Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce lundi, les observateurs attendant des résultats américains cruciaux pour juger de la vigueur de la reprise du pays, tandis que le franc suisse se trouvait plombé par les rumeurs de fixation de son taux de change par la Banque Nationale Suisse pour juguler son envolée.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.45% pour grimper à 1.4313.
L'attention des acteurs des marchés était également tournée vers la rencontre à venir mardi entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, afin de discuter de la crise de la dette de la zone euro et de la gestion de l'augmentation des risques de contagion en découlant.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.23% pour se hisser à 1.6319.
David Miles, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre, avait auparavant déclaré que la Grande-Bretagne restait vulnérable sur le fil de la relance, tout en précisant que des injections de capitaux n'étaient pas nécessaires pour l'instant.
Il a toutefois fait subir sa pression au yen, l'USD/JPY progressant de 0.13 % pour se retrouver à 76.78.
Les évaluations préliminaires révélées auparavant avaient en effet montré ce matin que le produit intérieur brut nippon aurait décliné de 0.3%, soit 1.3% annualisés, alors que les experts avaient peur qu'il ne recule de 0.9% sur la période considérée, soit 2.5% à l'année.
La devise nippone a également été affectée par Yoshihiko Noda, ministre des finances de l'archipel, s'engageant à effectuer une "action décisive" afin de juguler l'envolée de ce dernier.
Il en a été de même avec la valeur refuge du franc suisse, l'USD/CHF s'élevant de 1.8% pour bondir à 0.7919.
Le journal helvète SonntagZeitung avait fait savoir dimanche que la BNS et le gouvernement procédaient à des "discussions intenses" concernant un éventuel taux de change cible destiné à freiner l'ascension du swissy.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.14% pour aller vers 0.9858, l'AUD/USD raflant 0.52% pour monter à 1.041 et le NZD/USD trébuchant de 0.36% pour toucher le fond à 0.8292.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.26% pour se situer à 74.51.
Les Etats-Unis devaient quand à eux conclure la journée avec leurs informations officielles sur l'activité manufacturière dans la région de New York et un rapport sur les investissements nationaux et étrangers dans le pays.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.45% pour grimper à 1.4313.
L'attention des acteurs des marchés était également tournée vers la rencontre à venir mardi entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, afin de discuter de la crise de la dette de la zone euro et de la gestion de l'augmentation des risques de contagion en découlant.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.23% pour se hisser à 1.6319.
David Miles, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre, avait auparavant déclaré que la Grande-Bretagne restait vulnérable sur le fil de la relance, tout en précisant que des injections de capitaux n'étaient pas nécessaires pour l'instant.
Il a toutefois fait subir sa pression au yen, l'USD/JPY progressant de 0.13 % pour se retrouver à 76.78.
Les évaluations préliminaires révélées auparavant avaient en effet montré ce matin que le produit intérieur brut nippon aurait décliné de 0.3%, soit 1.3% annualisés, alors que les experts avaient peur qu'il ne recule de 0.9% sur la période considérée, soit 2.5% à l'année.
La devise nippone a également été affectée par Yoshihiko Noda, ministre des finances de l'archipel, s'engageant à effectuer une "action décisive" afin de juguler l'envolée de ce dernier.
Il en a été de même avec la valeur refuge du franc suisse, l'USD/CHF s'élevant de 1.8% pour bondir à 0.7919.
Le journal helvète SonntagZeitung avait fait savoir dimanche que la BNS et le gouvernement procédaient à des "discussions intenses" concernant un éventuel taux de change cible destiné à freiner l'ascension du swissy.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.14% pour aller vers 0.9858, l'AUD/USD raflant 0.52% pour monter à 1.041 et le NZD/USD trébuchant de 0.36% pour toucher le fond à 0.8292.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.26% pour se situer à 74.51.
Les Etats-Unis devaient quand à eux conclure la journée avec leurs informations officielles sur l'activité manufacturière dans la région de New York et un rapport sur les investissements nationaux et étrangers dans le pays.