Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en rangs dispersés ce mercredi, les observateurs guettant de nouveaux résultats et statistiques, dans l'ombre persistante du spectre d'une aggravation de la crise de la dette européenne.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.42%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.46%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 envisageaient un recul de 0.38%.
La prudence restait de mise, après que le taux des obligations décennales de l'Espagne se soit maintenu aujourd'hui au-delà des 7.5%, et donc du seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme pour éviter la faillite, confortant l'hypothèse selon laquelle le pays n'aurait d'autre choix que de demander une bouée de sauvetage financière.
Les mauvais résultats économiques de l'Allemagne et du Royaume-Uni laissaient quand à eux craindre que même les plus grosses économies régionales ne soient pas à l'abri des conséquences du problème du surendettement européen.
Certains représentants de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International ont encore contribué à plomber l'atmosphère en estimant que la Grèce avait peu de chances de remplir les objectifs de son plan de sauvetage, ravivant les doutes sur son futur au sein du bloc euro.
La technologie était sur le devant de la scènee, après que les rentrées d'Apple se soient montrées décevantes, en raison du fléchissement de l'économie européenne, et de consommateurs préférant réfréner leurs pulsions d'achat de l'iPhone, son fer de lance, dans l'attente d'une nouvelle version pour l'automne, lui faisant ainsi modre la poussière de 4.77% en pré-ouverture.
Son rival Research in Motion, fabricant du Blackberry, a du coup reculé de 1.88%.
Les choses évoluaient aussi sur le front d'Internet, Neflix, plus gros site de diffusion directe de vidéos du monde, ayantt émis des doutes sur sa capacité à atteindre cette année l'augmentation visée du nombre de ses clients, plongeant de 19.14% avant les premières transactions.
Yahoo a par contre grignoté 0.13% avant l'ouverture, après que Dan Loeb, gestionnaire du fonds d'investissement Third Point, en ait racheté 2.5 millions d'actions supplémentaires, pour environ 39.5 millions d'USD.
Le fournisseur de puces électroniques Broadcom a pour sa part pris 1.56% après les derniers échanges, prévoyant des ventes dépassant les estimations pour le troisième trimestre, grâce à la forte demande de la part des acheteurs d'intelliphones.
Parmi les autres entreprises faisant l'actualité, ArcelorMittal s'est envolé de 3.04% avant le début de session, bien que le sidérurgiste ait avoué un effondrement de 63% de ses revenus nets pour le premier semestre, invoquant la baisse des prix et la diminution des livraisons.
Le constructeur automobile Ford était lui aussi sous les feux de la rampe, l'annonce d'un faux pas important de ses bénéfices trimestriels dû à des besoins européens en berne étant redoutée en fin de journée, ayant déjà déclaré le mois dernier que les conditions économiques du vieux continent avaient s'étaient fortement degradées depuis le début de l'année.
Visa, PepsiCo, Caterpillar, Eli Lilly, WellPoint, Boeing et Bristol-Myers Squibb prévoyaient également de communiquer leurs résultats sur la même période.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 engrangeant 0.98%, le CAC 40 français 0.77%, le DAX 30 allemand 0.57% et le FTSE 100 britannique 0.21%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.7%, et le Nikkei 225 japonais 0.14%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler aujourd'hui le nombre des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire des réserves pétrolières nationales.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.42%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.46%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 envisageaient un recul de 0.38%.
La prudence restait de mise, après que le taux des obligations décennales de l'Espagne se soit maintenu aujourd'hui au-delà des 7.5%, et donc du seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme pour éviter la faillite, confortant l'hypothèse selon laquelle le pays n'aurait d'autre choix que de demander une bouée de sauvetage financière.
Les mauvais résultats économiques de l'Allemagne et du Royaume-Uni laissaient quand à eux craindre que même les plus grosses économies régionales ne soient pas à l'abri des conséquences du problème du surendettement européen.
Certains représentants de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International ont encore contribué à plomber l'atmosphère en estimant que la Grèce avait peu de chances de remplir les objectifs de son plan de sauvetage, ravivant les doutes sur son futur au sein du bloc euro.
La technologie était sur le devant de la scènee, après que les rentrées d'Apple se soient montrées décevantes, en raison du fléchissement de l'économie européenne, et de consommateurs préférant réfréner leurs pulsions d'achat de l'iPhone, son fer de lance, dans l'attente d'une nouvelle version pour l'automne, lui faisant ainsi modre la poussière de 4.77% en pré-ouverture.
Son rival Research in Motion, fabricant du Blackberry, a du coup reculé de 1.88%.
Les choses évoluaient aussi sur le front d'Internet, Neflix, plus gros site de diffusion directe de vidéos du monde, ayantt émis des doutes sur sa capacité à atteindre cette année l'augmentation visée du nombre de ses clients, plongeant de 19.14% avant les premières transactions.
Yahoo a par contre grignoté 0.13% avant l'ouverture, après que Dan Loeb, gestionnaire du fonds d'investissement Third Point, en ait racheté 2.5 millions d'actions supplémentaires, pour environ 39.5 millions d'USD.
Le fournisseur de puces électroniques Broadcom a pour sa part pris 1.56% après les derniers échanges, prévoyant des ventes dépassant les estimations pour le troisième trimestre, grâce à la forte demande de la part des acheteurs d'intelliphones.
Parmi les autres entreprises faisant l'actualité, ArcelorMittal s'est envolé de 3.04% avant le début de session, bien que le sidérurgiste ait avoué un effondrement de 63% de ses revenus nets pour le premier semestre, invoquant la baisse des prix et la diminution des livraisons.
Le constructeur automobile Ford était lui aussi sous les feux de la rampe, l'annonce d'un faux pas important de ses bénéfices trimestriels dû à des besoins européens en berne étant redoutée en fin de journée, ayant déjà déclaré le mois dernier que les conditions économiques du vieux continent avaient s'étaient fortement degradées depuis le début de l'année.
Visa, PepsiCo, Caterpillar, Eli Lilly, WellPoint, Boeing et Bristol-Myers Squibb prévoyaient également de communiquer leurs résultats sur la même période.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 engrangeant 0.98%, le CAC 40 français 0.77%, le DAX 30 allemand 0.57% et le FTSE 100 britannique 0.21%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.7%, et le Nikkei 225 japonais 0.14%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler aujourd'hui le nombre des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire des réserves pétrolières nationales.