Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse pour la quatrième session d'affilée ce lundi, chutant dans un creux des sept semaines écoulées alors que les craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro et le renforcement du dollar U.S. réduisaient l'attrait des matières premières.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 78.34 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 1.88%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 77.14 USD, leur cours le plus bas depuis le 9 août, avec 2.95% de fléchissement.
La réunion de fin de semaine des membres du G 20 et du Fonds Monétaire International n'a pas permis de nouvelles avancées concrètes pour régler le problème du surendettement européen.
Joerg Asmussen, ministre des finances adjoint de l'Allemagne, a pour sa part déclaré dimanche qu'une décision concernant l'attribution ou non de la nouvelle tranche d'aides à la Grèce avait des chances de prendre plus de temps que prévu, attisant la nervosité des observateurs concernant les problèmes de surendettement régionaux.
Mohammed bin Saleh al-Sada, ministre du pétrole du Qatar, a déclaré dans la même période que le angoisses liées à la crise européenne et à l'économie mondiale avaient fait diminuer la demande pour le pétrole brut.
Lors d'un congrès de spécialistes à Doha, il a affirmé hier: "Nous étudions de près les évolutions de l'offre et de la demande, étant évident que les turbulences financières rencontrées par certains pays européens sont désormais au centre des attentions."
La regain de forme de l'étalon américain a également contribué à tirer les prix vers le bas, celui-ci grimpaant vers un pic des huit derniers mois face à l'euro, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, gagnait 0.3% de son côté pour se situer à 79.17, sa meilleure valeur depuis le 18 janvier.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont gagné plongé de 0.81% pour sombrer à 102.97 USD du baril dans le même temps, soit 24.63 USD de mieux que leurs homologues américaines.
JP Morgan, une des banques d'affaires les plus influentes de Wall Street, a maintenu malgré ce passage à vide ses prévisions à 115 USD du baril pour 2012, invoquant les chances pour que les membres de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole réduisent leur production afin de maintenir des courss élevés.
Elle a ajouté dans son rapport: "Tant que les producteurs se trouvent prêts à ajuster leurs extractions vers les niveaux de la mi-2010, nous estimons que le Brent a des chances de demeurer dans une fourchette entre 100 et 120 USD."
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 78.34 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 1.88%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 77.14 USD, leur cours le plus bas depuis le 9 août, avec 2.95% de fléchissement.
La réunion de fin de semaine des membres du G 20 et du Fonds Monétaire International n'a pas permis de nouvelles avancées concrètes pour régler le problème du surendettement européen.
Joerg Asmussen, ministre des finances adjoint de l'Allemagne, a pour sa part déclaré dimanche qu'une décision concernant l'attribution ou non de la nouvelle tranche d'aides à la Grèce avait des chances de prendre plus de temps que prévu, attisant la nervosité des observateurs concernant les problèmes de surendettement régionaux.
Mohammed bin Saleh al-Sada, ministre du pétrole du Qatar, a déclaré dans la même période que le angoisses liées à la crise européenne et à l'économie mondiale avaient fait diminuer la demande pour le pétrole brut.
Lors d'un congrès de spécialistes à Doha, il a affirmé hier: "Nous étudions de près les évolutions de l'offre et de la demande, étant évident que les turbulences financières rencontrées par certains pays européens sont désormais au centre des attentions."
La regain de forme de l'étalon américain a également contribué à tirer les prix vers le bas, celui-ci grimpaant vers un pic des huit derniers mois face à l'euro, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, gagnait 0.3% de son côté pour se situer à 79.17, sa meilleure valeur depuis le 18 janvier.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont gagné plongé de 0.81% pour sombrer à 102.97 USD du baril dans le même temps, soit 24.63 USD de mieux que leurs homologues américaines.
JP Morgan, une des banques d'affaires les plus influentes de Wall Street, a maintenu malgré ce passage à vide ses prévisions à 115 USD du baril pour 2012, invoquant les chances pour que les membres de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole réduisent leur production afin de maintenir des courss élevés.
Elle a ajouté dans son rapport: "Tant que les producteurs se trouvent prêts à ajuster leurs extractions vers les niveaux de la mi-2010, nous estimons que le Brent a des chances de demeurer dans une fourchette entre 100 et 120 USD."