Investing.com - Les options sur l'or étaient en grande forme ce lundi matin, s'éloignant encore de leur gouffre de sept mois établi la semaine passée, alors que l'attention était monopolisée par les resultats d'élections italiennes âprement disputées.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 590.3 USD de l'once en début de séance européenne, engrangeant 1.1%.
Ils avaient précédement culminé à 1 592 USD, leur meilleur cours du jour, avec une poussée de 1.2%, après avoir plongé jeudi jusqu'à 1 554.8 USD, leur plus bas niveau en sept mois.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 554.8 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 1 609 USD, leur plafond du 20 février.
Ils profitaient de l'anxiété dûe à l'attente du verdict des urnes de l'Italie, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire freine l'avancée des réformes économiques et destabilise la troisième économie régionale.
Celui-ci devrait être connu demain, mais les résultats des sondages de sortie des bureaux de vote seront publiés cet après-midi.
La tendance a aussi profité des propos rassurants de James Bullard, président de la réserve fédérale de St. Louis, affirmant que la politique de la banque centrale américaine demeurerait assouplie pour "encore longtemps".
Il a du coup étouffé la crainte que ses achats d'actifs prennent fin plus tôt que prévu.
Les cours avaient dégringolé la semaine passée, après que le compte-rendu du conseil diirecteur de janvier de la Réserve Fédérale ait montré que ses membres avaient envisagé de ralentir, voire d'arrêter les acquisitions d'obligations représentant un volume de 85 milliards d'USD avant même que le marché du travail ne reprenne des couleurs.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables l'utilisation éventuelle de sa part de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les achats à vil prix et techniques ont aussi accentué la tendancce enthousiaste, les observateurs revenant suite à un rebond sur un seuil de soutien crucial.
Il était en effet à noter que les prix avaient retrouvé du poil de la bête vers les 1 550 USD, poussant à prendre des positions longues sur fond de signaux graphiques positifs.
Les futures sur l'argent pour mai se sont par ailleurs envolés de 2.1% pour grimper 29.1à USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont grignoté 0.3% pour se retrouver à 3.561 USD la livre dans le même temps.
Ces dernières subissaient l'annonce selon laquelle l'activité des usines chinoises avait connu en février sa plus faible expansion depuis novembre.
Il avait ainsi été souligné en milieu de session asiatique que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine établi par HSBC, premier signe de santé économique nationale, avait dérapé depuis les 52.3 définitifs de janvier jusqu'à 50.4, sa valeur la plus faible depuis novembre.
Il demeurait cependant au-dessus de la barre des 50 dénotant une croissance du secteur.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 590.3 USD de l'once en début de séance européenne, engrangeant 1.1%.
Ils avaient précédement culminé à 1 592 USD, leur meilleur cours du jour, avec une poussée de 1.2%, après avoir plongé jeudi jusqu'à 1 554.8 USD, leur plus bas niveau en sept mois.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 554.8 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 1 609 USD, leur plafond du 20 février.
Ils profitaient de l'anxiété dûe à l'attente du verdict des urnes de l'Italie, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire freine l'avancée des réformes économiques et destabilise la troisième économie régionale.
Celui-ci devrait être connu demain, mais les résultats des sondages de sortie des bureaux de vote seront publiés cet après-midi.
La tendance a aussi profité des propos rassurants de James Bullard, président de la réserve fédérale de St. Louis, affirmant que la politique de la banque centrale américaine demeurerait assouplie pour "encore longtemps".
Il a du coup étouffé la crainte que ses achats d'actifs prennent fin plus tôt que prévu.
Les cours avaient dégringolé la semaine passée, après que le compte-rendu du conseil diirecteur de janvier de la Réserve Fédérale ait montré que ses membres avaient envisagé de ralentir, voire d'arrêter les acquisitions d'obligations représentant un volume de 85 milliards d'USD avant même que le marché du travail ne reprenne des couleurs.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables l'utilisation éventuelle de sa part de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les achats à vil prix et techniques ont aussi accentué la tendancce enthousiaste, les observateurs revenant suite à un rebond sur un seuil de soutien crucial.
Il était en effet à noter que les prix avaient retrouvé du poil de la bête vers les 1 550 USD, poussant à prendre des positions longues sur fond de signaux graphiques positifs.
Les futures sur l'argent pour mai se sont par ailleurs envolés de 2.1% pour grimper 29.1à USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont grignoté 0.3% pour se retrouver à 3.561 USD la livre dans le même temps.
Ces dernières subissaient l'annonce selon laquelle l'activité des usines chinoises avait connu en février sa plus faible expansion depuis novembre.
Il avait ainsi été souligné en milieu de session asiatique que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine établi par HSBC, premier signe de santé économique nationale, avait dérapé depuis les 52.3 définitifs de janvier jusqu'à 50.4, sa valeur la plus faible depuis novembre.
Il demeurait cependant au-dessus de la barre des 50 dénotant une croissance du secteur.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.