Investing.com - Le dollar U.S. est tombé dans une ornière hebdomadaire face au franc suisse ce lundi, le goût pour le risque ayant repris des couleurs alors que l'espoir flottait que la Grèce se rapproche d'un nouveau plan de secours.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9125 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 13 février, puis s'est stabilisée vers 0.9126, perdant 0.79%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9088, son plancher des deux mois écoulés datant du 9 février, et de rencontrer de la résistance à 0.9177, son plafond du jour.
Evangelos Venizelos, respponsable des finances grecques, a pour sa part déclaré avant le début de la rencontre que les négociations concernant les 130 milliards d'aides et le pan de restructuration de la dette dont elles dépendent dureraient jusqu'à la dernière minute, mais rappelé que la Grèce avait rempli toutes les conditions exigées par ses créanciers.
Il a rajouté: "Nous nous attendons à voir aujourd'hui la fin d'une période d'incertitude qui n'aura fait de bien ni à l'économie du pays ni à celle de la zone euro."
Sans bouée de sauvetage, le pays risque en effet de se retrouver en défaut de paiement lorsque 14.5 milliards d'euros de ses obligations arriveront à échéance le 20 mars.
Le goût pour le risque est également revenu après que la Chine ait revu samedi à la baisse la proportion de réserves de liquidités devant être détenues par les principales banques commerciales, afin de donner un coup de fouet à la seconde économie mondiale.
La devise helvète n'a d'ailleurs presque pas cédé de terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0.01% pour se hisser à 1.2088.
Les transactions devraient être peu nombreuses aujourd'hui, les places américaines demeurant closes pour cause de jour férié célébrant les présidents.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9125 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 13 février, puis s'est stabilisée vers 0.9126, perdant 0.79%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9088, son plancher des deux mois écoulés datant du 9 février, et de rencontrer de la résistance à 0.9177, son plafond du jour.
Evangelos Venizelos, respponsable des finances grecques, a pour sa part déclaré avant le début de la rencontre que les négociations concernant les 130 milliards d'aides et le pan de restructuration de la dette dont elles dépendent dureraient jusqu'à la dernière minute, mais rappelé que la Grèce avait rempli toutes les conditions exigées par ses créanciers.
Il a rajouté: "Nous nous attendons à voir aujourd'hui la fin d'une période d'incertitude qui n'aura fait de bien ni à l'économie du pays ni à celle de la zone euro."
Sans bouée de sauvetage, le pays risque en effet de se retrouver en défaut de paiement lorsque 14.5 milliards d'euros de ses obligations arriveront à échéance le 20 mars.
Le goût pour le risque est également revenu après que la Chine ait revu samedi à la baisse la proportion de réserves de liquidités devant être détenues par les principales banques commerciales, afin de donner un coup de fouet à la seconde économie mondiale.
La devise helvète n'a d'ailleurs presque pas cédé de terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0.01% pour se hisser à 1.2088.
Les transactions devraient être peu nombreuses aujourd'hui, les places américaines demeurant closes pour cause de jour férié célébrant les présidents.