Investing.com - Le dollar U.S. frôlait une ornière de cinq mois contre l'euro, et n'en restait pas moins en difficulté face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, l'espoir d'une solution à la menace pesant sur le budget américain encourageant les valeurs risquées.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD gagnant 0.13% pour grimper à 1.318, frôlant son plus haut niveau depuis début mai.
Les pourparlers visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet au premier janvier risquant de faire dérailler leur relance économique, ont connu ces derniers jours un regain d'intensité, laissant entrevoir le bout du tunnel avant la date fatidique.
Il a cependant mieux résisté au yen, l'USD/JPY arrachant 0.01% pour se retrouver à 83.88, aux alentours d'un plafond de 20 mois.
La devise nippone restait sur la sellette après que la victoire du parti libéral démocrate ait alimenté les rumeurs d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon, dont une prise de cap doit avoir lieu jeudi.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.03% pour se hisser à 1.6208, aux abords d'un sommet de deux mois et demi.
Le bureau national des statistiques du Royaume-Uni avait signalé en début de matinée que les prix à la consommation avaient augmenté annuellement de 2.7% en novembre, après une poussée inattendue le mois précédent, alors qu'une redescente à 2.6% était envisagée.
Il a également subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.1% pour tomber à 0.9165, à peine au-dessus d'un gouffre de sept mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.11% pour aller vers 0.9844, l'AUD/USD se repliant de 0.07% pour descendre à 1.0533 et le NZD/USD dérapant de 0.37% pour toucher le fond à 0.8418.
La seconde a pourtant repris des couleurs après que le compte-rendu de la réunion d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie de cédembre ait montré que la décision ayant mené au rabaissement de son taux directeur avait été prise de justesse, laissant à penser que d'autres mesures allant dans cette direction pourraient ne pas intervenir dès le début de l'année prochaine.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.13% pour se situer à 79.53.
Le gouvernement américain comptait de son côté dévoiler incessamment l'état du compte courant du pays.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD gagnant 0.13% pour grimper à 1.318, frôlant son plus haut niveau depuis début mai.
Les pourparlers visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet au premier janvier risquant de faire dérailler leur relance économique, ont connu ces derniers jours un regain d'intensité, laissant entrevoir le bout du tunnel avant la date fatidique.
Il a cependant mieux résisté au yen, l'USD/JPY arrachant 0.01% pour se retrouver à 83.88, aux alentours d'un plafond de 20 mois.
La devise nippone restait sur la sellette après que la victoire du parti libéral démocrate ait alimenté les rumeurs d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon, dont une prise de cap doit avoir lieu jeudi.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.03% pour se hisser à 1.6208, aux abords d'un sommet de deux mois et demi.
Le bureau national des statistiques du Royaume-Uni avait signalé en début de matinée que les prix à la consommation avaient augmenté annuellement de 2.7% en novembre, après une poussée inattendue le mois précédent, alors qu'une redescente à 2.6% était envisagée.
Il a également subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.1% pour tomber à 0.9165, à peine au-dessus d'un gouffre de sept mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.11% pour aller vers 0.9844, l'AUD/USD se repliant de 0.07% pour descendre à 1.0533 et le NZD/USD dérapant de 0.37% pour toucher le fond à 0.8418.
La seconde a pourtant repris des couleurs après que le compte-rendu de la réunion d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie de cédembre ait montré que la décision ayant mené au rabaissement de son taux directeur avait été prise de justesse, laissant à penser que d'autres mesures allant dans cette direction pourraient ne pas intervenir dès le début de l'année prochaine.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.13% pour se situer à 79.53.
Le gouvernement américain comptait de son côté dévoiler incessamment l'état du compte courant du pays.