Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, après que son émettrice n'ait pourtant donné aucun signe d'une réduction prochaine de ses coups de pouce, tandis que celles de ses homologues européen et britannique se préparaient à leurs propres prises de cap.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,45% pour tomber à 1,3242.
La Réserve Fédérale a en effet achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que le croissance demeurait "modérée".
Les rumeurs selon lesquelles elle pourrait y mettre un frein dès septembre persistaient malgré tout, au vu des belles performances récemment publiées par les Etats-Unis, poussant à surveiller pour demain leurs chiffres de l'emploi.
Le groupe de recherches économiques Markit a pour sa part révélé que son indice de la vigueur des industries du bloc euro avait connu un sursaut depuis 50,1 vers 50,3 en juillet, alors que les experts pensaient qu'il stagnerait.
Celui de l'Allemagne passait lui de 50,3 à 50,7, démentant aussi les prédictions d'immobilisme.
La monnaie unique demeurait toutefois sur la sellette alors que la Banque Centrale Européenne s'apprêtait à annoncer son taux directeur, lequel sera suivi de la traditionnelle conférence de presse de son président Mario Draghi.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,05% pour chuter à 1,5200.
Le baromètre de la vigueur du secteur secondaire britannique établi lui aussi par Markit grimpait de 52,9 à 54,6 dans le même temps que ses équivalents continentaux, alors qu'un faux pas à 52,8 était redouté.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,74% pour se hisser à 98,61 et l'USD/CHF grignotant 0,40% pour culminer à 0,9299.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,20% pour se retrouver à 0,8967, le NZD/USD se laissant arracher 0,54% pour toucher le fond à 0,7943 et l'USD/CAD prenant 0,17% pour monter à 1,0294.
Les spécialistes de l'immobilier de l'Australie avaient auparavant fait savoir que les ventes de logeents neufs y avaient bondi de 3,4% en juin, améliorant nettement les 1,6% précédents.
Les valeurs liées aux exportations ont aussi repris des couleurs dans le sillage de l'indice des directeurs d'achats manufacturiers établi les autorités chinoises, qui frémissait depuis 50,1 vers 50,3 sur une période identique à celle de ses homologues européens.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,38% pour se situer à 82,06.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,45% pour tomber à 1,3242.
La Réserve Fédérale a en effet achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que le croissance demeurait "modérée".
Les rumeurs selon lesquelles elle pourrait y mettre un frein dès septembre persistaient malgré tout, au vu des belles performances récemment publiées par les Etats-Unis, poussant à surveiller pour demain leurs chiffres de l'emploi.
Le groupe de recherches économiques Markit a pour sa part révélé que son indice de la vigueur des industries du bloc euro avait connu un sursaut depuis 50,1 vers 50,3 en juillet, alors que les experts pensaient qu'il stagnerait.
Celui de l'Allemagne passait lui de 50,3 à 50,7, démentant aussi les prédictions d'immobilisme.
La monnaie unique demeurait toutefois sur la sellette alors que la Banque Centrale Européenne s'apprêtait à annoncer son taux directeur, lequel sera suivi de la traditionnelle conférence de presse de son président Mario Draghi.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,05% pour chuter à 1,5200.
Le baromètre de la vigueur du secteur secondaire britannique établi lui aussi par Markit grimpait de 52,9 à 54,6 dans le même temps que ses équivalents continentaux, alors qu'un faux pas à 52,8 était redouté.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,74% pour se hisser à 98,61 et l'USD/CHF grignotant 0,40% pour culminer à 0,9299.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,20% pour se retrouver à 0,8967, le NZD/USD se laissant arracher 0,54% pour toucher le fond à 0,7943 et l'USD/CAD prenant 0,17% pour monter à 1,0294.
Les spécialistes de l'immobilier de l'Australie avaient auparavant fait savoir que les ventes de logeents neufs y avaient bondi de 3,4% en juin, améliorant nettement les 1,6% précédents.
Les valeurs liées aux exportations ont aussi repris des couleurs dans le sillage de l'indice des directeurs d'achats manufacturiers établi les autorités chinoises, qui frémissait depuis 50,1 vers 50,3 sur une période identique à celle de ses homologues européens.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,38% pour se situer à 82,06.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.