Investing.com - La semaine dernière aura vu le dollar U.S. terminer en baisse contre la plupart de ses rivaux après que des hauts représentants de la Réserve Fédérale aient fait savoir que cette dernière devrait presque certainement à nouveau stimuler une économie américaine hésitante.
Le billet vert est en effet tombé à son cours le plus bas des 6 derniers mois contre l'euro à la fin de la séance de vendredi. Contre le yen, il s'est trouvé à sa pire cotation depuis l'intervention japonaise du 15 septembre sur le marché des changes. Il s'est situé au pire niveau depuis 30 mois contre le franc suisse et 26 pour le dollar australien.
William Dudley, président de la Réserve Bancaire de New York, a dit à propos de l'économie du pays que "la situation actuelle est globalement insatisfaisante".
Charles Evans, son alter ego de Chicago, a de son côté affirmé que de nouveaux plans pour doper la croissance économique nationale pourraient être "désirables". Tous deux se sont toutefois abstenus de soutenir nommément l'idée d'une seconde tournée d'injections de liquidités.
Les commentaires optimistes de la Fed ont éclipsé les résultats américains de la confiance des consommateurs et de leurs dépenses.
Les Etats-Unis devraient publier en cours de semaine prochaine le rapport ADP sur les variations l'emploi non agricole, et ce avant divulgation des chiffres gouvernementaux concernant les salaires hors agriculture. Le pays annoncera également les résultats officiels de ses inscriptions au chômage, de son activité manufacturière et de ses ventes de résidence en cours.
La semaine à venir sera mondialement dominée par les annonces de taux d'intérêt. En zone euro, la Banque Centrale Européenne donnera à connaître son taux d'enchère minimal, la Banque d'Angleterre révélant le taux d'intérêt de base de la Grande-Bretagne. Cette dernière donnera de plus les résultats gouvernementaux de l'inflation, de la production manufacturée, de la croissance du secteur des services et des prix de l'immobilier.
La Banque du Japon et la Réserve Bancaire d'Australie devraient également communiquer les leurs, le pays de la seconde comptant également faire connaître les données cruciales de son chômage et de ses ventes au détail.
Le Canada a également prévu de dévoiler les chiffres concernant la production de ses manufactures, le logement, le chômage et les perspectives commerciales, la Nouvelle-Zélande se contentant de ceux portant sur la confiance dans les affaires.
En prévision de la semaine à venir, Forx Pros a rassemblé pour vous la liste de ces évènements ainsi que de tous ceux également susceptibles d'influener les marchés.
Lundi 4 Octobre
Les Etats-Unis entameront la semaine avec les chiffres officiels des ventes d'habitations en cours et les commandes passées auprès de ses usines, alors que Ben Bernanke, présient de la réserve Fédérale américaine, devrait prenre la parole lors d'un colloque public. Son intervention sera scrutée de près dans l'espoir d'en tirer des indices sur la politique monétaire à venir.
La zone euro fera d'autre part connaître l'état de la confiance que lui accordent les investisseurs et de l'inflation des ses prix, le Royaume-Uni devant donner son rapport sur son secteur du bâtiment. Paul Tucker, membre du comité d'orientation de la politique monétaire de la banque centrale du pays, devrait prendre la parole concernant l'économie nationale.
Pour finir la journe, le Japon dévoilera les informations concernant les intérês immédiats moyens, alors que la Nouvelle-Zélande fera connaître l'état de sa confiance nans les affaires, L'australie ayant prévu de divulguer les informations provenant de son secteur tertiaire.
Mardi 5 octobre
les Etat-Unis et la Grande-Bretagne donneront tous deux les chiffres officiels de la croissance de leur secteur tertiaire, signe avant-coureur de santé économique.
La zone euro publiera quand à elle les données gouvernementales concernant les ventes au détail, précurseur de dépenses de consommation, alors que la Suisse fera de même avec celles de l'inflation des prix à la consommation.
Ailleurs, la Banque du Japon annoncera son taux d'intérêt de base, annonce suivie d'une conférence de presse explicative très en vue, et qui sera décortiquée en espérant en tirer des indices sur le futur de la politique monétaire.
La Réserve Bancaire d'Australie suivra le même chemin, en complétant avec l'état officiel de la balance de son commerce extérieur, ainsi qu'un rapport sur les ventes au détail et la confiance des entreprises.
Mercredi 6 octobre
Les Etats-Unis donneront à lire les résultats des variations de l'emploi non-agricole d'ADP. Celles-ci sont considérées comme une prévision précise de ceux du rapport gouvernemental portant sur le sujet mais publié duex jours plus tard. Le pays fera égalment connaître l'état de ses réserves de pétrole brut.
