Investing.com - L'euro était en difficulté face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, voyant fondre l'avance matinale creusée sur son homologue d'aoutre-Atlantique, après-midi, subissant des résultats peu encourageants du secteur secondaire régional, sur fond de rumeurs grandissantes mais peu crédibles d'une possible réduction des rachats d'actifs de la Réserve Fédérale.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3415 en seconde partie de séance européenne, perdant 0,15% tout en évitant son gouffre de sept semaines creusé jeudi à 1,3294.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3343, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,3455, son plafond d'hier.
L'importance des créations d'emplois constatée la semaine passée aux Etats-Unis a en effet attisé les rumeurs d'une diminution des 85 milliards d'USD d'aides de leur banque centrale.
L'audition de Janet Yellen, vice-présidente de la Réserve Fédérale, qui aura lieu demain devant le sénat américain en vue de sa confirmation à la tête de la Fed faisait aussi des gorges chaudes, en quête de signes sur ses orientations futures.
Le bloc ayant adopté la monnaie unique a pour sa part signalé à la mi-journée que sa production industrielle avait reculé de 0,5% depuis août, mais qu'elle avait tout de même progressé de 1,1% annualisés, au lieu des 0,3 et 0,2% respectivement prédits.
Il a aussi été souligné que les prix au détail de l'Espagne avaient connu une érosion de 0,1% d'une année sur l'autre le mois passé, exacerbant l'angoisse de la déflation qui flottait dans le sillage du rabotage inattendu du taux d'intérêt de la Banque Centrale Européenne de jeudi vers une nouvelle valeur historique la plus faible à 0,25%.
Le yen a également exercé sa pression, l'EUR/JPY glissant de 0,37% pour déraper à 133,39.
La forme générale de la livre sterling a aussi entraîné la devise européenne vers son pire niveau journalier, l'EUR/GBP chutant de 0,56% pour se retrouver à 0,8400.
La devise de la Grande-Bretagne a largement retrouvé des couleurs après que le bulletin trimestriel sur l'inflation de la Banque d'Angleterre ait affirmé que le taux des demandeurs d'emploi diminuerait plus vite que prévu lors du précédent, son gouverneur Mark Carney ajoutant qu'il y avait "deux chances sur cinq" pour qu'elle se réduise à 7% d'ici la fin 2014.
Il était cependant précisé qu'une remontée des coûts des emprunts ne serait cependant pas automatique dans ce cas.
Elle a d'autre part précisé s'attendre à ce que l'économie britannique connaisse une expansion de 1,6% pour cette année, au lieu des 1,4% envisagés en août, et de 2,8% pour l'année prochaine plutôt que les 2,5% pressentis auparavant, celle de 2015 se maintenant à 2,3%.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine s'était déjà extraite de son creux journalier grâce à une chute des inscrits au chômage supérieure aux espérances pour octobre.
Le taux des demandeurs d'emploi a d'autre part trébuché à 7,6% entre début juillet et fin septembre, alors qu'un maintien à 7,7% semblait probable.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3415 en seconde partie de séance européenne, perdant 0,15% tout en évitant son gouffre de sept semaines creusé jeudi à 1,3294.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3343, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,3455, son plafond d'hier.
L'importance des créations d'emplois constatée la semaine passée aux Etats-Unis a en effet attisé les rumeurs d'une diminution des 85 milliards d'USD d'aides de leur banque centrale.
L'audition de Janet Yellen, vice-présidente de la Réserve Fédérale, qui aura lieu demain devant le sénat américain en vue de sa confirmation à la tête de la Fed faisait aussi des gorges chaudes, en quête de signes sur ses orientations futures.
Le bloc ayant adopté la monnaie unique a pour sa part signalé à la mi-journée que sa production industrielle avait reculé de 0,5% depuis août, mais qu'elle avait tout de même progressé de 1,1% annualisés, au lieu des 0,3 et 0,2% respectivement prédits.
Il a aussi été souligné que les prix au détail de l'Espagne avaient connu une érosion de 0,1% d'une année sur l'autre le mois passé, exacerbant l'angoisse de la déflation qui flottait dans le sillage du rabotage inattendu du taux d'intérêt de la Banque Centrale Européenne de jeudi vers une nouvelle valeur historique la plus faible à 0,25%.
Le yen a également exercé sa pression, l'EUR/JPY glissant de 0,37% pour déraper à 133,39.
La forme générale de la livre sterling a aussi entraîné la devise européenne vers son pire niveau journalier, l'EUR/GBP chutant de 0,56% pour se retrouver à 0,8400.
La devise de la Grande-Bretagne a largement retrouvé des couleurs après que le bulletin trimestriel sur l'inflation de la Banque d'Angleterre ait affirmé que le taux des demandeurs d'emploi diminuerait plus vite que prévu lors du précédent, son gouverneur Mark Carney ajoutant qu'il y avait "deux chances sur cinq" pour qu'elle se réduise à 7% d'ici la fin 2014.
Il était cependant précisé qu'une remontée des coûts des emprunts ne serait cependant pas automatique dans ce cas.
Elle a d'autre part précisé s'attendre à ce que l'économie britannique connaisse une expansion de 1,6% pour cette année, au lieu des 1,4% envisagés en août, et de 2,8% pour l'année prochaine plutôt que les 2,5% pressentis auparavant, celle de 2015 se maintenant à 2,3%.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine s'était déjà extraite de son creux journalier grâce à une chute des inscrits au chômage supérieure aux espérances pour octobre.
Le taux des demandeurs d'emploi a d'autre part trébuché à 7,6% entre début juillet et fin septembre, alors qu'un maintien à 7,7% semblait probable.