Investing.com - Les options sur le brut étaient en berne ce mercredi, retombant de leur pic des trois derniers mois alors que les incertitudes politiques italiennes pesaient sur l'atmosphère, l'hypothèse d'une perturbation des livraisons de l'Iran aidant toutefois à limiter les dégâts.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 96.36 USD le baril en première partie de séance européenne, glissant de 0.46%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96.3 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.52% de fléchissement. Ils avaient culminé hier à 97.3 USD, leur meilleur niveau depuis le premier août.
Le moral des investisseurs s'est trouvé malmené par les incertitudes concernant la capacité du nouveau gouvernement de l'Italie à mettre en place des mesures d'austérité, après que le premier ministre Silvio Berlusconi ait déclaré qu'il démissionnerait après l'adoption la semaine prochaine par le parlement du budget 2012.
Il a annoncé cette décision suite à un vote budgétaire crucial ayant entraîné une perte de sa majorité parlementaire.
L'étalon américain a fait reculer l'euro, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait 0.38% de son côté pour se situer à 77.08.
Le rapport de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique publié hier avait par ailleurs indiqué que l'Iran avait acquis de quoi fabriquer des armes nucléaires, et que des "interrogations sérieuses" se posaient quand à sa capacité à s'en servir militairement.
Les acteurs du marché pétrolier surveillaient de près la possible orientation du programme nucléaire du pays à des fin belliqueuses militaires, poussant ainsi l'ONU à imposer de nouvelles sanctions au régime de Téhéran, celles-ci portant notamment sur ses exportations d'hydrocarbures.
L'Iran demeure le quatrième extracteur d'or noir du monde et second exportateur parmi les membres de l'OPEP, pouvant produire environ 3.7 millions de barils quotidiens.
Les cours ont éhalement été soutenur par une étude gouvernementale signalant en début de journée que l'indice des prix à la consommation de la Chine avait régressé en octobre pour le troisième mois d'affilée, se situant à 5.5%, contre 6.1% en septembre, alimentant les rumeurs d'un éventuel assouplissement à court terme de la politique monétaire de Pékin.
La Chine reste le deuxième plus gros consommateur de pétrole au monde après les Etats-Unis, et la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de l'imporrtance des besoins du premier consommateur mondial.
Celui-ci du gouvernement pourrait montrer une augmentation de 500 000 barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient en diminuer de 400 000.
L'institut du pétrole américain, expert en la matière, a indiqué dans on inventaire publié hier après la clôture des échanges une diminution de 150 000 barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence en perdaient 1.5 millions.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont trébuché de 0.05% pour glisser à 114.95 USD du baril dans le même temps, soit 17.65 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 96.36 USD le baril en première partie de séance européenne, glissant de 0.46%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96.3 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.52% de fléchissement. Ils avaient culminé hier à 97.3 USD, leur meilleur niveau depuis le premier août.
Le moral des investisseurs s'est trouvé malmené par les incertitudes concernant la capacité du nouveau gouvernement de l'Italie à mettre en place des mesures d'austérité, après que le premier ministre Silvio Berlusconi ait déclaré qu'il démissionnerait après l'adoption la semaine prochaine par le parlement du budget 2012.
Il a annoncé cette décision suite à un vote budgétaire crucial ayant entraîné une perte de sa majorité parlementaire.
L'étalon américain a fait reculer l'euro, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait 0.38% de son côté pour se situer à 77.08.
Le rapport de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique publié hier avait par ailleurs indiqué que l'Iran avait acquis de quoi fabriquer des armes nucléaires, et que des "interrogations sérieuses" se posaient quand à sa capacité à s'en servir militairement.
Les acteurs du marché pétrolier surveillaient de près la possible orientation du programme nucléaire du pays à des fin belliqueuses militaires, poussant ainsi l'ONU à imposer de nouvelles sanctions au régime de Téhéran, celles-ci portant notamment sur ses exportations d'hydrocarbures.
L'Iran demeure le quatrième extracteur d'or noir du monde et second exportateur parmi les membres de l'OPEP, pouvant produire environ 3.7 millions de barils quotidiens.
Les cours ont éhalement été soutenur par une étude gouvernementale signalant en début de journée que l'indice des prix à la consommation de la Chine avait régressé en octobre pour le troisième mois d'affilée, se situant à 5.5%, contre 6.1% en septembre, alimentant les rumeurs d'un éventuel assouplissement à court terme de la politique monétaire de Pékin.
La Chine reste le deuxième plus gros consommateur de pétrole au monde après les Etats-Unis, et la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de l'imporrtance des besoins du premier consommateur mondial.
Celui-ci du gouvernement pourrait montrer une augmentation de 500 000 barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient en diminuer de 400 000.
L'institut du pétrole américain, expert en la matière, a indiqué dans on inventaire publié hier après la clôture des échanges une diminution de 150 000 barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence en perdaient 1.5 millions.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont trébuché de 0.05% pour glisser à 114.95 USD du baril dans le même temps, soit 17.65 USD de mieux que leurs homologues américaines.