Investing.com - Le dollar U.S. s'est retrouvé sur la défensive face à la plupart de ses concurrents ce mardi, après que les belles performances des prestataires de services là où il a cours aient entraîné de nouvelles réflexions concernant le moment où son émettrice effectuera un tour de vis.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,19% pour glisser à 98,09.
Il gardait en effet des couleurs après qu'il ait été montré hier que l'activité du domaine tertiaire américain avait connu en juillet sa plus forte amélioration en cinq mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi déclaré que son indice des directeurs des achats non manufacturiers avait bondi depuis 52,2, sa pire valeur en trois ans, vers 56,0, grâce à une augmntation des nouvelles commandes.
Cette belle surprise a du coup aidé à faire oublier que les autorités américaines n'avaient compté vendredi que 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,17% pour grimper à 1,3280.
Ce dernier gardait cependant du mordant après qu'il ait été montré que les usines allemandes avaient enregistré 3,8% de commandes supplémentaires en juin, au lieu des 1% espérés.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,05% pour s'élever à 1,5360.
Cette dernière avait connu un bref sursaut grâce à de belles performances du secteur secondaire du Royaume-Uni, alimentant l'optimisme concernant ses perspectives économiques.
Le bureau britannique des statistiques a en effet révélé que la production manufacturée avait bondi de 1,9% en juin, pulvérisant les 0,9% espérés, gonflant de 2% d'une année sur l'autre.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF subissant une érosion de 0,03% pour toucher le fond à 0,9270.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,60% pour se retrouver à 0,8982, le NZD/USD arrachant 0,81% pour culminer à 0,7884 et l'USD/CAD prenant 0,07% pour monter à 1,0369.
La Réserve Bancaire d'Australie avait sans surprise rabaissé à l'aube son taux d'intérêt directeur à 2,5%, son plus bas niveau historique, confirmant sa volonté de continuer à ajuster ses actions afin d'encourager la croissance tout en limitant l'inflation.
La devise de la Nouvelle-Zélande s'extrayait pour sa part de son ornière annuelle de la veille, découlant des problèmes de contamination du lait en poudre de Fonterra, le plus gros exportateur de produits lactés du monde.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,12% pour se situer à 81,82.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde de leur commerce extérieur.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,19% pour glisser à 98,09.
Il gardait en effet des couleurs après qu'il ait été montré hier que l'activité du domaine tertiaire américain avait connu en juillet sa plus forte amélioration en cinq mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi déclaré que son indice des directeurs des achats non manufacturiers avait bondi depuis 52,2, sa pire valeur en trois ans, vers 56,0, grâce à une augmntation des nouvelles commandes.
Cette belle surprise a du coup aidé à faire oublier que les autorités américaines n'avaient compté vendredi que 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,17% pour grimper à 1,3280.
Ce dernier gardait cependant du mordant après qu'il ait été montré que les usines allemandes avaient enregistré 3,8% de commandes supplémentaires en juin, au lieu des 1% espérés.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,05% pour s'élever à 1,5360.
Cette dernière avait connu un bref sursaut grâce à de belles performances du secteur secondaire du Royaume-Uni, alimentant l'optimisme concernant ses perspectives économiques.
Le bureau britannique des statistiques a en effet révélé que la production manufacturée avait bondi de 1,9% en juin, pulvérisant les 0,9% espérés, gonflant de 2% d'une année sur l'autre.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF subissant une érosion de 0,03% pour toucher le fond à 0,9270.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,60% pour se retrouver à 0,8982, le NZD/USD arrachant 0,81% pour culminer à 0,7884 et l'USD/CAD prenant 0,07% pour monter à 1,0369.
La Réserve Bancaire d'Australie avait sans surprise rabaissé à l'aube son taux d'intérêt directeur à 2,5%, son plus bas niveau historique, confirmant sa volonté de continuer à ajuster ses actions afin d'encourager la croissance tout en limitant l'inflation.
La devise de la Nouvelle-Zélande s'extrayait pour sa part de son ornière annuelle de la veille, découlant des problèmes de contamination du lait en poudre de Fonterra, le plus gros exportateur de produits lactés du monde.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,12% pour se situer à 81,82.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde de leur commerce extérieur.