Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse ce mercredi, tout en restant proches de leur pic des 30 derniers mois, sur fond d'encaissement des profits dans l'expectative du rapport gouvernemental sur les réserves américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 99.89 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.46%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 99.23 USD, leur cours le plus bas du jour.
Les investisseurs ont revendu leurs contrats pour encaisser leurs plus-values après que les cours se soient établis à 100.58 USD mardi, leur coût à la clôture le plus élevé depuis le premier octobre 2008, la poursuite des émeutes libyennes alimentant la crainte d'une perturbation des approvisionnements.
Les prix ont toutefois bénéficié de l'angoisse d'une extension de l'instabilité politique en direction des principaux extracteurs de pétrole de la région, et notamment l'Arabie Saoudite.
L'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et produit environ 8.4 millions de barils quotidiens.
Goldman Sachs a déclaré dans un rapport publié dans la soirée de mardi que "le marché du pétrole est poussé par la peur de la contagion des autres nations productrices" et que "d'autres perturbations pourraient déclencher des pénuries sévères et exiger un rationnement de la demande".
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait dévoiler son inventaire très attendu des réserves d'or noir pour la semaine achevée le 25 février en fin de journée.
Celui-ci pourrait indiquer une hausse de 1.1 millions de barils, prolongeant les 0.8 millions ajoutés la semaine précédente, ce qui constituerait la septième semaine consécutive d'augmentation.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour avril ont gagné 0.86% pour grimper à 115.44 USD du baril, soit 15.55 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 99.89 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.46%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 99.23 USD, leur cours le plus bas du jour.
Les investisseurs ont revendu leurs contrats pour encaisser leurs plus-values après que les cours se soient établis à 100.58 USD mardi, leur coût à la clôture le plus élevé depuis le premier octobre 2008, la poursuite des émeutes libyennes alimentant la crainte d'une perturbation des approvisionnements.
Les prix ont toutefois bénéficié de l'angoisse d'une extension de l'instabilité politique en direction des principaux extracteurs de pétrole de la région, et notamment l'Arabie Saoudite.
L'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et produit environ 8.4 millions de barils quotidiens.
Goldman Sachs a déclaré dans un rapport publié dans la soirée de mardi que "le marché du pétrole est poussé par la peur de la contagion des autres nations productrices" et que "d'autres perturbations pourraient déclencher des pénuries sévères et exiger un rationnement de la demande".
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait dévoiler son inventaire très attendu des réserves d'or noir pour la semaine achevée le 25 février en fin de journée.
Celui-ci pourrait indiquer une hausse de 1.1 millions de barils, prolongeant les 0.8 millions ajoutés la semaine précédente, ce qui constituerait la septième semaine consécutive d'augmentation.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour avril ont gagné 0.86% pour grimper à 115.44 USD du baril, soit 15.55 USD de mieux que leurs homologues américaines.