Investing.com - Le dollar U.S. gardait la forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, profitant des propos du chef de l'émettrice de son homologue européen, tandis qu'il profitait tooujours paradoxalement du fait que la sienne n'ait donné aucun signe d'une réduction prochaine de ses coups de pouce.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,46% pour tomber à 1,3240.
La monnaie unique s'est en effet retrouvée en difficulté aprè que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré que les taux d'intérêt régionaux demeureraient faibles encore longtemps.
Il a précisé à l'issue de sa prise de cap que les risques de déconvenues économiques demeuraient présents, et que les assouplisseents conservaient leur caractère indispensable.
Elle avait auparavant décidé le maintien de son taux d'intérêt à 0,5%, sa valeur la plus faible de tous les temps.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant révélé que son indice de la vigueur des industries du bloc euro avait connu un sursaut à 50,3 en juillet, après avoir été évalué à 50,1, alors qu'une stagnation était attendue.
Le billet vert a par contre dû résister à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0,01% pour monter à 1,5209.
La devise de la Grande-Bretagne a repris des couleurs après que la Banque d'Angleterre ait maintenu son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et le volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP, lors de sa seconde réunion sous l'égide de son nouveau gouverneur Mark Carney.
Cette décision avait été prise après que Markit ait fait savoir que son baromètre de l'activité manufacturière britannique avait bondi de 52,9 vers 54,6 pour juillet, alors qu'un faux pas vers 52,8 était craint.
Le yen et le franc suisse ont par contre nettement subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,88% pour se hisser à 98,75 et l'USD/CHF grignotant 0,55% pour culminer à 0,9312.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,36% pour se retrouver à 0,8961, le NZD/USD se laissant arracher 0,69% pour toucher le fond à 0,7930 et l'USD/CAD prenant 0,22% pour monter à 1,0300.
Les spécialistes de l'immobilier de l'Australie avaient auparavant fait savoir que les ventes de logeents neufs y avaient bondi de 3,4% en juin, améliorant nettement les 1,6% précédents.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,38% pour se situer à 82,06.
Le département d'état au travail américain a pour sa part dénombré 19.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 26 juillet, pour un total hebdomadaire de 326.000 après correction saisonnière, alors qu'un maintien à 345.000 était à craindre.
Celui de la précédente s'était pour sa part situé à 345.000, après révision vers le haut des 343.000 préalablement avancés.
La Réserve Fédérale avait quand à elle achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que la croissance demeurait "modérée".
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,46% pour tomber à 1,3240.
La monnaie unique s'est en effet retrouvée en difficulté aprè que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré que les taux d'intérêt régionaux demeureraient faibles encore longtemps.
Il a précisé à l'issue de sa prise de cap que les risques de déconvenues économiques demeuraient présents, et que les assouplisseents conservaient leur caractère indispensable.
Elle avait auparavant décidé le maintien de son taux d'intérêt à 0,5%, sa valeur la plus faible de tous les temps.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant révélé que son indice de la vigueur des industries du bloc euro avait connu un sursaut à 50,3 en juillet, après avoir été évalué à 50,1, alors qu'une stagnation était attendue.
Le billet vert a par contre dû résister à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0,01% pour monter à 1,5209.
La devise de la Grande-Bretagne a repris des couleurs après que la Banque d'Angleterre ait maintenu son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et le volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP, lors de sa seconde réunion sous l'égide de son nouveau gouverneur Mark Carney.
Cette décision avait été prise après que Markit ait fait savoir que son baromètre de l'activité manufacturière britannique avait bondi de 52,9 vers 54,6 pour juillet, alors qu'un faux pas vers 52,8 était craint.
Le yen et le franc suisse ont par contre nettement subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,88% pour se hisser à 98,75 et l'USD/CHF grignotant 0,55% pour culminer à 0,9312.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,36% pour se retrouver à 0,8961, le NZD/USD se laissant arracher 0,69% pour toucher le fond à 0,7930 et l'USD/CAD prenant 0,22% pour monter à 1,0300.
Les spécialistes de l'immobilier de l'Australie avaient auparavant fait savoir que les ventes de logeents neufs y avaient bondi de 3,4% en juin, améliorant nettement les 1,6% précédents.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,38% pour se situer à 82,06.
Le département d'état au travail américain a pour sa part dénombré 19.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 26 juillet, pour un total hebdomadaire de 326.000 après correction saisonnière, alors qu'un maintien à 345.000 était à craindre.
Celui de la précédente s'était pour sa part situé à 345.000, après révision vers le haut des 343.000 préalablement avancés.
La Réserve Fédérale avait quand à elle achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que la croissance demeurait "modérée".
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.