Investing.com - La livre sterling a pris le dessus face au dollar U.S. ce mercredi, pour se maintenir aux abords d'un pic des cinq mois écoulés, dans l'expectative du procès-verbal de la dernière réunion de la Banque d'Angleterre, sur fond d'inquiétudes au sujet de l'Espagne.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.6271 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6267, prenant 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6212, son plancher du 17 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1.6302, son plafond du 30 avril.
La nervosité restait donc de mise, après qu'il ait été rapporté que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy demeurait incertain quand à un recours éventuel à la main tendue par la Banque Centrale Européenne, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
Son adjoint a ajouté hier que les autorités étudiaient les conditions dans lesquelles se déroulerait un plan de sauvetage.
La circonspection était à l'ordre du jour, au regard du taux des obligations décennales du pays, qui se situaient vers 5.89%, et demeuraient proches de la barre des 7%, estimés intenables sur le long terme.
Les opérateurs gardaient guettaient aussi avec avidité la publication du compte-rendu de la prise de cap d'août de la banque centrale britannique, en quête d'indices sur ses décisions futures.
La devise de la Grande-Bretagne n'a par ailleurs presque pas cédé de terrain à l'euro, l'EUR/GBP ne grignotant que 0.01% pour se hisser à 0.8034.
Plusieurs des membres du conseil de la principale institution monétaire du Royaume-Uni, au nombre desquels se trouvera le gouverneur Mervyn King, comparaîtront d'autre part aujourd'hui devant le comité financier parlementaire.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des constructions entamées, sans oublir l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, ainsi qu'un rapport des spécialistes de l'immobilier concernant les ventes de logements d'occasion.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.6271 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6267, prenant 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6212, son plancher du 17 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1.6302, son plafond du 30 avril.
La nervosité restait donc de mise, après qu'il ait été rapporté que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy demeurait incertain quand à un recours éventuel à la main tendue par la Banque Centrale Européenne, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
Son adjoint a ajouté hier que les autorités étudiaient les conditions dans lesquelles se déroulerait un plan de sauvetage.
La circonspection était à l'ordre du jour, au regard du taux des obligations décennales du pays, qui se situaient vers 5.89%, et demeuraient proches de la barre des 7%, estimés intenables sur le long terme.
Les opérateurs gardaient guettaient aussi avec avidité la publication du compte-rendu de la prise de cap d'août de la banque centrale britannique, en quête d'indices sur ses décisions futures.
La devise de la Grande-Bretagne n'a par ailleurs presque pas cédé de terrain à l'euro, l'EUR/GBP ne grignotant que 0.01% pour se hisser à 0.8034.
Plusieurs des membres du conseil de la principale institution monétaire du Royaume-Uni, au nombre desquels se trouvera le gouverneur Mervyn King, comparaîtront d'autre part aujourd'hui devant le comité financier parlementaire.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des constructions entamées, sans oublir l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, ainsi qu'un rapport des spécialistes de l'immobilier concernant les ventes de logements d'occasion.