La zone euro fera connaître les chiffres définitifs de son PIB, signe principal de croissance économique, l'Allemagne l'imitant avec le volume des commandes à ses usines.
Le Canada dévoilera son PMI d'Ivey, signal fort de santé économique, alors que l'Australie fera un rapport sur son secteur du bâtiment.
La Banque du Japon a également prévu de diffuser son rapport mensuel, synthétisant toutes les données prises en compte par elle avant de déterminer son taux d'intrêt directeur.
Jeudi 7 octobre
Les Etats-Unis divulgueront leur nombre hebdomadaire très attendu des inscriptions au chômage, ainsi que des chiffres officiels portant sur les crédits à la consommation et les réserves de gaz naturel.
La Banque Centrale Européenne annoncera quand à elle son taux d'intérêt directeur, et fera suivre cette annonce d'une conférence de presse suivie de près. L'Allemagne fera de même avec son volume de la production industrielle, la France s'apprêtant de son côté a donner l'état officiel de son compte courant.
Au Royaume-Uni, la Banque d'Angleterre fera elle aussi connaître le sien. Le pays devrait également communiquer les données institutionnelles sur la production industrielle et manufacturière, deux signes avant-coureurs de santé économique.
L'Australie donnera quand à elle les chiffres officiels de l'évolution de l'emploi et du taux de chômage, alors que la banque centrale du pays fera son rapport annuel, résumant toutes les opérations de l'année précédente.
Le Canada fera connaître le nombre officiel de permis de construire acordés par les autorités, signe évident de santé du secteur du logement.
La Banque du Japon conclura la journée avec le compte-rendu détaillé de la plus récente rencontre de son comité d'orientation politique, permettant de comprendre en profondeur l'influence des différents facteurs sur le choix des taux d'intérêt. Le pays dévoilera aussi un indice basé sur les précurseurs économiques, élaboré afin de pouvoir prédire la direction future de l'économie, ainsi que l'état de son compte courant.
Vendredi 8 octobre
Les Etats-Unis termineront la semaine avec les chiffres des variations de l'emploi non-agricole. Le Canada fera de même avec les résultats très attendus des variations de l'emploi, ainsi que le taux de chômage national, des informations sur les prévisions commerciales et les débuts de chantiers.
Enfin, le Royaume-Uni donnera son inflation des prix à la production officielle, signe avant-coureur de croissance économique.
Le billet vert est en effet tombé à son cours le plus bas des 6 derniers mois contre l'euro à la fin de la séance de vendredi. Contre le yen, il s'est trouvé à sa pire cotation depuis l'intervention japonaise du 15 septembre sur le marché des changes. Il s'est situé au pire niveau depuis 30 mois contre le franc suisse et 26 pour le dollar australien.
William Dudley, président de la Réserve Bancaire de New York, a dit à propos de l'économie du pays que "la situation actuelle est globalement insatisfaisante".
Charles Evans, son alter ego de Chicago, a de son côté affirmé que de nouveaux plans pour doper la croissance économique nationale pourraient être "désirables". Tous deux se sont toutefois abstenus de soutenir nommément l'idée d'une seconde tournée d'injections de liquidités.
Les commentaires optimistes de la Fed ont éclipsé les résultats américains de la confiance des consommateurs et de leurs dépenses.
Les Etats-Unis devraient publier en cours de semaine prochaine le rapport ADP sur les variations l'emploi non agricole, et ce avant divulgation des chiffres gouvernementaux concernant les salaires hors agriculture. Le pays annoncera également les résultats officiels de ses inscriptions au chômage, de son activité manufacturière et de ses ventes de résidence en cours.
La semaine à venir sera mondialement dominée par les annonces de taux d'intérêt. En zone euro, la Banque Centrale Européenne donnera à connaître son taux d'enchère minimal, la Banque d'Angleterre révélant le taux d'intérêt de base de la Grande-Bretagne. Cette dernière donnera de plus les résultats gouvernementaux de l'inflation, de la production manufacturée, de la croissance du secteur des services et des prix de l'immobilier.
La Banque du Japon et la Réserve Bancaire d'Australie devraient également communiquer les leurs, le pays de la seconde comptant également faire connaître les données cruciales de son chômage et de ses ventes au détail.
Le Canada a également prévu de dévoiler les chiffres concernant la production de ses manufactures, le logement, le chômage et les perspectives commerciales, la Nouvelle-Zélande se contentant de ceux portant sur la confiance dans les affaires.
