Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, l'euro reprenant du poil de la bête à l'approche d'une réunion des dirigeants français et allemands, tout en demeurant fragilisé par les craintes liées au problème du surendettement du bloc où il a cours.
En début de seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.26% pour grimper à 1.2751.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français devaient en effet se rencontrer dans la journée afin d'élaborer des propositions visant à améliorer la coordination fiscale régionale.
La monnaie unique s'est trouvée ragaillardie après qu'une étude ait montré que les exportations allemandes avaient engrangé 2.5% en novembre, augmentant sans prévenir l'excédent du commerce extérieur national, et apaisant l'angoisse d'un ralentissement de la plus grosse économie de la région.
Une autre étude rapportait toutefois que la production des industries allemandes a nettement déçu les attentes en novembre, diminuant pour le troisième mois sur les quatre derniers étudiés.
Les acteurs des marchés demeuraient cependant sur le qui-vive, sur fond d'angoisse concernant les taux des emprunts européens, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu en cours de semaine.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.21% pour se hisser à 1.5457.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.11% pour se retrouver à 76.86 et l'USD/CHF glissant de 0.36% pour tomber à 0.9514.
Des chiffres officiels avaient montré ce matin que les ventes au détail suisses avaient augmenté en novembre de manière nettement supérieure aux attentes, bondissant de 1.8% et dépassant largement les 0.5% espérés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines canadienne, et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.1% pour aller vers 1.0272, l'AUD/USD laissant échapper 0.07% pour descendre à 1.0218 et le NZD/USD engrangeant 0.67% pour culminer à 0.7858.
Les autorités de l'Australie avaient révélé en début de matinée que les ventes auprès des consommateurs de novembre étaient demeurées identiques à celles d'octobre, mois qui les avait vues se renforcer de 0.2%, alors que les analystes caressaient l'espoir qu'elles raflent 0.4%.
Leurs homologues de Nouvelle-Zélande ont par contre constaté que le déficit du commerce extérieur du pays avait dépassé les craintes pour le même mois.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.2% pour se situer à 81.45.
Il avait aussi été signalé que la confiance des investisseurs dans le bloc ayant adopté la monnaie unique avait davantage progressé pour janvier qu'espéré, bien que demeurant en territoire négatif pour le sixième mois d'affilée.
En début de seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.26% pour grimper à 1.2751.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français devaient en effet se rencontrer dans la journée afin d'élaborer des propositions visant à améliorer la coordination fiscale régionale.
La monnaie unique s'est trouvée ragaillardie après qu'une étude ait montré que les exportations allemandes avaient engrangé 2.5% en novembre, augmentant sans prévenir l'excédent du commerce extérieur national, et apaisant l'angoisse d'un ralentissement de la plus grosse économie de la région.
Une autre étude rapportait toutefois que la production des industries allemandes a nettement déçu les attentes en novembre, diminuant pour le troisième mois sur les quatre derniers étudiés.
Les acteurs des marchés demeuraient cependant sur le qui-vive, sur fond d'angoisse concernant les taux des emprunts européens, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu en cours de semaine.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.21% pour se hisser à 1.5457.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.11% pour se retrouver à 76.86 et l'USD/CHF glissant de 0.36% pour tomber à 0.9514.
Des chiffres officiels avaient montré ce matin que les ventes au détail suisses avaient augmenté en novembre de manière nettement supérieure aux attentes, bondissant de 1.8% et dépassant largement les 0.5% espérés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines canadienne, et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.1% pour aller vers 1.0272, l'AUD/USD laissant échapper 0.07% pour descendre à 1.0218 et le NZD/USD engrangeant 0.67% pour culminer à 0.7858.
Les autorités de l'Australie avaient révélé en début de matinée que les ventes auprès des consommateurs de novembre étaient demeurées identiques à celles d'octobre, mois qui les avait vues se renforcer de 0.2%, alors que les analystes caressaient l'espoir qu'elles raflent 0.4%.
Leurs homologues de Nouvelle-Zélande ont par contre constaté que le déficit du commerce extérieur du pays avait dépassé les craintes pour le même mois.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.2% pour se situer à 81.45.
Il avait aussi été signalé que la confiance des investisseurs dans le bloc ayant adopté la monnaie unique avait davantage progressé pour janvier qu'espéré, bien que demeurant en territoire négatif pour le sixième mois d'affilée.