Investing.com - Le dollar U.S. n'a guère progressé face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, des statistiques américaines peignant un tableau nuancé de l'économie, au lendemain de l'annonce de nouveaux assouplissements de la part de la Réserve Fédérale.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.05% pour tomber à 1.3066.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet constaté que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine achevée le 8 décembre s'était réduit de 29 000 unités au lieu des 2 000 envisagées, pour chuter sans crier gare à 343 000 après ajustement saisonnier, alors que les 370 000 précédents se trouvaient toutefois revus à la hausse vers 372 000.
Celui préposé au commerce a par contre déploré seulement 0.3% de croissance des ventes au détail pour novembre alors que 0.5% étaient espérés.
Il était d'autre part à noter que l'inflation des prix à la production, du pays s'était élevée à 0.3% en novembre, au lieu des 0.5% prédits.
La banque centrale américaine avait donc décidé hier de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations nationales et de titres sécurisés adossés à des hypothèques pour un total de 85 milliards d'USD afin de renflouer l'économie.
Elle a aussi précisé que ses taux de base demeureraient presque nuls tant que les prévisions d'inflation se maintiendraient aux alentours de son objectif fixé à 2%, jusqu'à ce que le chômage passe sous les 6.6%.
Une fois ces informations dévoilées, l'attention a pu se reporter de nouveau sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet à la nouvelle année risquant de faire dérailler la relance économique nationale.
Le bloc euro avait pour sa part vu ses ministres des finances se mettrer d'accord sur les règles de supervision des banques régionales à la veille du sommet de l'Union Européenne d'aujourd'hui.
Ils ont aussi entériné l'octroi de 49.1 milliards d'euros d'aides à la Grèce, celle-ci ayant mené à bien cette semaine son processus de rachat de dettes à ses créanciers privés.
Le billet vert frôlait aussi un pic de huit mois contre le yen, l'USD/JPY grimpant de 0.22% pour se hisser à 83.44.
Ce dernier restait en effet sur la sellette, dans l'expectative d'un renforcement la pression poussant la Banque du Japon à adopter une politique monétaire plus agressive après les élections législatives de dimanche.
La livre sterling a bien résisté à sa pression, le GBP/USD glissant de 0.01% pour reprendre pied à 1.6145, mais le franc suisse a toutefois fait mieux que résister, l'USD/JPY trébuchant de 0.12% pour sombrer à 0.9252.
La Banque Nationale Suisse avait maintenu ce matin son taux d'intérêt à zéro, rappelant être "prête à agir dès que possible" au cas où la situation devrait évoluer.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominé par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD laissant échapper 0.19% pour descendre à 0.9826, l'AUD/USD se laissant arracher 0.02% pour se retrouver à 1.0556 et le NZD/USD frémissant de 0.24% pour culminer à 0.8454.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.04% pour se situer à 79.98.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.05% pour tomber à 1.3066.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet constaté que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine achevée le 8 décembre s'était réduit de 29 000 unités au lieu des 2 000 envisagées, pour chuter sans crier gare à 343 000 après ajustement saisonnier, alors que les 370 000 précédents se trouvaient toutefois revus à la hausse vers 372 000.
Celui préposé au commerce a par contre déploré seulement 0.3% de croissance des ventes au détail pour novembre alors que 0.5% étaient espérés.
Il était d'autre part à noter que l'inflation des prix à la production, du pays s'était élevée à 0.3% en novembre, au lieu des 0.5% prédits.
La banque centrale américaine avait donc décidé hier de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations nationales et de titres sécurisés adossés à des hypothèques pour un total de 85 milliards d'USD afin de renflouer l'économie.
Elle a aussi précisé que ses taux de base demeureraient presque nuls tant que les prévisions d'inflation se maintiendraient aux alentours de son objectif fixé à 2%, jusqu'à ce que le chômage passe sous les 6.6%.
Une fois ces informations dévoilées, l'attention a pu se reporter de nouveau sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet à la nouvelle année risquant de faire dérailler la relance économique nationale.
Le bloc euro avait pour sa part vu ses ministres des finances se mettrer d'accord sur les règles de supervision des banques régionales à la veille du sommet de l'Union Européenne d'aujourd'hui.
Ils ont aussi entériné l'octroi de 49.1 milliards d'euros d'aides à la Grèce, celle-ci ayant mené à bien cette semaine son processus de rachat de dettes à ses créanciers privés.
Le billet vert frôlait aussi un pic de huit mois contre le yen, l'USD/JPY grimpant de 0.22% pour se hisser à 83.44.
Ce dernier restait en effet sur la sellette, dans l'expectative d'un renforcement la pression poussant la Banque du Japon à adopter une politique monétaire plus agressive après les élections législatives de dimanche.
La livre sterling a bien résisté à sa pression, le GBP/USD glissant de 0.01% pour reprendre pied à 1.6145, mais le franc suisse a toutefois fait mieux que résister, l'USD/JPY trébuchant de 0.12% pour sombrer à 0.9252.
La Banque Nationale Suisse avait maintenu ce matin son taux d'intérêt à zéro, rappelant être "prête à agir dès que possible" au cas où la situation devrait évoluer.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominé par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD laissant échapper 0.19% pour descendre à 0.9826, l'AUD/USD se laissant arracher 0.02% pour se retrouver à 1.0556 et le NZD/USD frémissant de 0.24% pour culminer à 0.8454.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.04% pour se situer à 79.98.