Investing.com - L'euro se trouvait circonscrit dans un périmètre limité face à la plupart de ses concurrents ce mercrdi, les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale mettrait en place de nouveaux assouplissements après la fin de sa réunion prévue dans l'après-midi allant bon train.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait de peu devant lui, l'EUR/USD grignotant 0.03% pour se hisser à 1.2688.
La monnaie unique demeurait encouragée par l'espoir que la banque centrale américaine annonce des mesures stimulatrices supplémentaires suite à sa réunion d'orientation, après une série de performances économiques décevantes de la part des Etats-Unis.
Cette tendance se confirmait suite aux signes indiquant que les chefs des partis nationaux semblaient sur le point de former un gouvernement de coalition.
Le taux des obligations décennales espagnoles est quand à lui retombé à 6.9%, après avoir battu en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de crainte que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.07% pour grimper à 0.8071.
La devise de la Grande-Bretagne avait auparavant perdu pied après que le compte-rendu de la réunion du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre ait fait savoir que quatre de ses membres, parmi lesquels le gouverneur Mervyn King, avaient voté pour davantage d'injections de capitaux, contre cinq qui s'y opposaient.
Le fléchissement inattendu des prix à la consommation du Royaume-Uni mis en évidence hier pour mai avait alimenté l'attente de nouveaux apports de capitaux de sa part, alors que l'inflation avait jusqu'à présent diminué moins rapidementt qu'elle ne l'espérait.
Il était d'autre part à noter qu'il y avait eu au cours de la même période 8 100 bénéficiaires supplémentaires des allocations pour les demandeurs d'emploi dans le pays, alors que 3 000 de moins étaient espérés.
Le taux de chômage demeurait toutefois stable à 8.2% comme prévu.
Le yen a à peine subi sa pression, et le franc suisse a fait mieux que lui résister, l'EUR/JPY arrachant 0.01% pour monter à 100.16 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour descendre à 1.2008.
Une étude avait montré qu'en Suisse, le moral des investisseurs avait plongé en juin à son pire niveau en cinq mois, sur fond de craintes liées à la crise de la dette de la zone euro.
Le centre de recherches économiques ZEW a en effet fait savoir que son baromètre de la confiance économique dans la confédération avait dégringolé de -4 vers -43.4, alors que les experts redoutaient déjà de le voir glisser à -15.
Son homologue australienne a exercé sa domination, au contraire de la canadienne et de la néo-zélandaise, l'EUR/AUD laissant échapper 0.03% pour tomber à 1.2447, l'EUR/CAD frémissant de 0.05% pour culminer à 1.2915 et l'EUR/NZD progressant de 0.16% pour se situer à 1.5915.
Un rapport néo-zélandais avait annoncé en début de matinée une diminution du déficit de la balance commerciale, lequel représentait 2.8 milliards de NZD pour le premier trimestre, au lieu des 1.1 milliards envisagés, les prix des produits lactés et du pétrole ayant diminué à l'export, tandis que le pays important davantage de carburant.
La Fed révèlera quand à elle son taux d'intérêt en fin de journée, après quoi Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse très attendue au sujet du cap qui aura été pris.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait de peu devant lui, l'EUR/USD grignotant 0.03% pour se hisser à 1.2688.
La monnaie unique demeurait encouragée par l'espoir que la banque centrale américaine annonce des mesures stimulatrices supplémentaires suite à sa réunion d'orientation, après une série de performances économiques décevantes de la part des Etats-Unis.
Cette tendance se confirmait suite aux signes indiquant que les chefs des partis nationaux semblaient sur le point de former un gouvernement de coalition.
Le taux des obligations décennales espagnoles est quand à lui retombé à 6.9%, après avoir battu en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de crainte que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.07% pour grimper à 0.8071.
La devise de la Grande-Bretagne avait auparavant perdu pied après que le compte-rendu de la réunion du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre ait fait savoir que quatre de ses membres, parmi lesquels le gouverneur Mervyn King, avaient voté pour davantage d'injections de capitaux, contre cinq qui s'y opposaient.
Le fléchissement inattendu des prix à la consommation du Royaume-Uni mis en évidence hier pour mai avait alimenté l'attente de nouveaux apports de capitaux de sa part, alors que l'inflation avait jusqu'à présent diminué moins rapidementt qu'elle ne l'espérait.
Il était d'autre part à noter qu'il y avait eu au cours de la même période 8 100 bénéficiaires supplémentaires des allocations pour les demandeurs d'emploi dans le pays, alors que 3 000 de moins étaient espérés.
Le taux de chômage demeurait toutefois stable à 8.2% comme prévu.
Le yen a à peine subi sa pression, et le franc suisse a fait mieux que lui résister, l'EUR/JPY arrachant 0.01% pour monter à 100.16 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour descendre à 1.2008.
Une étude avait montré qu'en Suisse, le moral des investisseurs avait plongé en juin à son pire niveau en cinq mois, sur fond de craintes liées à la crise de la dette de la zone euro.
Le centre de recherches économiques ZEW a en effet fait savoir que son baromètre de la confiance économique dans la confédération avait dégringolé de -4 vers -43.4, alors que les experts redoutaient déjà de le voir glisser à -15.
Son homologue australienne a exercé sa domination, au contraire de la canadienne et de la néo-zélandaise, l'EUR/AUD laissant échapper 0.03% pour tomber à 1.2447, l'EUR/CAD frémissant de 0.05% pour culminer à 1.2915 et l'EUR/NZD progressant de 0.16% pour se situer à 1.5915.
Un rapport néo-zélandais avait annoncé en début de matinée une diminution du déficit de la balance commerciale, lequel représentait 2.8 milliards de NZD pour le premier trimestre, au lieu des 1.1 milliards envisagés, les prix des produits lactés et du pétrole ayant diminué à l'export, tandis que le pays important davantage de carburant.
La Fed révèlera quand à elle son taux d'intérêt en fin de journée, après quoi Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse très attendue au sujet du cap qui aura été pris.