Investing.com - L'euro a bondi vers un pic journalier face au yen ce mardi, grâce à la robustesse du moral économique allemand.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 130,39 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 6 août, puis s'est stabilisée vers 130,32, perdant %.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 128,78, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 131,00, son prochain plafond psychologique.
Le centre de recherches économiques ZEW a en effet fait savoir que son baromètre de la confiance dans l'économie de l'Allemagne avait gagné 5,7 points, passant ainsi de 36,3 à 42,0 pour août, au lieu des 40,0 anticipés par les experts.
L'étude précisait aussi que l'évaluation de la situation économique actuelle du pays caracolé à 18,7, son plus haut niveau en un an.
L'optimisme concernant l'économie de la zone euro suivait le mouvement, depuis les 32,8 de juillet jusqu'à 44,0, un niveau jamais vu depuis avril 2010.
Il était aussi ajouté que les premiers signes de la fin de la récession dans les plus gros membres de la région avaient contribué à cette embellie.
La devise nippone demeurait sur la sellette, après que les médias japonais aient rapporté que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe étudiait la possibilité de réduire les impôts sur les grandes entreprises afin de compenser en partie l'augmentation prévue de la taxe sur la valeur ajoutée.
Des informations officielles avaient d'autre part montré à l'aube que les commandes de machines de base nippones avaient plongé de 2,7% en juin, limitant les dégâts par rapport aux 7,2% redoutés.
La monnaie unique avait aussi brièvement culminé contre le dollar U.S. avec un couple EUR/USD grimpant de 0,13% pour se hisser à 1,3317, avant de se limiter à 1,3309, dans l'expectative des résultats commerciaux des Etats-Unis.
Les yeux étaient désormais tournés vers les Etats-Unis, en raison de l'idée selon laquelle un volume important de leurs ventes au détail, qui sera dévoilé aujourd'hui, pourrait confirmer les rumeurs persistantes d'une fermeture imminente des robinets de la Réserve Fédérale.
L'unité monétaire européenne a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,02% pour glisser à 0,8600.
Il avait précédemment été montré que les prix proposés aux particuliers du Royaume-Uni avaient augmenté de manière moins nette le mois dernier.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté que l'inflation s'était limitée à 2,8% annualisés en juillet, au lieu des 2,9% précédents.
L'inflation mensuelle avait d'autre part été nulle, alors qu'une augmentation de 0,1% était enticipée, suite au faux pas de 0,2% ayant précédé.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 130,39 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 6 août, puis s'est stabilisée vers 130,32, perdant %.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 128,78, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 131,00, son prochain plafond psychologique.
Le centre de recherches économiques ZEW a en effet fait savoir que son baromètre de la confiance dans l'économie de l'Allemagne avait gagné 5,7 points, passant ainsi de 36,3 à 42,0 pour août, au lieu des 40,0 anticipés par les experts.
L'étude précisait aussi que l'évaluation de la situation économique actuelle du pays caracolé à 18,7, son plus haut niveau en un an.
L'optimisme concernant l'économie de la zone euro suivait le mouvement, depuis les 32,8 de juillet jusqu'à 44,0, un niveau jamais vu depuis avril 2010.
Il était aussi ajouté que les premiers signes de la fin de la récession dans les plus gros membres de la région avaient contribué à cette embellie.
La devise nippone demeurait sur la sellette, après que les médias japonais aient rapporté que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe étudiait la possibilité de réduire les impôts sur les grandes entreprises afin de compenser en partie l'augmentation prévue de la taxe sur la valeur ajoutée.
Des informations officielles avaient d'autre part montré à l'aube que les commandes de machines de base nippones avaient plongé de 2,7% en juin, limitant les dégâts par rapport aux 7,2% redoutés.
La monnaie unique avait aussi brièvement culminé contre le dollar U.S. avec un couple EUR/USD grimpant de 0,13% pour se hisser à 1,3317, avant de se limiter à 1,3309, dans l'expectative des résultats commerciaux des Etats-Unis.
Les yeux étaient désormais tournés vers les Etats-Unis, en raison de l'idée selon laquelle un volume important de leurs ventes au détail, qui sera dévoilé aujourd'hui, pourrait confirmer les rumeurs persistantes d'une fermeture imminente des robinets de la Réserve Fédérale.
L'unité monétaire européenne a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,02% pour glisser à 0,8600.
Il avait précédemment été montré que les prix proposés aux particuliers du Royaume-Uni avaient augmenté de manière moins nette le mois dernier.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté que l'inflation s'était limitée à 2,8% annualisés en juillet, au lieu des 2,9% précédents.
L'inflation mensuelle avait d'autre part été nulle, alors qu'une augmentation de 0,1% était enticipée, suite au faux pas de 0,2% ayant précédé.