Investing.com - L'euro a bondi vers un pic de presque un mois face à un yen largement affaibli ce mardi, les craintes concernant un possible défaut de paiement de la dette souveraine grecque ayant été apaisées, et l'agence Moody's ayant placé sa notation monétaire du Japon en réévaluation dans l'attente d'une possible dégradation.
La paire EUR/JPY est montée jusqu'à 117.8 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 5 mai, puis s'est stabilisée vers 117.54, bondissant de 1.69%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 114.67, son plancher de vendredi dernier, et de rencontrer de la résistance à 119.77, son plafond déjà évoqué.
Le Wall Street Journal avait auparavant annoncé que l'Allemagne envisageait d'arrêter de pousser à la restructuration des obligations de la Grèce, afin de lui faciliter l'obtention d'une nouvelle série de prêts de secours.
L'UE est en effet en train de mettre au point une seconde série d'aides à la nation hellène afin de rembourser des prêts vitaux le mois prochain et d'écarter le risque d'un défaut de paiement, après que le Fonds Monétaire International ait déclaré la semaine dernière qu'il n'accorderait pas la nouvelle tranche d'aides à la Grèce de juin à moins que l'Union Européenne ne garantisse de satisfaire les besoins en fonds d'Athènes pour l'année prochaine.
Moody's avait d'autre part annoncé en début de matinée la mise sous surveillance de l'évaluation Aa2 de la dette nippone, le gouvernement continuant à avoir des difficultés à faire face à l'impasse politique concernant la consolidation fiscale du pays et les moyens de financement de la reconstruction nationale rendue nécessaire par la triple catastrophe du 11 mars.
Cette nouvelle est aussi survenue moins d'une semaine après que l'agence Fitch ait mis son appréciation des dettes japonaises sous une évaluation négative.
La monnaie unique a étalement gagné beaucoup de terrain sur le franc suisse, l'EUR/CHF s'envolant de 0.85% pour culminer à 1.2275.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que la production industrielle nippone avait moins augmenté en avril que prévu, tandis qu'une autre étude indiquait que le taux de chômage était monté de 4.6 vers 4.7% en mars, suite à la diminution du nombre des emplois.
La paire EUR/JPY est montée jusqu'à 117.8 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 5 mai, puis s'est stabilisée vers 117.54, bondissant de 1.69%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 114.67, son plancher de vendredi dernier, et de rencontrer de la résistance à 119.77, son plafond déjà évoqué.
Le Wall Street Journal avait auparavant annoncé que l'Allemagne envisageait d'arrêter de pousser à la restructuration des obligations de la Grèce, afin de lui faciliter l'obtention d'une nouvelle série de prêts de secours.
L'UE est en effet en train de mettre au point une seconde série d'aides à la nation hellène afin de rembourser des prêts vitaux le mois prochain et d'écarter le risque d'un défaut de paiement, après que le Fonds Monétaire International ait déclaré la semaine dernière qu'il n'accorderait pas la nouvelle tranche d'aides à la Grèce de juin à moins que l'Union Européenne ne garantisse de satisfaire les besoins en fonds d'Athènes pour l'année prochaine.
Moody's avait d'autre part annoncé en début de matinée la mise sous surveillance de l'évaluation Aa2 de la dette nippone, le gouvernement continuant à avoir des difficultés à faire face à l'impasse politique concernant la consolidation fiscale du pays et les moyens de financement de la reconstruction nationale rendue nécessaire par la triple catastrophe du 11 mars.
Cette nouvelle est aussi survenue moins d'une semaine après que l'agence Fitch ait mis son appréciation des dettes japonaises sous une évaluation négative.
La monnaie unique a étalement gagné beaucoup de terrain sur le franc suisse, l'EUR/CHF s'envolant de 0.85% pour culminer à 1.2275.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que la production industrielle nippone avait moins augmenté en avril que prévu, tandis qu'une autre étude indiquait que le taux de chômage était monté de 4.6 vers 4.7% en mars, suite à la diminution du nombre des emplois.