Investing.com - L’indice phare de la Bourse de Paris évoluait en forte hausse lundi, à +0,97% à mi-séance, alors que la faiblesse de l’activité manufacturière dans la zone euro a renforcé les attentes de voir la Banque centrale européenne abaisser ses taux d’intérêt cette semaine.
Sur le front des statistiques, les indices PMI établis par Markit sont ressortis à 45,2 points en France (contre 44,7 en mai), à 45 contre 45,2 en Allemagne et à 45,1 (comme en mai) dans la zone euro. Le seuil des 50 points marque la frontière entre croissance et contraction de l'activité.
Par ailleurs, le taux de chômage a augmenté de 0,1 point à 11,1% de la population active dans la zone euro en mai.
Le CAC 40 s’était envolé vendredi, pour fermer au-dessus de 3.200 points, après un sommet européen qui a notamment autorisé la recapitalisation directe des banques européennes par le fonds européen de stabilité financière (FESF) et son remplaçant, le mécanisme européen de stabilité (MES). Et ce, sans alourdir la dette publique des pays concernés.
Du côté des valeurs, le Crédit Agricole affichait l’une des plus fortes progressions de l’indice parisien lundi. Le titre engrangeait 6,60% à mi-séance, alors que la banque se trouvait en pleine discussion sur une éventuelle cession de sa filiale de courtage Cheuvreux, dans l’espoir de parvenir à un accord avant mi-juillet.
Le Financial Times rapportait, par ailleurs, que trois établissements grecs auraient fait part de leur intérêt pour le rachat d’Emporiki Bank, filiale locale de la banque verte.
Les autres valeurs financières s’inscrivaient également dans le vert. BNP Paribas s’octroyait 3,89% à mi-séance et Société Générale s’appréciait de 1,41%.
Les valeurs cycliques ont, elles aussi, bénéficié des perspectives d’assouplissement monétaire par la BCE. Alstom avançait de 2,61% en milieu de journée et Schneider Electric gagnait 2,24%.
Par ailleurs, EADS avançait de 1,23%, alors que les syndicats ont pressé Airbus dimanche d'apporter des garanties sur la production et l'emploi dans la mesure où le constructeur aéronautique se prépare à dévoiler un projet de site d'assemblage aux Etats-Unis.
Le secteur automobile évoluait en ordre dispersé après que le Comité des constructeurs français d'automobiles a annoncé une baisse de 0,9% des immatriculations de voitures neuves en France le mois dernier. Les ventes de Peugeot ont chuté de 9,5%, tandis que celles de Renault ont progressé de 9,5%.
Le titre de Peugeot a abandonné 1,41% tandis que celui de Renault s’est apprécié de 1,18%.
Enfin, GDF Suez cédait 1,41% à mi-séance, affecté par les commentaires du ministre de l’Economie et des Finances, Pierre Moscovici, selon lequel le gouvernement pourrait bel et bien intervenir sur les prix du gaz et rejeter la demande de hausse des tarifs formulée par le groupe.
Le ministre a également annoncé, lundi matin dans un entretien au Figaro, une prévision de croissance à 0,4% pour 2012, ‘ou même un chiffre plus prudent encore’, contre 0,5% attendu jusqu’à présent.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,79%, le DAX grimpait de 0,85% et le Footsie 100 s’octroyait 0,51%.
Deux statistiques américaines étaient attendues dans l’après-midi: l'indice ISM manufacturier de juin et les dépenses de construction de mai.
Sur le front des statistiques, les indices PMI établis par Markit sont ressortis à 45,2 points en France (contre 44,7 en mai), à 45 contre 45,2 en Allemagne et à 45,1 (comme en mai) dans la zone euro. Le seuil des 50 points marque la frontière entre croissance et contraction de l'activité.
Par ailleurs, le taux de chômage a augmenté de 0,1 point à 11,1% de la population active dans la zone euro en mai.
Le CAC 40 s’était envolé vendredi, pour fermer au-dessus de 3.200 points, après un sommet européen qui a notamment autorisé la recapitalisation directe des banques européennes par le fonds européen de stabilité financière (FESF) et son remplaçant, le mécanisme européen de stabilité (MES). Et ce, sans alourdir la dette publique des pays concernés.
Du côté des valeurs, le Crédit Agricole affichait l’une des plus fortes progressions de l’indice parisien lundi. Le titre engrangeait 6,60% à mi-séance, alors que la banque se trouvait en pleine discussion sur une éventuelle cession de sa filiale de courtage Cheuvreux, dans l’espoir de parvenir à un accord avant mi-juillet.
Le Financial Times rapportait, par ailleurs, que trois établissements grecs auraient fait part de leur intérêt pour le rachat d’Emporiki Bank, filiale locale de la banque verte.
Les autres valeurs financières s’inscrivaient également dans le vert. BNP Paribas s’octroyait 3,89% à mi-séance et Société Générale s’appréciait de 1,41%.
Les valeurs cycliques ont, elles aussi, bénéficié des perspectives d’assouplissement monétaire par la BCE. Alstom avançait de 2,61% en milieu de journée et Schneider Electric gagnait 2,24%.
Par ailleurs, EADS avançait de 1,23%, alors que les syndicats ont pressé Airbus dimanche d'apporter des garanties sur la production et l'emploi dans la mesure où le constructeur aéronautique se prépare à dévoiler un projet de site d'assemblage aux Etats-Unis.
Le secteur automobile évoluait en ordre dispersé après que le Comité des constructeurs français d'automobiles a annoncé une baisse de 0,9% des immatriculations de voitures neuves en France le mois dernier. Les ventes de Peugeot ont chuté de 9,5%, tandis que celles de Renault ont progressé de 9,5%.
Le titre de Peugeot a abandonné 1,41% tandis que celui de Renault s’est apprécié de 1,18%.
Enfin, GDF Suez cédait 1,41% à mi-séance, affecté par les commentaires du ministre de l’Economie et des Finances, Pierre Moscovici, selon lequel le gouvernement pourrait bel et bien intervenir sur les prix du gaz et rejeter la demande de hausse des tarifs formulée par le groupe.
Le ministre a également annoncé, lundi matin dans un entretien au Figaro, une prévision de croissance à 0,4% pour 2012, ‘ou même un chiffre plus prudent encore’, contre 0,5% attendu jusqu’à présent.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,79%, le DAX grimpait de 0,85% et le Footsie 100 s’octroyait 0,51%.
Deux statistiques américaines étaient attendues dans l’après-midi: l'indice ISM manufacturier de juin et les dépenses de construction de mai.