Investing.com - Le dollar U.S. était modérémént en berne face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, les observateurs guettant un rapport sur l'humeur des particuliers là où il a cours, sur fond de flou au sujet du moment où son émettrice réduira l'ampleur de ses coups de pouce.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,06% pour grimper à 1,3286.
Les résultats peu glorieux publiés hier par les Etats-Unis ont en effet ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale dès cette année.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Son équivalent dévolu au commerce a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% seulement était anticipé; celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ayant par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,04% pour se hisser à 1,5397.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,66% pour se retrouver à 98,63 et l'USD/CHF glissant de 0,20% pour tomber à 0,9281.
Une étude officielle avait d'autre part signalé à l'aube que l'inflation à la consommation de base à Tokyo, hors produits frais, était montée à 0,4% ce mois-ci, alors qu'elle avait été nulle lors du précédent, les experts s'étant attendus à la voir se situer à 0,3% pour la période considérée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,49% pour monter à 0,9290, le NZD/USD engrangeant 0,12% pour culminer à 0,8091 et l'USD/CAD régressant de 0,13% pour aller vers 1,0265.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,08% pour se situer à 81,76.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec les chiffres révisés du moral de leurs consomateurs établi par l'université du Michigan.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,06% pour grimper à 1,3286.
Les résultats peu glorieux publiés hier par les Etats-Unis ont en effet ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale dès cette année.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Son équivalent dévolu au commerce a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% seulement était anticipé; celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ayant par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,04% pour se hisser à 1,5397.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,66% pour se retrouver à 98,63 et l'USD/CHF glissant de 0,20% pour tomber à 0,9281.
Une étude officielle avait d'autre part signalé à l'aube que l'inflation à la consommation de base à Tokyo, hors produits frais, était montée à 0,4% ce mois-ci, alors qu'elle avait été nulle lors du précédent, les experts s'étant attendus à la voir se situer à 0,3% pour la période considérée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,49% pour monter à 0,9290, le NZD/USD engrangeant 0,12% pour culminer à 0,8091 et l'USD/CAD régressant de 0,13% pour aller vers 1,0265.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,08% pour se situer à 81,76.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec les chiffres révisés du moral de leurs consomateurs établi par l'université du Michigan.