Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, la ruée vers les valeurs sûres d'hier s'étant dissipée, les investisseurs demeurant toutefois inquiets en raison du referendum prévu par la Grèce.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD gagnant 0.5% pour grimper à 1.3771.
George Papandreou, premier ministre de la Grèce, avait auparavant obtenu le soutien de son gouvernement concernant la consultation populaire au sujet du plan de sauvetage à hauteur de 130 milliards d'euros et prévoyait de rencontrer ses homologues de France et d'Allemagne dans la journée afin d'en discuter.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.4% pour se hisser à 1.6014.
Une étude avait auparavant montré que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait davavntage augmenté en octobre que prévu, s'élevant vers un pic des cinq derniers mois.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.46% pour se retrouver à 78.01 et l'USD/CHF glissant de 0.4% pour tomber à 0.8834.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.18% pour aller vers 1.0185, l'AUD/USD raflant 0.39% pour monter à 1.0372 et le NZD/USD reculant de 0.07% pour hoqueter à 0.7941.
Une rapport émanant des autorités australiennes avait auparavant signalé que le nombre des permis de construire qu'elle avaient délivrés avait diminué en septembre de manière nettement supérieure aux craintes, plongeant de 13.6% au lieu des 4.7% prévus.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.39% pour se situer à 77.11.
Les experts des Etats-Unis devraient dévoiler dans l'après-midi leurs informations concernant la masse salariale hors agriculture, puis la Réserve Fédérale annoncera son taux d'intérêt directeur, et Ben Bernanke, son président, tiendra ensuite une conférence de presse sur la question.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD gagnant 0.5% pour grimper à 1.3771.
George Papandreou, premier ministre de la Grèce, avait auparavant obtenu le soutien de son gouvernement concernant la consultation populaire au sujet du plan de sauvetage à hauteur de 130 milliards d'euros et prévoyait de rencontrer ses homologues de France et d'Allemagne dans la journée afin d'en discuter.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.4% pour se hisser à 1.6014.
Une étude avait auparavant montré que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait davavntage augmenté en octobre que prévu, s'élevant vers un pic des cinq derniers mois.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.46% pour se retrouver à 78.01 et l'USD/CHF glissant de 0.4% pour tomber à 0.8834.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.18% pour aller vers 1.0185, l'AUD/USD raflant 0.39% pour monter à 1.0372 et le NZD/USD reculant de 0.07% pour hoqueter à 0.7941.
Une rapport émanant des autorités australiennes avait auparavant signalé que le nombre des permis de construire qu'elle avaient délivrés avait diminué en septembre de manière nettement supérieure aux craintes, plongeant de 13.6% au lieu des 4.7% prévus.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.39% pour se situer à 77.11.
Les experts des Etats-Unis devraient dévoiler dans l'après-midi leurs informations concernant la masse salariale hors agriculture, puis la Réserve Fédérale annoncera son taux d'intérêt directeur, et Ben Bernanke, son président, tiendra ensuite une conférence de presse sur la question.