Investing.com - Le dollar U.S. se rapprochait d'un sommet plurimensuel face au franc suisse ce jeudi, le moral demeurant en berne en raison de la résurgence des craintse concernant les perspectives de croissance de la zone euro et des Etats-Unis.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9708 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9681, gagnant 0,35%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9548, son plancher du 13 mai, et de rencontrer de la résistance à 0,9748, son plafond de neuf mois établi hier.
La prudence restait de mise après qu'il ait été révélé hier que le produit intérieur brut du bloc ayant adopté la monnaie unique avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
Celui de l'Allemagne n'a pour sa part frémi que de 0,1% au lieu des 0,3% espérés et son équivalent pour la France a aussi déçu avec un passage à vide de 0,2%.
Le bloc euro a représenté près de 12% de la consommation mondiale de l'année dernière.
Il avait aussi été montré mercredi que la production industrielle des Etats-Unis avait flanché de 0,5% le mois passé, à la place des 0,2% déjà redoutés, amplifiant les bruits peu crédibles selon lesquels la Réserve Fédérale pourrait mettre prématurément fin à son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année.
Les yeux étaient désormais tournés pour la fin de journée vers une série de résultats américains pouvant apporter ou non de l'eau au moulin de ces rumeurs.
La devise helvète a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0,20% pour se hisser à 1,2458.
Les Etats-Unis comptent de leur côté annoncer en fin de journée le nombre des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, sans oublier les chiffres officiels de l'inflation au détail, le décompte des nouvelles inscriptions au chômage et l'indice de l'activité des usines de la région de Philadelphie.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9708 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9681, gagnant 0,35%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9548, son plancher du 13 mai, et de rencontrer de la résistance à 0,9748, son plafond de neuf mois établi hier.
La prudence restait de mise après qu'il ait été révélé hier que le produit intérieur brut du bloc ayant adopté la monnaie unique avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
Celui de l'Allemagne n'a pour sa part frémi que de 0,1% au lieu des 0,3% espérés et son équivalent pour la France a aussi déçu avec un passage à vide de 0,2%.
Le bloc euro a représenté près de 12% de la consommation mondiale de l'année dernière.
Il avait aussi été montré mercredi que la production industrielle des Etats-Unis avait flanché de 0,5% le mois passé, à la place des 0,2% déjà redoutés, amplifiant les bruits peu crédibles selon lesquels la Réserve Fédérale pourrait mettre prématurément fin à son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année.
Les yeux étaient désormais tournés pour la fin de journée vers une série de résultats américains pouvant apporter ou non de l'eau au moulin de ces rumeurs.
La devise helvète a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0,20% pour se hisser à 1,2458.
Les Etats-Unis comptent de leur côté annoncer en fin de journée le nombre des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, sans oublier les chiffres officiels de l'inflation au détail, le décompte des nouvelles inscriptions au chômage et l'indice de l'activité des usines de la région de Philadelphie.