Investing.com - Le dollar U.S. s'est hissé vers des pics journaliers face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, après que les résultats commerciaux des Etats-Unis se soient avérés avoir connu en juillet leur meilleure progression en sept mois.
En seconde partie de séance européenne, le yen a davantage fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 1,33% pour se hisser à 98,18.
Le département d'état au commerce américain a en effet révélé que les ventes auprès des particuliers avaient augmenté de 0,2% le mois passé, une contre-performance au vu des 0,3% envisagés.
Les 0,4% d'amélioration précédents ont toutefois été revus à la hausse vers 0,6%.
Celles de base, excluant le commerce des véhicules, ont progressé de 0,5 en juillet, alors qu'une embellie de 0,4% était pressentie.
Celles de juin ont aussi vu leur stagnation de juin revisée positivement jusqu'à un frémissement de 0,1%.
Ces chiffres ont du coup conforté l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
La monnaie de l'archipel avait largement faibli, après que les médias japonais aient rapporté que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe étudiait la possibilité de réduire les impôts sur les grandes entreprises afin de compenser en partie l'augmentation prévue de la taxe sur la valeur ajoutée.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD dérapant de 0,26% pour s'établir à 1,3267, établissant au passage un creux hebdomadaire.
La paire avait brièvement culminé après que le centre de recherches économiques ZEW ait fait savoir que son baromètre de la confiance dans l'économie de l'Allemagne avait gagné 5,7 points, passant ainsi de 36,3 à 42,0 pour août, au lieu des 40,0 anticipés par les experts.
L'optimisme concernant l'économie de la zone euro suivait le mouvement, depuis les 32,8 de juillet jusqu'à 44,0, un niveau jamais vu depuis avril 2010.
La livre sterling a quand à elle bien résisté, le GBP/USD laissant échapper 0,05% pour descendre à 1,5454, après qu'il ait été montré que les prix proposés aux particuliers du Royaume-Uni avaient augmenté de manière moins nette le mois dernier.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté que l'inflation s'était limitée à 2,8% annualisés en juillet, au lieu des 2,9% précédents.
Le franc suisse a aussi subi plusfortement sa pression, l'USD/CHF s'élevant de 0,73% pour s'établir à 0,9325.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,30% pour se retrouver à 0,9119, le NZD/USD se laissant arracher 0,43% pour toucher le fond à 0,7975 et l'USD/CAD prenant 0,25% pour monter à 1,0329.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,44% pour se situer à 81,79.
En seconde partie de séance européenne, le yen a davantage fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 1,33% pour se hisser à 98,18.
Le département d'état au commerce américain a en effet révélé que les ventes auprès des particuliers avaient augmenté de 0,2% le mois passé, une contre-performance au vu des 0,3% envisagés.
Les 0,4% d'amélioration précédents ont toutefois été revus à la hausse vers 0,6%.
Celles de base, excluant le commerce des véhicules, ont progressé de 0,5 en juillet, alors qu'une embellie de 0,4% était pressentie.
Celles de juin ont aussi vu leur stagnation de juin revisée positivement jusqu'à un frémissement de 0,1%.
Ces chiffres ont du coup conforté l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
La monnaie de l'archipel avait largement faibli, après que les médias japonais aient rapporté que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe étudiait la possibilité de réduire les impôts sur les grandes entreprises afin de compenser en partie l'augmentation prévue de la taxe sur la valeur ajoutée.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD dérapant de 0,26% pour s'établir à 1,3267, établissant au passage un creux hebdomadaire.
La paire avait brièvement culminé après que le centre de recherches économiques ZEW ait fait savoir que son baromètre de la confiance dans l'économie de l'Allemagne avait gagné 5,7 points, passant ainsi de 36,3 à 42,0 pour août, au lieu des 40,0 anticipés par les experts.
L'optimisme concernant l'économie de la zone euro suivait le mouvement, depuis les 32,8 de juillet jusqu'à 44,0, un niveau jamais vu depuis avril 2010.
La livre sterling a quand à elle bien résisté, le GBP/USD laissant échapper 0,05% pour descendre à 1,5454, après qu'il ait été montré que les prix proposés aux particuliers du Royaume-Uni avaient augmenté de manière moins nette le mois dernier.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté que l'inflation s'était limitée à 2,8% annualisés en juillet, au lieu des 2,9% précédents.
Le franc suisse a aussi subi plusfortement sa pression, l'USD/CHF s'élevant de 0,73% pour s'établir à 0,9325.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,30% pour se retrouver à 0,9119, le NZD/USD se laissant arracher 0,43% pour toucher le fond à 0,7975 et l'USD/CAD prenant 0,25% pour monter à 1,0329.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,44% pour se situer à 81,79.