Investing.com - Les options sur le brut étaient en léger retrait ce mardi matin, les yeux braqués sur l'état des stocks des Etats-Unis afin d'évaluer l'importance du premier appétit de la planète.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 93,55 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,15%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 93,39 USD, leur cours le plus bas du jour, et 93,75 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus conclure à 93,68 USD, avec un passage à vide de 0,86%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 92?51 USD, leur plancher du 14 novembre, et rencontrer de la résistance à 95,22 USD, leur plafond du 12 novembre.
Les cours ont subi une tendance baissière ces dernières semaines, dans la crainte que les récentes mises à pied partielles des fonctionnaires aient nui à l'expansion économique, et donc aux besoins pétroliers.
Le volume total de leurs réserves d'or noir avait dernièrement culminé à 388,1 millions de barils, son niveau le plus élevé depuis juin.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer demain une augmentation de 100.000 barils des stocks d'or noir pour la semaine passée.
L'atmosphère demeurait également assombrie par les incertitudes concernant l'avenir de la politique monétaire des Etats-Unis.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu demain, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, sont sur toutes les lèvres, en quête d'indices sur les orientations futures.
William Dudley, chef de la réserve fédérale de New York, a pour sa part déclaré hier avoir l'espoir que l'économie s'améliore, et ajouté que les incertitudes budgétaires qui avaient mis un frein à la croissance avaient des chances de se dissiper au cours des mois prochains.
Il a cependant concédé que les aides demeureraient en place pour encore longtemps.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont glissé de 0,4% pour chuter à 108,04 USD du baril dans le même temps, soit 14,49 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La reprise mercredi des négociations à Genève avec l'Iran en vue d'un assouplissement des sanctions touchant ses exportations d'or noir soit trouvé faisait de nouveau des gorges chaudes, suite à l'échec du début du mois.
Celles-ci, en réactions aux allégations selon lesquelles Téhéran chercherait à développer l'arme nucléaire, ont retiré plus d'un million de barils quotidien du marché.
Leurs prix, établis à Londres, ont été récemment tirés vers le haut par la crainte d'une perturbation des flux provenant de la Libye.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 93,55 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,15%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 93,39 USD, leur cours le plus bas du jour, et 93,75 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus conclure à 93,68 USD, avec un passage à vide de 0,86%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 92?51 USD, leur plancher du 14 novembre, et rencontrer de la résistance à 95,22 USD, leur plafond du 12 novembre.
Les cours ont subi une tendance baissière ces dernières semaines, dans la crainte que les récentes mises à pied partielles des fonctionnaires aient nui à l'expansion économique, et donc aux besoins pétroliers.
Le volume total de leurs réserves d'or noir avait dernièrement culminé à 388,1 millions de barils, son niveau le plus élevé depuis juin.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer demain une augmentation de 100.000 barils des stocks d'or noir pour la semaine passée.
L'atmosphère demeurait également assombrie par les incertitudes concernant l'avenir de la politique monétaire des Etats-Unis.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu demain, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, sont sur toutes les lèvres, en quête d'indices sur les orientations futures.
William Dudley, chef de la réserve fédérale de New York, a pour sa part déclaré hier avoir l'espoir que l'économie s'améliore, et ajouté que les incertitudes budgétaires qui avaient mis un frein à la croissance avaient des chances de se dissiper au cours des mois prochains.
Il a cependant concédé que les aides demeureraient en place pour encore longtemps.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont glissé de 0,4% pour chuter à 108,04 USD du baril dans le même temps, soit 14,49 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La reprise mercredi des négociations à Genève avec l'Iran en vue d'un assouplissement des sanctions touchant ses exportations d'or noir soit trouvé faisait de nouveau des gorges chaudes, suite à l'échec du début du mois.
Celles-ci, en réactions aux allégations selon lesquelles Téhéran chercherait à développer l'arme nucléaire, ont retiré plus d'un million de barils quotidien du marché.
Leurs prix, établis à Londres, ont été récemment tirés vers le haut par la crainte d'une perturbation des flux provenant de la Libye.