Comme prévu, les comptes trimestriels d'Eni ont été dopés par la vive remontée du prix du pétrole, qui avait atteint son point bas en janvier 2016. Mais aussi par la progression des extractions d'hydrocarbures, qui devrait accélérer durant le reste de 2017.
Au terme du premier quart de l'année, la major pétro-gazière italienne a enregistré une production de 1,795 millions de barils d'équivalent-pétrole/jour, en hausse de 2% sur un an, alors que le cours moyen du Brent se reprenait de 59% à 53,8 dollars le baril.
Sur la période, le résultat opérationnel ajusté s'est lui aussi repris : + 215% à 1,8 milliard d'euros, grâce essentiellement à l'Amont (x 14,9 à 1,4 milliard). Des chiffres grosso modo en ligne avec les attentes du marché. Toujours en données ajustées, le résultat net passe de 2 à 744 millions d'euros (0,21 euro par action), soit en données publiées 965 millions (0,27 euro par action).
Le cash flow opérationnel ajusté a regagné de 76% à 2,6 milliards d'euros, et du côté du bilan, le 'gearing' s'établit à 28%.
Le directeur général d'Eni, Claudio Descalzi, estime que ces résultats découlent, outre la remontée du pétrole, de la stratégie mise en oeuvre, et a confirmé l'ensemble des objectifs. Cette année, le groupe vise une production de 1,84 million de barils d'équivalent-pétrole/jour, ce qui représenterait une hausse de 5% par rapport à 2016.
'Nous prévoyons qu'en 2017, le cash flow organique combiné au produit des cessions permettra de financer intégralement nos investissements et les dividendes, même si le prix du pétrole venait à baisser', ajoute-t-il,
Rappelons qu'Eni a payé un dividende global de 0,80 euro au titre de l'exercice 2016.
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Au terme du premier quart de l'année, la major pétro-gazière italienne a enregistré une production de 1,795 millions de barils d'équivalent-pétrole/jour, en hausse de 2% sur un an, alors que le cours moyen du Brent se reprenait de 59% à 53,8 dollars le baril.
Sur la période, le résultat opérationnel ajusté s'est lui aussi repris : + 215% à 1,8 milliard d'euros, grâce essentiellement à l'Amont (x 14,9 à 1,4 milliard). Des chiffres grosso modo en ligne avec les attentes du marché. Toujours en données ajustées, le résultat net passe de 2 à 744 millions d'euros (0,21 euro par action), soit en données publiées 965 millions (0,27 euro par action).
Le cash flow opérationnel ajusté a regagné de 76% à 2,6 milliards d'euros, et du côté du bilan, le 'gearing' s'établit à 28%.
Le directeur général d'Eni, Claudio Descalzi, estime que ces résultats découlent, outre la remontée du pétrole, de la stratégie mise en oeuvre, et a confirmé l'ensemble des objectifs. Cette année, le groupe vise une production de 1,84 million de barils d'équivalent-pétrole/jour, ce qui représenterait une hausse de 5% par rapport à 2016.
'Nous prévoyons qu'en 2017, le cash flow organique combiné au produit des cessions permettra de financer intégralement nos investissements et les dividendes, même si le prix du pétrole venait à baisser', ajoute-t-il,
Rappelons qu'Eni a payé un dividende global de 0,80 euro au titre de l'exercice 2016.
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