Investing.com - Le dollar U.S. restait en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, son attrait en tant que valeur sûre se trouvant magnifié par la crainte de plus en plus présente d'une intervention des Etats-Unis en Syrie.
En fin de première partie de séance européenne, il s'extirpait même d'une ornière de deux semaines par rapport au yen, l'USD/JPY grimpant de 0,31% pour se hisser à 97,33, alors que le refuge traditionnel que constitue son adversaire aurait dû connaître un regain de popularité.
L'idée d'une action militaire des Etats-Unis en Syrie s'était en effet trouvée confortée hier par le vice-président américain Joe Biden, affirmant n'avoir "aucun doute" que les autorités de Damas avaient employé des armes chimiques contre la population, et qu'elles devraient être mises devant leurs responsabilités.
Les rumeurs de réduction de la voilure des rachats d'actifs de la Réserve Fédérale ont d'autre part refait surface après qu'il ait été montré mardi que la confiance des particuliers des Etats-Unis avait davantage augmenté en août qu'espéré, atteignant ainsi son meilleur niveau depuis janvier 2008.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,27% pour tomber à 1,3356.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,51% pour chuter à 1,5468, établissant au passage un nouveau creux de deux semaines.
Cette dernière se trouvait sur la sellette dans l'expectative d'un discours imminent de Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre.
Celui-ci confirmera vraisemblablement son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Les bons résultats économiques récemment publiés laissent cependant entrevoir la possibilité d'une remontée anticipée.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,20% pour culminer à 0,9195.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,73% pour se retrouver à 0,8917, le NZD/USD se laissant arracher 0,60% pour toucher le fond à 0,7750 et l'USD/CAD prenant 0,24% pour monter à 1,0499.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,27% pour se situer à 81,41.
Les acteurs du secteur immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur nombre des ventes d'habitations en cours.
En fin de première partie de séance européenne, il s'extirpait même d'une ornière de deux semaines par rapport au yen, l'USD/JPY grimpant de 0,31% pour se hisser à 97,33, alors que le refuge traditionnel que constitue son adversaire aurait dû connaître un regain de popularité.
L'idée d'une action militaire des Etats-Unis en Syrie s'était en effet trouvée confortée hier par le vice-président américain Joe Biden, affirmant n'avoir "aucun doute" que les autorités de Damas avaient employé des armes chimiques contre la population, et qu'elles devraient être mises devant leurs responsabilités.
Les rumeurs de réduction de la voilure des rachats d'actifs de la Réserve Fédérale ont d'autre part refait surface après qu'il ait été montré mardi que la confiance des particuliers des Etats-Unis avait davantage augmenté en août qu'espéré, atteignant ainsi son meilleur niveau depuis janvier 2008.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,27% pour tomber à 1,3356.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,51% pour chuter à 1,5468, établissant au passage un nouveau creux de deux semaines.
Cette dernière se trouvait sur la sellette dans l'expectative d'un discours imminent de Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre.
Celui-ci confirmera vraisemblablement son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Les bons résultats économiques récemment publiés laissent cependant entrevoir la possibilité d'une remontée anticipée.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,20% pour culminer à 0,9195.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,73% pour se retrouver à 0,8917, le NZD/USD se laissant arracher 0,60% pour toucher le fond à 0,7750 et l'USD/CAD prenant 0,24% pour monter à 1,0499.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,27% pour se situer à 81,41.
Les acteurs du secteur immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur nombre des ventes d'habitations en cours.