'angoisse d'une diminution du premier appétit mondial.
Les cours ont subi une tendance baissière ces dernières semaines, dans la crainte que les récentes mises à pied partielles des fonctionnaires aient nui à l'expansion économique, et donc aux besoins pétroliers.
Leur volume total a toutefois culminé à 385,4 millions de barils, leur niveau le plus élevé depuis juin.
Les prix n'ont pas flambée en raison du renforcement du dollar U.S. dû au retour des rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait réduire le volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès le mois prochain.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,48% pour se situer à 81,29, son niveau le plus élevé depuis le 13 septembre.
L'audition jeudi de Janet Yellen devant le sénat américain en vue de sa confirmation au poste de première présidente de la Fed sera sur toutes les lèvres auu cours de la semaine à venir.
Les évaluations préliminaires de la croisance de la zone euro et du Japon seront aussi surveillées de près.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont pour leur part empoché 1,6% vendredi pour grimper à 105,12 USD du baril.
Leur remontée faisait suite aux propos du secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, déclarant que "des pas décisifs restaient à franchir" avant de pouvoir aboutir à un assouplissement des sanctions touchant les exportations de l'Iran.
Celles-ci, en réactions aux allégations selon lesquelles Téhéran chercherait à développer l'arme nucléaire, ont retiré plus d'un million de barils quotidien du marché.
Leurs cours, établis à Londres, ont malgré tout terminé la semaine avec un recul de 0,74%, pour s'établir à 10,52 USD de mieux que leurs homologues américaines.