Investing.com - La livre sterling a gardé l'avantage sur le dollar U.S. ce lundi après-midi, dans le sillage des belles performances industrielles là où elle a cours, profitant aussi du sursis offert à la Syrie.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5593 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 26 août, puis s'est stabilisée vers 1,5579, prenant 0,47%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5506, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5672, son plafond du 19 août.
La devise de la Grande-Bretagne a en effet retrouvé du mordant après que le groupe de recherches économiques Markit y ait montré une résurgence manufacturière, son baromètre s'envolant depuis les 54,8 revus à la hausse de juillet jusqu'à 57,2, du jamais vu depuis 30 mois.
Les experts n'envisageaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 55,0 pour la période considérée.
Il était précisé que la production et les nouvelles commandes avaient connu leur prograssion la plus forte depuis 1994, laissant espérer une prolongation des belles performances du début de troisième trimestre.
Le président américain Barack Obama a d'autre part lancé hier des manoeuvres politiques destinées à persuader les élus du pays d'approuver des frappes contre les forces syriennes, mais semblait peiner à les convaincre, quel que soit leur parti.
Le parlement n'étudiera toutefois la question que lors de sa rentrée le 9 septembre, retardant d'autant toute riposte suite à l'attaque chimique ayant fait des centaines de morts civils le mois dernier, dont le régime de Bachar el-Assad a été accusé d'être l'instigateur.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP reculant de 0,56% pour glisser à 0,8478.
Le groupe de recherches économiques Markit avait aussi fait savoir à la mi-journée que sa mesure de l'activité manufacturière du bloc ayant adopté la monnaie unique avait évolué dans le bon sens le mois passé, passant de 51,3 à 51,4, son meilleur niveau depuis juillet 2011, échappant ainsi à la stagnation qui lui était promise.
Il avait auparavant fait savoir que son équivalent espagnol avait bondi depuis 49,8 vers 51,1 pour août, sa valeur la plus élevée depuis avril 2011, dépassant du coup les 50,6 pressentis.
Les transactions avaient cependant toutes les chances de demeurer éparses, les places américaines demeurant inactives pour cause de fête du travail.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5593 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 26 août, puis s'est stabilisée vers 1,5579, prenant 0,47%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5506, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5672, son plafond du 19 août.
La devise de la Grande-Bretagne a en effet retrouvé du mordant après que le groupe de recherches économiques Markit y ait montré une résurgence manufacturière, son baromètre s'envolant depuis les 54,8 revus à la hausse de juillet jusqu'à 57,2, du jamais vu depuis 30 mois.
Les experts n'envisageaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 55,0 pour la période considérée.
Il était précisé que la production et les nouvelles commandes avaient connu leur prograssion la plus forte depuis 1994, laissant espérer une prolongation des belles performances du début de troisième trimestre.
Le président américain Barack Obama a d'autre part lancé hier des manoeuvres politiques destinées à persuader les élus du pays d'approuver des frappes contre les forces syriennes, mais semblait peiner à les convaincre, quel que soit leur parti.
Le parlement n'étudiera toutefois la question que lors de sa rentrée le 9 septembre, retardant d'autant toute riposte suite à l'attaque chimique ayant fait des centaines de morts civils le mois dernier, dont le régime de Bachar el-Assad a été accusé d'être l'instigateur.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP reculant de 0,56% pour glisser à 0,8478.
Le groupe de recherches économiques Markit avait aussi fait savoir à la mi-journée que sa mesure de l'activité manufacturière du bloc ayant adopté la monnaie unique avait évolué dans le bon sens le mois passé, passant de 51,3 à 51,4, son meilleur niveau depuis juillet 2011, échappant ainsi à la stagnation qui lui était promise.
Il avait auparavant fait savoir que son équivalent espagnol avait bondi depuis 49,8 vers 51,1 pour août, sa valeur la plus élevée depuis avril 2011, dépassant du coup les 50,6 pressentis.
Les transactions avaient cependant toutes les chances de demeurer éparses, les places américaines demeurant inactives pour cause de fête du travail.