Investing.com - Le dollar U.S. était modérément en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, après que les belles performances américaines d'hier aient alimenté les rumeurs de réduction de la voilure des aides de son émettrice.
En première partie de séance européenne, le yen a à peine fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,02% pour se hisser à 98,19.
Il gardait en effet des couleurs après que les résultats commerciaux des Etats-Unis se soient avérés assez bons pour conforter l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Le département d'état au commerce américain a en effet révélé que les ventes auprès des particuliers avaient augmenté de 0,2% le mois passé, et que celles de base, excluant le commerce des véhicules, avaient progressé de 0,5%, leur meilleure percée en sept mois.
L'euro a par contre pris un avantage minime, l'EUR/USD grignotant 0,02% pour frémir à 1,3264.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée avaient montré que l'économie française s'était renforcée de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, au lieu des 0,2% espérés.
Il était aussi à noter que celle de l'Allemagne allait dans le même sens avec 0,7%, après les 0,1% des trois premiers mois de l'année, dépassant ainsi légèrement les 0,6% anticipés.
Bruxelles s'apprêtait à faire de même sous peu concernant l'ensemble du bloc ayant adopté la monnaie unique, avec l'espoir d'un retour, même modeste, en zone positive.
Le billet vert a d'autre part gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,08% pour chuter à 1,5436.
Les observateurs guettaient anxieusement l'état du marché du travail britannique après que la Banque d'Angleterre ait annoncé la semaine passée son intention de maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF prenant 0,29% pour culminer à 0,9359.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,06% pour se retrouver à 0,9106, le NZD/USD arrachant 0,43% pour caracoler à 0,7998 et l'USD/CAD prenant 0,11% pour monter à 1,0354.
Les autorités avaient mis en relief à l'aube une poussée de 1,7% des ventes auprès des particuliers en Nouvelle-Zélande, surpassant nettement les 1,4% pressentis, et il en allait de même sur le front des produits de base, avec 2,3%.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,06% pour se situer à 81,83.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'inflation de leurs prix à la production.
En première partie de séance européenne, le yen a à peine fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,02% pour se hisser à 98,19.
Il gardait en effet des couleurs après que les résultats commerciaux des Etats-Unis se soient avérés assez bons pour conforter l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Le département d'état au commerce américain a en effet révélé que les ventes auprès des particuliers avaient augmenté de 0,2% le mois passé, et que celles de base, excluant le commerce des véhicules, avaient progressé de 0,5%, leur meilleure percée en sept mois.
L'euro a par contre pris un avantage minime, l'EUR/USD grignotant 0,02% pour frémir à 1,3264.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée avaient montré que l'économie française s'était renforcée de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, au lieu des 0,2% espérés.
Il était aussi à noter que celle de l'Allemagne allait dans le même sens avec 0,7%, après les 0,1% des trois premiers mois de l'année, dépassant ainsi légèrement les 0,6% anticipés.
Bruxelles s'apprêtait à faire de même sous peu concernant l'ensemble du bloc ayant adopté la monnaie unique, avec l'espoir d'un retour, même modeste, en zone positive.
Le billet vert a d'autre part gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,08% pour chuter à 1,5436.
Les observateurs guettaient anxieusement l'état du marché du travail britannique après que la Banque d'Angleterre ait annoncé la semaine passée son intention de maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF prenant 0,29% pour culminer à 0,9359.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,06% pour se retrouver à 0,9106, le NZD/USD arrachant 0,43% pour caracoler à 0,7998 et l'USD/CAD prenant 0,11% pour monter à 1,0354.
Les autorités avaient mis en relief à l'aube une poussée de 1,7% des ventes auprès des particuliers en Nouvelle-Zélande, surpassant nettement les 1,4% pressentis, et il en allait de même sur le front des produits de base, avec 2,3%.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,06% pour se situer à 81,83.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'inflation de leurs prix à la production.