Investing.com - Le dollar U.S. n'était guère en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, la nervosité étant palpable l'expectative des résultats du jour là où il a cours, sur fond d'incertitudes sur les orientations futures de son émettrice.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,04% pour glisser à 1,3263.
Mais il gardait cependant des couleurs après qu'il ait été montré hier que l'activité du domaine tertiaire américain avait connu en juillet sa plus forte amélioration en cinq mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi déclaré que son indice des directeurs des achats non manufacturiers avait bondi depuis 52,2, sa pire valeur en trois ans, vers 56,0, grâce à une augmntation des nouvelles commandes.
Cette belle surprise a du coup aidé à faire oublier que les autorités américaines n'avaient compté vendredi que 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,08% pour s'élever à 1,5366.
Le bureau britannique des statistiques avait auparavant révélé que la production manufacturée avait bondi de 1,9% en juin, pulvérisant les 0,9% espérés.
Elle a d'autre part gonflé de 2% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,9% pressentis, alors qu'elle avait plongé de 2,9% en mai.
Il était aussi à noter que la production industrielle avait avait avancé de 1,1% après ajustement saisonnier au cours du sixième mois de l'année, au lieu des 0,6% envisagés.
Cette bonne nouvelle survenait au lendemain de l'annonce selon laquelle les prestataires de services du Royaume-Uni avaient connu le mois passé leur plus nette embellie en plus de six ans et demi, alors qu'il avait été indiqué la semaine dernière que les usines nationales avait connu en juillet leur plus belle embellie en deux ans et demi.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,17% pour se hisser à 98,44 et l'USD/CHF grignotant 0,09% pour culminer à 0,9282.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,67% pour se retrouver à 0,8989, le NZD/USD arrachant 0,63% pour culminer à 0,7871 et l'USD/CAD prenant 0,06% pour monter à 1,0368.
La Réserve Bancaire d'Australie avait sans surprise rabaissé à l'aube son taux d'intérêt directeur de 2,75 à 2,5%.
Glenn Stevens, son gouverneur, a précisé dans le communiqué suivant cette décision qu'elle avait "plongé de près de 15% depuis début avril, mais qu'elle demeurait forte", et ajouté qu'une poursuite de sa descente "pourrait aider à rééquilibrer la croissance économique".
Il était aussi à noter que le commerce extérieur national avait dégagé un excédent décevant, passant de 510 à 600 millions d'AUD en juin.
Les experts pensaient pourtant le voir s'élever à 800 millions pour la période considérée.
Les offrse d'emploi ont quand à elles vu leurs rangs se clairsemer de 1,1% le mois passé, prolongeant les 1,6% précédents.
Les coûts des logements ont d'autre part explosé de 2,4% au second trimestre au lieu des 1% pressentis après les 0,8% du premier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,01% pour se situer à 81,92.
Sur le front européen, l'Allemagne comptait révéler aujourd'hui le volume des commandes passées auprès de ses usines, et les Etats-Unis faire de même concernant le solde de leur commerce extérieur.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,04% pour glisser à 1,3263.
Mais il gardait cependant des couleurs après qu'il ait été montré hier que l'activité du domaine tertiaire américain avait connu en juillet sa plus forte amélioration en cinq mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi déclaré que son indice des directeurs des achats non manufacturiers avait bondi depuis 52,2, sa pire valeur en trois ans, vers 56,0, grâce à une augmntation des nouvelles commandes.
Cette belle surprise a du coup aidé à faire oublier que les autorités américaines n'avaient compté vendredi que 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,08% pour s'élever à 1,5366.
Le bureau britannique des statistiques avait auparavant révélé que la production manufacturée avait bondi de 1,9% en juin, pulvérisant les 0,9% espérés.
Elle a d'autre part gonflé de 2% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,9% pressentis, alors qu'elle avait plongé de 2,9% en mai.
Il était aussi à noter que la production industrielle avait avait avancé de 1,1% après ajustement saisonnier au cours du sixième mois de l'année, au lieu des 0,6% envisagés.
Cette bonne nouvelle survenait au lendemain de l'annonce selon laquelle les prestataires de services du Royaume-Uni avaient connu le mois passé leur plus nette embellie en plus de six ans et demi, alors qu'il avait été indiqué la semaine dernière que les usines nationales avait connu en juillet leur plus belle embellie en deux ans et demi.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,17% pour se hisser à 98,44 et l'USD/CHF grignotant 0,09% pour culminer à 0,9282.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,67% pour se retrouver à 0,8989, le NZD/USD arrachant 0,63% pour culminer à 0,7871 et l'USD/CAD prenant 0,06% pour monter à 1,0368.
La Réserve Bancaire d'Australie avait sans surprise rabaissé à l'aube son taux d'intérêt directeur de 2,75 à 2,5%.
Glenn Stevens, son gouverneur, a précisé dans le communiqué suivant cette décision qu'elle avait "plongé de près de 15% depuis début avril, mais qu'elle demeurait forte", et ajouté qu'une poursuite de sa descente "pourrait aider à rééquilibrer la croissance économique".
Il était aussi à noter que le commerce extérieur national avait dégagé un excédent décevant, passant de 510 à 600 millions d'AUD en juin.
Les experts pensaient pourtant le voir s'élever à 800 millions pour la période considérée.
Les offrse d'emploi ont quand à elles vu leurs rangs se clairsemer de 1,1% le mois passé, prolongeant les 1,6% précédents.
Les coûts des logements ont d'autre part explosé de 2,4% au second trimestre au lieu des 1% pressentis après les 0,8% du premier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,01% pour se situer à 81,92.
Sur le front européen, l'Allemagne comptait révéler aujourd'hui le volume des commandes passées auprès de ses usines, et les Etats-Unis faire de même concernant le solde de leur commerce extérieur.