Investing.com - Le dollar U.S. a nettement pris le dessus face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, établissant de nouveaux pics journaliers après qu'il ait été montré que l'inflation américaine avait été conforme aux prévisions pour le mois passé, laissant les coudées franches à son émettrice pour de nouveaux assouplissements.
En seconde partie de séance européenne, le yen a encore davantage fléchi devant lui, l'USD/JPY bondissant de 1,20% pour se retrouver à 95,62.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet signalé que les prix à la consommation avaient comme prévu évolué vers le haut de 1,4% annualisés au cours du mois passé, dépassant cependant les 1,1% d'avril.
Ceux excluant la nourriture et l'énergie frémissaient quand à eux de 0,1% pour mai.
Ils ont du coup avancé de 0,1% mensuels en mai, soit un peu moins que les 0,2%.
Les yeux étaient désormais braqués sur la prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera demain, son futur demeurant flou après que son président Ben Bernanke ait déclaré en mai qu'elle pourrait procéder à un tour de vis en cas d'amélioration continue de l'économie.
Il a limité les dégâts par rapport à l'euro, l'EUR/USD laissant échapper 0,10% pour descendre à 1,3351, après avoir pourtant atteint 1,3399.
La monnaie unique avait renforcé sa position après que le baromètre du moral allemand établi par le centre de recherches économiques ZEW ait auparavant vu l'ajout de 2,1 points aux 36,4 enregistrés en mai pour se placer à 38,5, au lieu des 38,1 déjà espérés.
Il ajoutait toutefois que l'évaluation de la situation économique actuelle du pays avait subi une érosion depuis 8,9 vers 8,8 dans le même temps.
Il était aussi précisé que l'économie germanique avait des chances de reprendre lentement de la vigueur au second semestre.
La livre sterling a par contre cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD trébuchant de 0,92% pour glisser à 1,5576, établissant un creux hebdomadaire, sur fond de rumeurs de fusion entre Vodafone et l'opérateur germanique Kable Deutschland.
Le bureau britannique des statistiques avait auparavant constaté que les prix au détail du Royaume-Uni avaient gonflé d'une année sur l'autre de 2,7% après ajustement saisonnier pour mai, dépassant ainsi les 2,6% anticipés et les 2,4% enregistrés en avril, où elle avait été la plus faible en sept mois.
Il a d'autre part exercé sa pression sur le franc suisse, l'USD/CHF arrachant 0,02% pour monter à 0,9296.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD coulant de 0,87% pour sombrer à 0,9457, le NZD/USD dérapant de 0,16% pour toucher le fond à 0,7980 et l'USD/CAD progressant de 0,16% pour aller vers 1,0200.
Le compte-rendu détaillé de la réunion de son comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie ayant eu lieu ce mois-ci ait indiqué qu'elle était prête à continuer à raboter à nouveau ses taux au besoin, ajoutant qu'une poursuite de l'érosion de la devise du pays encouragerait l'économie locale.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui de 0,38% pour se situer à 81,12.
Le département d'état américain a pour sa part dénombré 3,1% de permis de construire délivrés de moins en mai, pour un total ajusté de 974.000, alors qu'un passage à vide de 2,8% jusqu'à 950.000 était déjà redouté.
Il a cependant enregistré 6,8% de lancements de chantiers supplémentaires pour atteindre 914.000 dans le même temps, constituant cependant une déception au vu des 11,4%, pour les amener à 950.000 envisagés.
En seconde partie de séance européenne, le yen a encore davantage fléchi devant lui, l'USD/JPY bondissant de 1,20% pour se retrouver à 95,62.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet signalé que les prix à la consommation avaient comme prévu évolué vers le haut de 1,4% annualisés au cours du mois passé, dépassant cependant les 1,1% d'avril.
Ceux excluant la nourriture et l'énergie frémissaient quand à eux de 0,1% pour mai.
Ils ont du coup avancé de 0,1% mensuels en mai, soit un peu moins que les 0,2%.
Les yeux étaient désormais braqués sur la prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera demain, son futur demeurant flou après que son président Ben Bernanke ait déclaré en mai qu'elle pourrait procéder à un tour de vis en cas d'amélioration continue de l'économie.
Il a limité les dégâts par rapport à l'euro, l'EUR/USD laissant échapper 0,10% pour descendre à 1,3351, après avoir pourtant atteint 1,3399.
La monnaie unique avait renforcé sa position après que le baromètre du moral allemand établi par le centre de recherches économiques ZEW ait auparavant vu l'ajout de 2,1 points aux 36,4 enregistrés en mai pour se placer à 38,5, au lieu des 38,1 déjà espérés.
Il ajoutait toutefois que l'évaluation de la situation économique actuelle du pays avait subi une érosion depuis 8,9 vers 8,8 dans le même temps.
Il était aussi précisé que l'économie germanique avait des chances de reprendre lentement de la vigueur au second semestre.
La livre sterling a par contre cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD trébuchant de 0,92% pour glisser à 1,5576, établissant un creux hebdomadaire, sur fond de rumeurs de fusion entre Vodafone et l'opérateur germanique Kable Deutschland.
Le bureau britannique des statistiques avait auparavant constaté que les prix au détail du Royaume-Uni avaient gonflé d'une année sur l'autre de 2,7% après ajustement saisonnier pour mai, dépassant ainsi les 2,6% anticipés et les 2,4% enregistrés en avril, où elle avait été la plus faible en sept mois.
Il a d'autre part exercé sa pression sur le franc suisse, l'USD/CHF arrachant 0,02% pour monter à 0,9296.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD coulant de 0,87% pour sombrer à 0,9457, le NZD/USD dérapant de 0,16% pour toucher le fond à 0,7980 et l'USD/CAD progressant de 0,16% pour aller vers 1,0200.
Le compte-rendu détaillé de la réunion de son comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie ayant eu lieu ce mois-ci ait indiqué qu'elle était prête à continuer à raboter à nouveau ses taux au besoin, ajoutant qu'une poursuite de l'érosion de la devise du pays encouragerait l'économie locale.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui de 0,38% pour se situer à 81,12.
Le département d'état américain a pour sa part dénombré 3,1% de permis de construire délivrés de moins en mai, pour un total ajusté de 974.000, alors qu'un passage à vide de 2,8% jusqu'à 950.000 était déjà redouté.
Il a cependant enregistré 6,8% de lancements de chantiers supplémentaires pour atteindre 914.000 dans le même temps, constituant cependant une déception au vu des 11,4%, pour les amener à 950.000 envisagés.