Investing.com - Le dollar U.S. restait en repli modéré face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, mais son homologue nippon creusait un écart plus conséquent, les opérateurs prenant position avant de connaître sous peu les orientations de son émettrice.
En seconde partie de séance européenne, il a nettement fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,32% pour se retrouver à 95,01.
L'attention était désormais monopolisée par la prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera en fin de journée, sur fond d'espoir de clarification de rumeurs de réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels d'injections de liquidités dès cette année.
Son président Ben Bernanke avait déclaré en mai lors de son téoignage devant le congrès qu'elle pourrait procéder à un tour de vis en cas d'amélioration continue de l'économie, ce qui avait entraîné une nette dégringolade.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD grignotant 0,06% pour monter à 1,3400, s'accrochant à un pic de quatre mois.
Le billet vert a aussi cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,19% pour se hisser à 1,5674.
Cette dernière s'était retrouvée sur la sellette à la mi-journée, après que le procès-verbal du dernier conseil directeur de la Banque d'Angleterre ait montré que trois de ses membres avaient voté en faveur de 25 milliards de GBP d'assouplissements supplémentaires, mais que six autres s'étaient prononcés contre.
Il y était aussi précisé que les résultats économiques récents avaient été largement positifs, conformément aux prévisions de relance lente mais constante émises le mois passé dans ses projections trimestrielles.
Il a d'autre part à peine subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF laissant filer 0,03% pour tomber à 0,9196.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,21% pour monter à 0,9504, le NZD/USD engrangeant 0,26% pour culminer à 0,8009 et l'USD/CAD progressant de 0,15% pour aller vers 1,0193.
Un rapport émanant des autorités du Canada avait auparavant fait savoir que les ventes en gros avaient frémi de 0,2% en avril, constituant une déception au regard des 1% pressentis.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,14% pour se situer à 80,70.
En seconde partie de séance européenne, il a nettement fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,32% pour se retrouver à 95,01.
L'attention était désormais monopolisée par la prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera en fin de journée, sur fond d'espoir de clarification de rumeurs de réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels d'injections de liquidités dès cette année.
Son président Ben Bernanke avait déclaré en mai lors de son téoignage devant le congrès qu'elle pourrait procéder à un tour de vis en cas d'amélioration continue de l'économie, ce qui avait entraîné une nette dégringolade.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD grignotant 0,06% pour monter à 1,3400, s'accrochant à un pic de quatre mois.
Le billet vert a aussi cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,19% pour se hisser à 1,5674.
Cette dernière s'était retrouvée sur la sellette à la mi-journée, après que le procès-verbal du dernier conseil directeur de la Banque d'Angleterre ait montré que trois de ses membres avaient voté en faveur de 25 milliards de GBP d'assouplissements supplémentaires, mais que six autres s'étaient prononcés contre.
Il y était aussi précisé que les résultats économiques récents avaient été largement positifs, conformément aux prévisions de relance lente mais constante émises le mois passé dans ses projections trimestrielles.
Il a d'autre part à peine subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF laissant filer 0,03% pour tomber à 0,9196.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,21% pour monter à 0,9504, le NZD/USD engrangeant 0,26% pour culminer à 0,8009 et l'USD/CAD progressant de 0,15% pour aller vers 1,0193.
Un rapport émanant des autorités du Canada avait auparavant fait savoir que les ventes en gros avaient frémi de 0,2% en avril, constituant une déception au regard des 1% pressentis.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,14% pour se situer à 80,70.