Investing.com - Le dollar U.S. restait en difficulté face à la plupart de ses concurrents ce lundi, subissant toujours la déception découlant des embauches des Etats-Unis, alors que son homologue du Royaume-Uni bénéficiait de jolies statistiques.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,37% pour se retrouver à 98,58, aux abords d'un creux du jour.
Les autorités américaines avaient en effet compté vendredi 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,28% pour se hisser à 1,5334, après qu'il ait été montré que les prestataires de services britanniques avaient connu le mois passé leur plus nette embellie en plus de six ans et demi.
Le baromètre de leur activité a ainsi bondi depuis 56,9 jusqu'à 60,2, pulvérisant ainsi les 57,2 espérés.
Il n'en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD laissant échapper 0,08% pour chuter à 1,3268.
La monnaie unique a subi un passage à vide après qu'une étude officielle ait mis en relief une diminution de 0,5% des ventes au détail en juin là où elle a cours, la pire depuis décemvre 2012, et de 0,9% d'une année sur l'autre.
Elle avait brièvement culminé après que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire là où elle a cours ait limité les dégâts en passant de 48,3 jusqu'à 49,8 en juillet, confirmant les signes de reprise régionaux.
Une étude officielle a d'autre part mis en relief une diminution de 0,5% des ventes au détail de la zone euro en juin, un léger soulagement par rapport aux 0,6% redoutés.
Il a d'autre part renversé la pression du franc suisse, l'USD/CHF grimpant de 0,36% pour monter à 0,9327.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs à peine dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD se rétractant de 0,16% pour tomber à 0,8886, le NZD/USD sombrant de 0,90% pour toucher le fond à 0,7764 et l'USD/CAD régressant de 0,01% pour aller vers 1,0392.
La première s'était effondrée à son plus bas niveau en trois ans après que les autorités de l'Australie aient révélé que les ventes auprès des particuliers n'avaient pas progressé en juin, augmentant les risques d'une nouvelle baisse des taux d'intérêt nationaux.
La devise de la Nouvelle-Zélande avait plongé dans une ornière annuelle dans le sillage des problèmes de contamination du lait en poudre de Fonterra, le plus gros exportateur de produits lactés du monde.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, empochait quand à lui 0,09% pour se situer à 82,08.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait conclure la journée avec son rapport sur l'activité non manufacturière, en quête d'indices sur la direction que prend leur économie.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,37% pour se retrouver à 98,58, aux abords d'un creux du jour.
Les autorités américaines avaient en effet compté vendredi 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,28% pour se hisser à 1,5334, après qu'il ait été montré que les prestataires de services britanniques avaient connu le mois passé leur plus nette embellie en plus de six ans et demi.
Le baromètre de leur activité a ainsi bondi depuis 56,9 jusqu'à 60,2, pulvérisant ainsi les 57,2 espérés.
Il n'en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD laissant échapper 0,08% pour chuter à 1,3268.
La monnaie unique a subi un passage à vide après qu'une étude officielle ait mis en relief une diminution de 0,5% des ventes au détail en juin là où elle a cours, la pire depuis décemvre 2012, et de 0,9% d'une année sur l'autre.
Elle avait brièvement culminé après que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire là où elle a cours ait limité les dégâts en passant de 48,3 jusqu'à 49,8 en juillet, confirmant les signes de reprise régionaux.
Une étude officielle a d'autre part mis en relief une diminution de 0,5% des ventes au détail de la zone euro en juin, un léger soulagement par rapport aux 0,6% redoutés.
Il a d'autre part renversé la pression du franc suisse, l'USD/CHF grimpant de 0,36% pour monter à 0,9327.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs à peine dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD se rétractant de 0,16% pour tomber à 0,8886, le NZD/USD sombrant de 0,90% pour toucher le fond à 0,7764 et l'USD/CAD régressant de 0,01% pour aller vers 1,0392.
La première s'était effondrée à son plus bas niveau en trois ans après que les autorités de l'Australie aient révélé que les ventes auprès des particuliers n'avaient pas progressé en juin, augmentant les risques d'une nouvelle baisse des taux d'intérêt nationaux.
La devise de la Nouvelle-Zélande avait plongé dans une ornière annuelle dans le sillage des problèmes de contamination du lait en poudre de Fonterra, le plus gros exportateur de produits lactés du monde.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, empochait quand à lui 0,09% pour se situer à 82,08.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait conclure la journée avec son rapport sur l'activité non manufacturière, en quête d'indices sur la direction que prend leur économie.