Investing.com - Le dollar U.S. restait largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, alors que l'atmosphère se trouvait assombrie par une série de résultats des secteurs secondaires et tertiaires de la zone euro et de la Chine, dans l'expectative de ceux de son fief.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fortement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.68% pour tomber à 1.297.
La monnaie unique s'était en effet retrouvée sur la sellette après que des évaluations préliminaires aient montré que l'activité manufacturière du bloc euro avait davantage redressé la tête en septembre qu'espéré, tandis que celle des services chutait sans crier gare.
Mais il a aussi été souligné que les usines allemandes avaient connu le ralentissement de leur activité le moins important en six mois, tandis que les services progressaient modérément.
Il avait été montré en début de matinée que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, était remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre.
Madrid a ensuite émis pour 859 milliards d'obligations décennales, à un taux moyen de 5.66%, au lieu des 6.64% des enchères similaires du mois dernier.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.15% pour chuter à 1.6197.
Celle-ci avait compensé une partie de l'écart creusé en début de matinée après qu'il ait été révélé que les ventes au détail britanniques n'avaient reculé que de 0.2% pour le mois dernier, au lieu des 0.4% redoutés, après avoir gagné 0.3% en juillet.
Il a cependant subi la pression du yen, l'USD/JPY cédant 0.19% pour descendre à 78.22, mais pas celle du franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.52% pour culminer à 0.933.
Les autorités du Japon avaient fait savoir en début de matinée que le déficit du commerce extérieur national avait grimper depuis 370 jusqu'à 470 milliards de JPY pour août, alors que les experts pensaient le voir s'y maintenir.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.44% pour monter à 0.9788, l'AUD/USD cédant 0.72% pour se retrouver à 1.0404 et le NZD/USD se laissant arracher 0.36% pour toucher le fond à 0.8238.
Les valeurs liées aux matières premières ont souffert ce matin, l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine étant remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre.
Il demeurait toutefois malgré ce frémissement sous la barre fatidique des 50 pour le onzième mois d'affilée, dénotant la poursuite de la contraction dans ce domaine et laissant redouter une perte de vitesse supérieure aux craintes pour la seconde économie mondiale.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient auparavant révélé que le produit intérieur brut national du second trimestre avait augmenté de de 0.6%, prolongeant les 1% déjà constatés pour le premier, alors que les spécialistes n'espéraient pas le voir dépasser 0.3% pour la période en question.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.51% pour se situer à 79.58.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait de son côté diffuser en fin de journée son décnombrement hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que son baromètre de l'activité des industries dans la région de Philadelphie.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fortement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.68% pour tomber à 1.297.
La monnaie unique s'était en effet retrouvée sur la sellette après que des évaluations préliminaires aient montré que l'activité manufacturière du bloc euro avait davantage redressé la tête en septembre qu'espéré, tandis que celle des services chutait sans crier gare.
Mais il a aussi été souligné que les usines allemandes avaient connu le ralentissement de leur activité le moins important en six mois, tandis que les services progressaient modérément.
Il avait été montré en début de matinée que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, était remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre.
Madrid a ensuite émis pour 859 milliards d'obligations décennales, à un taux moyen de 5.66%, au lieu des 6.64% des enchères similaires du mois dernier.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.15% pour chuter à 1.6197.
Celle-ci avait compensé une partie de l'écart creusé en début de matinée après qu'il ait été révélé que les ventes au détail britanniques n'avaient reculé que de 0.2% pour le mois dernier, au lieu des 0.4% redoutés, après avoir gagné 0.3% en juillet.
Il a cependant subi la pression du yen, l'USD/JPY cédant 0.19% pour descendre à 78.22, mais pas celle du franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.52% pour culminer à 0.933.
Les autorités du Japon avaient fait savoir en début de matinée que le déficit du commerce extérieur national avait grimper depuis 370 jusqu'à 470 milliards de JPY pour août, alors que les experts pensaient le voir s'y maintenir.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.44% pour monter à 0.9788, l'AUD/USD cédant 0.72% pour se retrouver à 1.0404 et le NZD/USD se laissant arracher 0.36% pour toucher le fond à 0.8238.
Les valeurs liées aux matières premières ont souffert ce matin, l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine étant remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre.
Il demeurait toutefois malgré ce frémissement sous la barre fatidique des 50 pour le onzième mois d'affilée, dénotant la poursuite de la contraction dans ce domaine et laissant redouter une perte de vitesse supérieure aux craintes pour la seconde économie mondiale.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient auparavant révélé que le produit intérieur brut national du second trimestre avait augmenté de de 0.6%, prolongeant les 1% déjà constatés pour le premier, alors que les spécialistes n'espéraient pas le voir dépasser 0.3% pour la période en question.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.51% pour se situer à 79.58.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait de son côté diffuser en fin de journée son décnombrement hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que son baromètre de l'activité des industries dans la région de Philadelphie.