En prévision de la semaine à venir, Forx Pros a rassemblé pour vous la liste de ces évènements ainsi que de tous ceux également susceptibles d'influener les marchés.
Lundi 4 Octobre
Les Etats-Unis entameront la semaine avec les chiffres officiels des ventes d'habitations en cours et les commandes passées auprès de ses usines, alors que Ben Bernanke, présient de la réserve Fédérale américaine, devrait prenre la parole lors d'un colloque public. Son intervention sera scrutée de près dans l'espoir d'en tirer des indices sur la politique monétaire à venir.
La zone euro fera d'autre part connaître l'état de la confiance que lui accordent les investisseurs et de l'inflation des ses prix, le Royaume-Uni devant donner son rapport sur son secteur du bâtiment. Paul Tucker, membre du comité d'orientation de la politique monétaire de la banque centrale du pays, devrait prendre la parole concernant l'économie nationale.
Pour finir la journe, le Japon dévoilera les informations concernant les intérês immédiats moyens, alors que la Nouvelle-Zélande fera connaître l'état de sa confiance nans les affaires, L'australie ayant prévu de divulguer les informations provenant de son secteur tertiaire.
Mardi 5 octobre
les Etat-Unis et la Grande-Bretagne donneront tous deux les chiffres officiels de la croissance de leur secteur tertiaire, signe avant-coureur de santé économique.
La zone euro publiera quand à elle les données gouvernementales concernant les ventes au détail, précurseur de dépenses de consommation, alors que la Suisse fera de même avec celles de l'inflation des prix à la consommation.
Ailleurs, la Banque du Japon annoncera son taux d'intérêt de base, annonce suivie d'une conférence de presse explicative très en vue, et qui sera décortiquée en espérant en tirer des indices sur le futur de la politique monétaire.
La Réserve Bancaire d'Australie suivra le même chemin, en complétant avec l'état officiel de la balance de son commerce extérieur, ainsi qu'un rapport sur les ventes au détail et la confiance des entreprises.
Mercredi 6 octobre
Les Etats-Unis donneront à lire les résultats des variations de l'emploi non-agricole d'ADP. Celles-ci sont considérées comme une prévision précise de ceux du rapport gouvernemental portant sur le sujet mais publié duex jours plus tard. Le pays fera égalment connaître l'état de ses réserves de pétrole brut.
La zone euro fera connaître les chiffres définitifs de son PIB, signe principal de croissance économique, l'Allemagne l'imitant avec le volume des commandes à ses usines.
Le Canada dévoilera son PMI d'Ivey, signal fort de santé économique, alors que l'Australie fera un rapport sur son secteur du bâtiment.
La Banque du Japon a également prévu de diffuser son rapport mensuel, synthétisant toutes les données prises en compte par elle avant de déterminer son taux d'intrêt directeur.
Jeudi 7 octobre
Les Etats-Unis divulgueront leur nombre hebdomadaire très attendu des inscriptions au chômage, ainsi que des chiffres officiels portant sur les crédits à la consommation et les réserves de gaz naturel.
La Banque Centrale Européenne annoncera quand à elle son taux d'intérêt directeur, et fera suivre cette annonce d'une conférence de presse suivie de près. L'Allemagne fera de même avec son volume de la production industrielle, la France s'apprêtant de son côté a donner l'état officiel de son compte courant.
Au Royaume-Uni, la Banque d'Angleterre fera elle aussi connaître le sien. Le pays devrait également communiquer les données institutionnelles sur la production industrielle et manufacturière, deux signes avant-coureurs de santé économique.
L'Australie donnera quand à elle les chiffres officiels de l'évolution de l'emploi et du taux de chômage, alors que la banque centrale du pays fera son rapport annuel, résumant toutes les opérations de l'année précédente.
Le Canada fera connaître le nombre officiel de permis de construire acordés par les autorités, signe évident de santé du secteur du logement.
La Banque du Japon conclura la journée avec le compte-rendu détaillé de la plus récente rencontre de son comité d'orientation politique, permettant de comprendre en profondeur l'influence des différents facteurs sur le choix des taux d'intérêt. Le pays dévoilera aussi un indice basé sur les précurseurs économiques, élaboré afin de pouvoir prédire la direction future de l'économie, ainsi que l'état de son compte courant.
Vendredi 8 octobre
Les Etats-Unis termineront la semaine avec les chiffres des variations de l'emploi non-agricole. Le Canada fera de même avec les résultats très attendus des variations de l'emploi, ainsi que le taux de chômage national, des informations sur les prévisions commerciales et les débuts de chantiers.
Enfin, le Royaume-Uni donnera son inflation des prix à la production officielle, signe avant-coureur de croissance économique.