Investing.com - Le dollar U.S. était plutôt mitigé face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, Les observateurs gardant les résultats manufacturiers américains prévus pour cet après-midi en ligne de mire dans l'espoir d'une confirmation des signes de reprise économique, tandis que les résultats médiocres de l'emploi européens assombrissaient toutefois l'atmosphère.
En seconde partie de séance européenne, l'euro fléchissait légèrement devant lui, l'EUR/USD perdant 0.16% pour descendre à 1.332.
La monnaie unique s'est retrouvée mise sur la sellette par les autorités de la région où elle a cours, avouant que le taux de chômage y avait atteint sans surprise en février un nouveau sommet historique à 10.8%, contre 10.7% auparavant.
Les ministres des finances du bloc euro s'étaient mis d'accord vendredi pour renforcer le pare-feu antidette, mais l'incertitude concernant la capacité de celui-ci à empêcher la contamination de l'Espagne et de l'Italie demeurait palpable.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.09% pour monter à 1.6022, aux abords d'une ornière de quatre mois et demi.
Cette dernière avait retrouvé des forces après qu'une étude ait montré que l'activité manufacturière du Royaume-Uni avait connu en mars sa plus forte progression des dix derniers mois.
L'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier britannique s'est en effet élevé le mois dernier depuis les 51.5 revus à la hausse de février vers 52.1, prenant de court les experts tablant sur un recul à 50.5.
Il a aussi subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.34% pour se retrouver à 82.59 et l'USD/CHF arrachant 0.2% pour se hisser à 0.9041.
Le devise nippone avait subi ce matin un passage à vide suite à un indice du moral manufacturier japonais ayant davantage diminué que prévu au premier trimestre, ravivant la crainte que la Banque du Japon ne procède à de nouveau assouplissements monétaires.
Un rapport helvétique signalait de son côté que l'activité du secteur secondaire avait augmenté en mars pour la première fois en sept mois, et ce de manière supérieure aux attentes.
Un autre soulignait toutefois que les ventes au détail du pays avaient moins progressé qu'espéré en février.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.01% pour aller vers 0.9983, l'AUD/USD raflant 0.19% pour bondir à 1.0369 et le NZD/USD engrangeant 0.08% pour culminer à 0.8190.
Le dollar australien s'était trouvé soutenu après qu'il ait été montré en fin de semaine que l'activité du secteur manufacturier chinois s'était envolée en mars vers un pic des 11 derniers mois, apaisant l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale, et première importatrice de produits de l'Australie.
Les autorités de cette dernière également avaient fait savoir ce matin que le nombre des permis de construire avait diminué sans crier gare en février, plongeant de 7.8% après avoir pourtant gagné 1.1% le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.06% pour se situer à 79.16.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir l'institut de gestion des approvisionnements ISM dévoiler cet après-midi ses résultats de l'activité manufacturière nationale.
En seconde partie de séance européenne, l'euro fléchissait légèrement devant lui, l'EUR/USD perdant 0.16% pour descendre à 1.332.
La monnaie unique s'est retrouvée mise sur la sellette par les autorités de la région où elle a cours, avouant que le taux de chômage y avait atteint sans surprise en février un nouveau sommet historique à 10.8%, contre 10.7% auparavant.
Les ministres des finances du bloc euro s'étaient mis d'accord vendredi pour renforcer le pare-feu antidette, mais l'incertitude concernant la capacité de celui-ci à empêcher la contamination de l'Espagne et de l'Italie demeurait palpable.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.09% pour monter à 1.6022, aux abords d'une ornière de quatre mois et demi.
Cette dernière avait retrouvé des forces après qu'une étude ait montré que l'activité manufacturière du Royaume-Uni avait connu en mars sa plus forte progression des dix derniers mois.
L'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier britannique s'est en effet élevé le mois dernier depuis les 51.5 revus à la hausse de février vers 52.1, prenant de court les experts tablant sur un recul à 50.5.
Il a aussi subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.34% pour se retrouver à 82.59 et l'USD/CHF arrachant 0.2% pour se hisser à 0.9041.
Le devise nippone avait subi ce matin un passage à vide suite à un indice du moral manufacturier japonais ayant davantage diminué que prévu au premier trimestre, ravivant la crainte que la Banque du Japon ne procède à de nouveau assouplissements monétaires.
Un rapport helvétique signalait de son côté que l'activité du secteur secondaire avait augmenté en mars pour la première fois en sept mois, et ce de manière supérieure aux attentes.
Un autre soulignait toutefois que les ventes au détail du pays avaient moins progressé qu'espéré en février.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.01% pour aller vers 0.9983, l'AUD/USD raflant 0.19% pour bondir à 1.0369 et le NZD/USD engrangeant 0.08% pour culminer à 0.8190.
Le dollar australien s'était trouvé soutenu après qu'il ait été montré en fin de semaine que l'activité du secteur manufacturier chinois s'était envolée en mars vers un pic des 11 derniers mois, apaisant l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale, et première importatrice de produits de l'Australie.
Les autorités de cette dernière également avaient fait savoir ce matin que le nombre des permis de construire avait diminué sans crier gare en février, plongeant de 7.8% après avoir pourtant gagné 1.1% le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.06% pour se situer à 79.16.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir l'institut de gestion des approvisionnements ISM dévoiler cet après-midi ses résultats de l'activité manufacturière nationale.